lundi 25 août 2008

Il est 22h38, je dois aller me faire à manger, pour ensuite me coucher... demain, rendez vous à sept heures au garage de la croix rouge, je vous laisse imaginer mon réveil...
On dirait pas comme ça, mais aprés les"..." , j'ai écrit un long chapitre que j'ai aussitot effacé, aucune envie à partager mon amertume, les gens ne la comprendront pas.
Je m'en tiendrait donc à une phrase qui me console dans la vie de tout les jours, en raison de comportements qui me blessent, le plus récent remontant aux petites phrases de Maman qui réveillent en moi une rancoeur, la même qui à été sujet de tant de frustrations...
Puisque certaines fois, on perd son temps, même avec toute l'éloquence que la nature nous met à disposition, que toute notre énergie se vide par la suffisance et l'assurance froide qu'affiche à ses heures, mon entourage, je vais m'expliquer par cette phrase qui est ma démarche à me fondre dans les préceptes du bouddhisme :
C'est plus ou moins ça, l'esprit y'est :
Ne cherches pas à répliquer aux souffrances que l'on t'a fait, se venger c'est quelques instants de plaisir de vengeur mais combien de jours, de mois, voire d'années, à réparer...
Chaque mauvaise action se retourne contre soi, d'une maniére ou d'une autre, tôt ou tard.
Laisses les dans leur ignorance, ils seront confrontés à la réalité de leurs actes, ce ne sera pas peine perdu

Voilà. On peut dire ce qu'on veut, ça défoule d'écrire !
Je n'aurais vraiment pas le temps de tout raconter en détails mes soirées, ou es évenements des derniers jours... hier, on est allé à Montpellier voir Perrine, Benoit, Clémentine...
Camille m'a stupéfait pour une premiére fois à conduire sur l'autoroute : elle n'a fait que ça !
J'y vais.

dimanche 17 août 2008

Plus tard, je serais...

Salut !
C'est marrant de se dire que personne pratiquement ne lit mon blog et de voir à quel point je m'acharne à continuer à me dire que ça ne sert peut être pas à si rien que ça...
Les paroles s'envolent les écrits restent... Je remarque que je délaisse de plus en plus mon journal, j'oublie et je prends moins la peine de raconter des trucs...
Comme raconter la soirée avec des potes à Cam'( Laurent que j'avais déja rencontré l'été dernier, et Guid'j un autre gars assez sympa qu'on devrait sans doute revoir)
Soirée à se bourrer la gueule, des mélanges de vins, de biére, de rhum... j'ai une descente un peu trop rapide, faut que je fasse gaffe. J'ai pas gaché la soirée, mais c'est dommage, enfin, ça aura pas changé grand chose... C'était des gars de la voile, et une amie à Laurent nous a autorisé à venir prendre place. Sympa de discuter avec cette fille, ce feu d'artifice prés de l'étang...
Voilà. Toujours la meme question permanente de ce à quoi je fous là, à écrire, à me balader...
Pas la déprime, non la résignation de se dire que les gens ne se comprennent pas, que tout mes efforts à me faire comprendre ou à me faire accepter s'évanouissent la plupart du temps, alors je me dis qu'on est rien que tout est illusion... J'essaie de pas m'attacherà ce que j'aime, et ce qui m'attache, parce qu'aprés j'en dépens et c'est un peu plus de souffrance pour rien...
Le boudhisme m'aide beaucoup. Je ne sais pas pourquoi je raconte tout ça, les plus cons diront que je suis un jeune homme que je fais ma crise, et toutes ces conneries, alors j'ai encore plus envie de disparaitre de ce monde de préjugés à la maniére d'un vagabond voyageur.
Je suis amer de tout mon parcours, que j'essaie d'ailleurs de mettre sous forme de roman et de le publier dans deux ans ( sans cesse améliorer) , et puis j'en ai marre de cette putain d'ncompréhension que j'endure surtout à Marseille.
Un jour je partirais. J'en rêve depuis des années et je me connais assez pour ne pas changer d'avis du jour au lendemain. J'ignore ce qui va se passer pour moi, mais en sachant qu'un voyage de dix jours en Suéde m'a marqué, je m'attends à me transformer intérieurement et spirituellement . Je me fous de savoir que des milliers de mecs, sinon des millions, sont des "voyageurs" et traînent derriére eux leurs foutues histoires qui sont plus ou moins la même que la notre et qu'ils rejettent pour nous blesser de nos idéaux qui se veulent avant tout atrocement originales. Vous croyez que c'est une coincidence si un gars m'approuve à la réflexion faite que c'est chiant dans un pays étranger d'avoir ces français qui détaillent tout, diffusent et résument ton plaisir, ton bonheur par leurs mots ? Oui oui ils sont à coté, là , au bar de l'aéroport et s'autoproclament toujours, les malins, les surpris, les fanfarons qui disent tout haut comme si en parlant des gens sans s'y inclure, c'était eux qui avaient le fin mot.
Merde c'est chiant, non de dieu. Et le pire dans tout ça , c'est qu'ils ont autant envie que moi de les étrangler, de nous entretuer en somme.
Quand je dis qu'on se comprend pas, par exemple, c'est de se parler que l'autre s'en fout royalement quant tu dis des trucs qui te tiennent à coeur, c'est avoir des langages différents quand on est du même pays et de la même région, c'est toute cette confusion qui entraînent toujours plus avant frustration, mépris et haine.
Je ne suis pas un adepte impéninent du bouddha et tout le tralala, mais je n'ai jamais autant respecté ces principes que j'étudiais déja deux ans avant( little bouddha, pas le film)
et qui me collent finalement à la peau.
Pourquoi se forcer de sourire alors qu'on est libre, qu'on doit profiter tant qu'il en est encore temps, pourquoi se prendre la tête alors qu'on aura encore des problémes à la con...
Je me détache de tout ça, je regarde avec recul la vie la société, et je vis énormément l'instant présent, bien que ce soit dur dans une ville aussi... Grrrrrrrrr
Bref ! Désolé de parler de ma rage d'originalité de liberté, c'est vrai on aurait pu parler de mon super studio au cours ju et que j'adore( j'en rêvais, c'est fait ! quartier sympa) ou que j'ai un gars du mac do qui semble ok pour une période d'essai dans la semaine...
Mais c'est aussi concret, ça en vaut autant la peine, et c'est autant éphémere que de décrire ce qu'on ressent... Qu'on colle immédiatement une étiquette de négativisme ou pas, peu importe.
Tot ou tard, je mourrais. Petit, je revais d'être un grand, de pouvoir être quelqu'un qui se laisserait plus faire, plus fort. Puis le temps passe, je suis content de savoir que je suis jeune et que j'ai comprit beaucoup de choses par rapport à d'autres( dites que je me vante, je me moque de ce qu'on peut bien m'attribuer-mais je connais mon potentiel), surtout il y'a autant d'avantages et d'inconvénients enfant que jeune adulte, ou jeune homme c'est selon.
Alors, chaque fois, je profite de ma journée comme si c'était la derniére, et je redeviens celui que je n'ai jamais cessé de vouloir être.
Je ne serais pas éternellement dans des études, et quand je partirais à l'aventure, c'est le mot, pour parcourir le monde, qui dit aventure dit danger.
Je n'ai pas peur de mourir, j'ai surtout peur d'en avoir peur, c'est plutot ça .
Si je dois crever en bouffant des plantes toxiques et qu'un film était déja là pour me l'apprendre, tant pis ou tant mieux pour moi.
J'aime bien exprimer ce que l'on pense tout bas, et je sais que j'ai de grandes choses à faire avant de finir en miettes. Voilà pourquoi j'avais pris trés tôt, c'est à dire il y'a au moins quatre ans, l'envie d'écrire un livre. J'en suis capable, je suis capable de beaucoup de choses : même d'être l'égo centrique que je suis à parler que de moi !
En même temps, parler des autres c'est jamais évident de prendre la bonne mesure.
Les autres qui compte pour moi, c'est ce mendiant maghrébin avec son fils à ses côtés qui faisait la manche prés du distributeur. Au début je lui ai fait comprendre qu'il pouvait tjrs courir, puis je me suis dit que ça faisait bien de donner et d'apporter quelque chose aux gens, alors je lui ai donné une piéce d'un euro.
Il était ému je pense, et alors il me tend son paquet de biscuit et me propose d'en prendre un.
Ce qu'il a fait aux quelques personne derriére moi : on savait tous en souriant que ça c'était du précieux. Voilà ma vie.
Ma vie c'est eux, c'est donner.
Si vous voulez vous faire une idée de ce que je suis, si vous essayez de me comprendre, vous n'y arriverez jamais si vous êtes de ces gens qui se mettent des ray bans pour frimer, qui font de l'esprit pour crâner ( en ce qui me concerne, je parle parce que je n'ai rien à cacher et que l'écriture est la meilleure thérapie pour moi, plus besoin d'un psycologue qui fait perdre son temps et son argent), si vous êtes de ceux qui se disent voyageurs et ne passent que deux ou quatre jours dans une ville pour raconter l'avoir fait.
J'aime les gens qui sont humbles, timides mais sincéres, j'aime la réciprocité, j'aime les gens qui me font rire ou pleurer avec intensité.
Ce n'est pas du théatre ou un film que je demande, je n'ai pas besoin de héros qui vous font des exploits qu'on aime à s'identifier, moi je veux juste vivre ma vie idéalement.
Rien de si utopique que ça. J'ai envie de créer des amitiés avec des gens intéressants, qui vous écoutent et avec qui on a envie de rester.
Des personnes sympas, attentionnés, souriants, et qui croquent la vie à pleines dents.
Je partirais à la rencontre de ces gens là, bien que je verrais une large gamme de profils.
Plus des amis comme j'en ai qu'on voit rarement. Une autre mentalité selon laquelle il y'aurait toujours contact et réciprocité, passion, sans aucune lassitude à prévoir.
Je ferais barman, serveur, je serais dans ces ranchs à diriger le troupeau sur un cheval, dans une ferme ou dans un champs, n'importe quoi.
Il n'y aurait aucune limite , aucun délai de retour, je prendrais mon temps. Je travaillerais dur pour vivre et dans mes déplacements, mes rencontres et mes aventures, j'écrirais tout ce que j'ai vécu. Je voudrais pleurer dans les bras d'un ami soulager mes malheurs, embrasser de belles inconnues, être seul, être avec des amis rencontrés, leur raconter mes aventures tout autant qu'écouter les leurs au coin du feu ou tout autre endroit chaleureux et convivial.
Voilà. Bonsoir.

dimanche 3 août 2008

Le blog disponible en Anglais !

This is it, me has it finish with the Mexicans ! Tania, luis, taddeo. Any time, I am invited in Mexico City, them houses my home as they said it. In the USAs, also. Tania, a superb girl, really great, can be even the boyfriend for me a bit by seeing me being a faster runner than them when they by bike (of the rd pt prado in castellane, without break), or to outstrip them in swimming...And you have also I récupere some photos.
This month I think continue sports, in other words chase swimming and other one heatings...
I am more than ever going to continue writing my book, noting ideas, clarifying them, a true job of crazy.

Qui êtes-vous ?

marseille, PACA, France
Se décrire fait toujours un peu sourire, surtout ceux qui sont d'une nature trop complexe pour l'appréhender à sa juste mesure. La vie d'un homme n'est jamais qu'une histoire de poussiéres,d'étoiles. Quand j'y serais, je saurais mieux en parler objectivement. Pour l'instant, je viens d'avoir vingt ans, et j'essaie de dessiner les grandes lignes de ma vie en Bma ( brevet des métiers d'Art),avant d'avoir mon bac l'an prochain. J'ai toujours autant de projets pour donner sens, mais le temps se précise et ne sais encore que choisir. Steward, parachutiste en armée de l'air(école de sous off'), ou faire animateur à l'étranger(j'ai bientôt mon bafa), partir dés l'an prochain...

ma liste de livres préferés !

  • Les fourmis (trilogie, Weber)
  • Les clochards Célestes(Ker)
  • Sur la route(Kerouac)
  • les âmes brisées
  • Russe, pratique de base
  • les royaumes du Nord(trilogie)