jeudi 16 avril 2009

Salut

-Vient de configurer un mode article instantané via email- Ouf ! Suis mort, la sonnerie rentissante à vous grincer les dents, et je repars pour ce match épique de volley( à l'examen du bac), donc trés peu de temps pour revenir à ces derniéres journées vraiment sympa !
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lundi 13 avril 2009

Dimanche 13 Avril Les pieds croisés au coin du bureau, et des filles qui se moquent des annonces sur mon canapé !
Ainsi va la vie. Il faut avoir entendue une fois dans sa vie ma soeur rire, c'est assez pittoresque !
La super Fatou, et Marie-Laure qui squatte chez moi quelques temps avant de trouver enfin une colocation. Ces squats, c'est le bon vieux temps.

Lundi 14 Avril La petite blonde du cdi, pas mal. J'dirais pas non à la pause de 4 heures, bien qu'elle repartira avant seulement que nos regards se croisent. Je l'étreindrais-à défaut de ce rêve d'un ours affamé me pourchassant pour mon plus grand malheur- et... Mais tout cela n'est pas.
Ce matin, aprés une nuit blanche à dormir séparément de ma couette que ne se défait pas ma soeur à ses gentils squats, je sors blafard.
Me reçoit à la Mairie l'obséquiosité du fonctionnaire impartie de manies si impropres à la fonction publique, qu'à n'avoir su la remetre à sa place je m'en veux terriblement.
Je l'ai surprise à deux fois, sans maniéres se méler de mes papiers personnels ou relevant les rideaux du photomaton pour, parait il, m'assister. En remettant demain la facture manquante, je répondrais du geste infaillible de trop. Foutus fonctionnaires qui vont nous apprendre la vie, ben tiens. Bon, je m'en vais fumer ce roulé aux toilettes, et débarassé du sujet d'aprem- ce qui présuppose mon espace schengen- je m'avance des derniers dessins d'histoire de l'Art.
Ce soir, je décroche le télephone, réjoui par avance du dîner préparé aux bons soins des grands-parents !

dimanche 12 avril 2009

Dimanche 12 Avril Un jour de pâques placé sous un temps gris, en quarantaine.
Installé à la table familiale, la baie vitrée au fond du séjour m'envahit du feuillage printannier, dense et répandu de plein cadre.

Ainsi s'achéve un bon repas entrain des impressions d'Emma sur l'armée, ce qui m'a donné une premiére idée de tout ce que cela consacre en endurance mentale et me fait réflechir-pourquoi pas moi- à une future entrée en commando parachutiste. Le grand frisson.Enregistrement de films copiés au disque dur externe, et puis s'en va...
Ce soir, je me couche tôt de maniére à joindre l'utile à l'agréable : le sport. Jogging, natation.
Je vais reprendre la cadence perdue en jogging. On me disait à l'apéritif, que mon running du Boulevard Notre Dame au Pharo et l'avancée sur la corniche jusqu'au David, le rd point du prado et Castellane représentait tout plus 2 ou 3 kilométres. Je dois être capable d'en courir 40.
J'ai bien l'intention d'être dans les premiers au prochain marathon de Marseille.
Pour cela, je me coucherais trés tôt la plupart du temps pour prendre l'habitude de me réveiller à l'aube, ce qui m'implique série d'entrainements consécutifs.
Je reprendrais l'itinéraire du Marathon. Le travail ne pose pas probléme, je reste en tête et tout mon travail personnel n'a été fait autre part qu'au lycée même.
Je vais remonter les épaules entre tractions et parties de crawls, je n'ai pas à me plaindre des abdos, par contre je vais vraiment décupler les bras.
On est un homme ou on ne l'est pas. Je ferais mes classes dans l'armée aprés deux ans de break à sinuer la Russie. J'apprendrais la langue là bas, mais tout autre pays est aussi bon à prendre.
Mais j'ai besoin de faire des fixations pour m'engager et aller au bout de mes objectifs, sans les défis ma vie ne vaut pas la peine d'être vécue.
Au bout de ces deux ans de galére et d'apprentissage, je m'inscrirais dans un régiment de parachutiste, et de là je viserais à être le meilleur.
Enfin, guide-Accompagnateur n'est pas rangé dans les cartons, ça reste simplement à cheker.
Sur ce, j'y vais.

samedi 11 avril 2009

L' Expatrié Allemand d'Apple

Voilà. ç'aura pas été long, mais j'ai accueillit l'allemand, ou plus vraisemblablement un américain de San Francisco qui bosse pour Apple et qui serre de temps à autre la main de Steve jobs.
Il voyage pas mal sur le compte de la société pour négocier des contrats, il revient tout juste de Rome, et Il Mundo ressorti de sa veste en était la preuve.
Mais s'il a vécu et voyagé dans de nombreux pays pour négocier des contrats, on a du mal à le concevoir en Jeans et veste en cuir.
Son fils est lui inscrit dans l'une des meilleures universités de New-York, la tisch Institute.
Il n'est pas resté plus longtemps, préferant l'hotel à un studio à peine plus large pour deux.
De le voir partir aussi précipitamment m'a un peu vexé, c'est comme s'il me jugeait déja ininteressant, qu'il aurait mieux fait de tracer sa route. c'est ce que j'ai senti quand il me reprenait dans mes "I don't know..." ce qui est loin de résumer nos échanges.
Il s'est est d'abord prit au temps, ensuite la ville dont nous étions communs de dire que Nice est bien plus sympa, pour finalement se raviser en me voyant buter dans mes phrases : en compagnie d'un type qui bégaye l'anglais, dormir dans la même piéce, trés peu pour moi ! M'enfin, c'est égal.On ne peut se faire une idée d'ensemble d'une rencontre amical, juste apprécier ce qui circule de court terme.
J'imagine juste des type qui se payent du bon temps au compte de leurs sociétés, qui vivent ici trois ans à Phuket au Vietnam, là deux ans... contre des contrats signés.
Un mode de vie souvent incompatible à celui du salarié vivant de l'informatique, et de son univers virtuel, étant lui chargé du service Vente.
Je sais juste que s'il m'arrive un jour de le joindre à son portable, ce sera pour lui dire de se rendre à la librairie la plus proche et de chercher tel livre en début de rayon. .. Et qu'on peut se retrouver pour discuter de ce qu'il en pense !


Plus tard, à 20h32 : Un escroc professionnel. J'en ai eu la confirmation depuis les commentaires de son profil, via les personnes consultant mon profil. Je n'ai plus qu'à le dénoncer à la police demain matin.
J'ai l'impression qu'on a des tas d'informations sur ce type- carte de crédit Wells Fargo, séjours au Mexique, reservation dans un hotel Etap Hotel le mois dernier- mais qu'on fait rien pour le court-circuiter.
En prenant le chemin pour faire mes courses, j'ai fait de larges détours pour enquéter auprés du garde-fou du métro, à des secouristes de la croix rouge qui vont surveiller ma description faite du bonhomme.
J'ai appellé les lieux dits desquels partait en direction notre ricain : bld Rabatau. Je me suis renseigné sur les possibles réservations des trois hotel, et mon indic receptioniste m'a parlé d'une resa vieille d'un mois.
Le nom qu'il utilise tourne autour de Franz Freidrich, et là j'avais celui de Franz Eric.
Il m'a donc envoyé sur une piste pas si mauvaise que ça. On peut le retrouver par Interpol, en espérant qu'il soit assez ignorant pour cela.
Samedi 11 Avril Mon compte reversé de 150 eurs d'assurance vol- affaire bien délicate pour jamais y compter dessus- quelques chéques d'anniversaire(j'aimerais les remercier), j'ai une idée d'à quoi pourrait servir symboliquement cet argent : un passeport...éthique.
Au delà du 22 Avril, les passeports devenant biométriques, rien n'empêche d'y échapper on en faisant la demande express, par les moyens classiques : unique relevé d'empreinte digitale du pouce, et non d'une puce gps des huit doigts et de la face.
Seulement Mardi matin pour s'y prendre.
Jeyeon s'étant désisté hier soir sans me prévenir au telephone; je le dois bien à l'Allemand qui va venir ce soir à 18h.
Je vais bientôt partir, j'ai deux heures d'entrainements à l'Escale Borely à 15h.

jeudi 9 avril 2009

Jeudi 09 Avril :Décidement, cette B.o du vol de phoenix( jamais qu'une musique de plus sur le Cv déja impressionant de chez Varese Sarabande) est fichtrement bien. Reprise sur Lost.
Je sors du lycée, et voyant que derriére l'espace Julien des staff déchargeaient du matos, j'ai proposé au chef mes bras, ce à quoi il rappellera au numéro laissé sur le Cv.
Ce matin, une heure de Sport se dévouant au volley. Dans mes vanités de Duluoz, les lancées de derniers instants qui ont manifestement fait frémir ma classe !
J'apprendrais plus tard dans la matinée qu'aux dire d'un grossier personnage, l'année prochaine on l'aurait en moins. C'est jouable.
Puis l'aprés midi, les cours s'arretant à 15h, je trompe la vigilance du garde-fou de métro et reviens sur le cours. Une heure aprés, il aura fallu une demi-heure pour venir à bout du classeur Crij, relevant de nombreuses offres alléchantes. Il en va sans dire que l'Animation est porteur, je reviendrais dessus plus loin.
Plus bas, direction la Cité des Métiers. Un exemple vous dresse le portait de la hôtesse d'accueil : aprés être instamment demandé de sortir pour fermeture et vérifiant mon dépliant dehors, je reviens lui suggérer de mettre à disposition de plus récents que de ceux du trimestre dernier.
Croyez bien que si j'en parle, c'est pour affiner mon sens critique. Je me fous d'elle comme de la derniére chemise du directeur de centre aéré imbu d'airs pompeux.
Car de retour chez moi, le télephone sonne. Un responsable du centre de Loisirs Mer et Colline nous plannifie un entretien la semaine prochaine pour mon stage pratique de Bafa aux prochaines vacances. Non mai perdere speranza.
C'est plutot cool donc. Au lieu de négations, j'ai là des possibilités de taff de meilleur augures.
Encore aujourd'hui, je revenais de deux courses du Monoprix qu'en leur abordant le sujet, ils me demandaient, moi, ce que je voulais faire ! Déconcertant. Et une bonne occasion, tout comme la caissiére étudiante, de soit me trouver un taff d'aprés lycée, soit de bosser l'été.
Mais il ne sera pas dit que je ne ficherais pas une rame cet été. J'ai bien l'intention de prendre du bon temps à barouder je ne sais où, l'idéal étant les pays anglo-saxons.
A ceci prés que si d'entre de multiples échecs, on me propose un poste d'Animateur(fort probable à ce rythme) , ou de saisonnier, je ne dirais pas non !
Ambitieux comme moi c'est bien, faire c'est mieux. Et comme dit Kerouac, du style ce qui importe c'est ce que tu y mets.
Ne reste plus qu'à contacter ces gens, et me tenir informé des réceptions de candidature.

Mercredi 8 Avril Déterminante et digne d'exploit, cette journée tombait apparemment au mauvais jour. Il s'avére qu'un salon de jobs et de recrutements sur place, était proposé à l'Escale Borély. Il semble qu'il leur était inutile de mentionner l'adresse, constat flagrant qui m'amenait à questionner dans une boutique de surf, une aimable vendeuse, qui ne s'est pas faite attendre pour creuser sur Internet et télephoner à leur standart. Un Cv plus tard( en cas de remplacement), et arrivé sur les lieues, je m'avise de tout entreprendre.
Le premier, bluesy et apathique, m'attend parler. Je ne m'étends pas plus sur moi que j'invite ce monsieur à se présenter : les présentations sont faites, un service de critique de presse.
Mes réferences en journaux suffisent à lui convaincre, et quelques photocopies de Cvs et lettres de motivation plus tard, j'aurais postulé en groom d'hotel 4 étoiles, service à domicile, Auchan, Darty, et j'en passe.
Je file dare-dare sur la corniche, où je talonne un bus. Une frite moyenne en moins de temps qu'il n'en faut pour caler la panse, je rentre en salle sentencieusement solennelle.
L'heure est grave. Examen blanc, et une heure de retard à rattrapper sur mon compte.
Je mets les bouchées doubles, si bien que j'avance les croquis de la semaine prochaine avant tout le monde. Parfois, il m'apparait que j'ai fait mes preuves pour être un jour noté à égal de mes camarades. Enfin.
En repensant à ce caissier du supermarché intervenu pour bloquer une vingtaine de jeunes noirs et étendu à terre, les profondeurs glauques du métro qui venaient de me recracher prenaient forme. Cet épisode d'une violence comme je n'en ai jamais connu m'aura si choqué qu'instantément s'est gravé une dûre tâche, à vie. Ils étaient nombreux, mais jeunes. Ce qui m'a reculé, c'est de voir des jeunes de quinze ans s'y mettre comme s'il s'agissait d'un caillou qu'on shoute. C'est là que j'ai tout comprit, tout était plus clair.
J'allais me supasser, physiquement. Repousser mes limites, exploiter dans ce sens la vivacité de mes instincts, ma rage aussi, ou les deux. Sacrifier ma vie pour défendre leur peaux.
Et si un jour, il se repasse la même chose, je me battrais, comme un homme.

lundi 6 avril 2009

20 ans. Au sortir d'un rêve avec une musique de cirque, foklorique. Je suis en train de revoir par flash black le film de ces vingt derniéres années, la fin de mon enfance... ou pas.
Ce qui me préoccuppait le plus, et c'est encore d'actualité aujourd'hui, le silence de Yack dans ses déplacements. Le séisme s'est fait centir à cent kilométres à la ronde, mais lui dans tout ça ?
Que fait il, où est il ?
Ce matin, pour moitié libre, je vais en profiter dans mes recherches et insister sur " appel à témoins"...
Ilaria, rentrée du Maroc, me proposait la veille de fêter le départ de valentina, copine croisée à deux reprises, laquelle j'étais sorti Vendredi soir pour me lier d'amitié d' un jeune professeur d'italien tendant une cigarette ou du feu aux bonne réponse portant sur les péchés capitaux, les capitales. Une jolie inconnue m'attrappant par la chemise au sortir du Shamrock...
Enfin, c'est bien passé. C'est hier soir. Je cherchais d'un oeil distrait mais alerte, mes courses à ce supermarché du Cours Lieutaud. Une jeune étudiante, typé asiatique et toute fine, écouteurs aux oreille, m'oubliait déja ce que je faisais ici : je perdais la tête, charmé.
J' en tombais réellement amoureux; empoignant un sac déja à craquer, je m'élançais à sa poursuite qu'elle se subtilsa au carrefour. Je remontais l'escalator du métro, dépité, et c'est Ilaria qui me vit la premiére, les yeux rivés à ce sol cuisant d'été.
Que vais je faire cet été ? Si rien n'est trouvé, je prends mon sac.
En attendant, je cherche.

Qui êtes-vous ?

marseille, PACA, France
Se décrire fait toujours un peu sourire, surtout ceux qui sont d'une nature trop complexe pour l'appréhender à sa juste mesure. La vie d'un homme n'est jamais qu'une histoire de poussiéres,d'étoiles. Quand j'y serais, je saurais mieux en parler objectivement. Pour l'instant, je viens d'avoir vingt ans, et j'essaie de dessiner les grandes lignes de ma vie en Bma ( brevet des métiers d'Art),avant d'avoir mon bac l'an prochain. J'ai toujours autant de projets pour donner sens, mais le temps se précise et ne sais encore que choisir. Steward, parachutiste en armée de l'air(école de sous off'), ou faire animateur à l'étranger(j'ai bientôt mon bafa), partir dés l'an prochain...

ma liste de livres préferés !

  • Les fourmis (trilogie, Weber)
  • Les clochards Célestes(Ker)
  • Sur la route(Kerouac)
  • les âmes brisées
  • Russe, pratique de base
  • les royaumes du Nord(trilogie)