Salut !

J'hésitais à aller me vautrer sur le canapé pour dormir, mais ç'aurait été garder l'excitation à son comble. Ici, j'ai un exutoire !

Je viens de répondre à une annonce, et en s'échangeant des mails, je convie la directrice du camp à m'appeller dés qu'elle veut, voire maintenant !

Autant dire qu'il est tard, mais ça ne l'a pas rebuté, tant il lui est urgent de combler son équipe.

Et je suis prit ! Enfin, ça, on me l'a dit plusieurs fois, mais là ça n'a jamais été aussi franc, d'autant plus de la part d'une jeune. La colo durerait 20 jours, pour des adultes handicapés dans une ferme.

Là, on ferait de l'équitation, nourrirait les animaux... C'est génial !

D'ailleurs, je viens juste de recevoir son questionnaire. Avant qu'elle ne m'envoie le dossier de candidature. De mon côté, si je crois au miracle, je continue mes recherches pour ne pas être prit de court. A moins d'une semaine de mon vol au Portugal, j'attends avec impatience ces prochains jours, le moindre document. Autrement, mon stage bafa a bien été prit en considération, je suis inscrit à l'approfondissement Théâtre au même lieu du premier.

Demain, Mercredi. Le matin, tranquille à lire au soleil ou filer un coup de main au Boss.

Entre midi et deux, je viens chercher à mon studio( je squattais les trois derniers jours chez Mman et Alexis) un pantalon noir et une chemise blanche pour être aussi classe que l'était, lors de mon entretien à La Ciotat dimanche dernier, que la ravissante fille qui m'a embauché en Cdd les Wks de l'année pour des goûters d'anniversaire, spectacles, ... et tourisme.

Je prends mon train et elle vient me chercher en voiture au rendez vous fixé de 14 h.

J'avoue qu'elle me captive. Jolie, bien présentable( elle se convertirait bien en voyages d'affaire), sortant d'un bts tourisme et en année de licence, elle adore tout autant que moi les voyages.

J'aurais pas pu mieux tomber.

L'aprés midi sera l'occasion pour elle de tester mes aptitudes en jeux.

J'espére donc être à la hauteur. Enfin, le soir, je reviens en train pour apercevoir enfin au Cours Julien, celui qui par deux fois m'a attendu au métro sans jamais m'apercevoir.

M'a l'air un peu naîf pour 23 ans, mais je les préfere à la vraie bêtise humaine; deuxio je n'ai qu'une parole, j'aime la tenir plutôt qu'à me morfondre .

Et aprés ça, Marie Laure nous invite ma soeur et moi, à manger un morceau avant d'aller à un theâtre. Vaste Programme. Toute mes journées sont comme ça depuis un mois.

Salut.
Le blues. Des choses auquels je n'avais pas envie de faire attention mais qui cogne contre mon existence. Je vais me remettre au sport pour ne plus y penser.
Hier soir, anniversaire d'Ilaria où j'ai bien fait la connaissance de personnes interessantes, prit deux sangrias, me fait draguer par une belle italienne, se ravisant à l'approche forcé de son arrogant petit ami, et ne sachant plus sur qui tromper mon ennui sur les coups de minuit faute d'être écarté des affinités groupées, je sors de là où j'ai rangé mes envies d'écoute à en mourir, blasé d'illusions. Le matin, mal reveillé, je me confine dans les draps de la torpeur absolue.
Aujourd'hui, jour férié. Et j'ai déja la pression d'autres maquettes( on en oublierait presque mon travail, ou plutôt celui de Malika, qui a nécessité des heures de travail et duquel on ne reçoit rien moins que des discussions lassantes de finitions à retravailler. ) , ces non recevoir de dossier de candidature d'Août... J'ai du mal à m'y faire. J'apprendrais.
Je continuerais de chercher, sur internet, les offres saisonniéres, ou les agences interim....
Et si rien ne m'est proposé, j'irais voir ailleurs.
Je continue toujours les haltéres, les tractions( barre de traction installé à ma porte d'entrée)... pour me défouler midi et soir ! ngna, ngnn...; ) C'est assez pathétique, mais on s'en moque :
Y'a pas à dire, ça fait du bien !
Mais en Août, Yannick me proposait de se faire un trip dans les pyrénées, la nature profonde...
Faire un trip à Massat par exemple. Ce serait trop bien. On y irait à deux, sinon à trois ou quatre, puis on retrouverait Papa à la grange une semaine ou deux... puis on continue notre raid ! J'avoue que je serais interessé. La forêt, les fougéres, la terre battue, les riviéres, les clairiéres... J'aurais autre chose à raconter !
En tout cas, j'ai hâte de profiter comme le disait gentimment ma cousine Pauline, de mon voyage.
C'est peut être même ça qui me redonnerait le sourire, les revoir un jour d'été pour les serrer dans mes bras ! ( avant de piquer un plongeon, et de prendre la glace que me tendrait Mamie :)
Bref, j'ai récupéré mon passeport, reglé une carte car paca à 1e/trajet...
Je dois encore m'occuper du stage bafa de Juin, finir mes trois derniers jours de stage pratique...
Enfin voilà ! Ce samedi, j'ignore si j'ai un baby sitting; Dimanche, j'irais à la Ciotat pour un entretien à 14h30 pour des gouters d'anniversaire, mercredis et Week ends...
Mardi prochain, à midi, je compléte mon dossier avec la directrice du Centre social, Juillet.
(piu tardi, à 18h34) Bonne nouvelle, j'ai enfin chopé une colo d'interessé, vu qu'à l'approche de l'été elles deviennent rares. Et la fille a l'air ok !
Réponse Lundi prochain.

Salut,
ça faisait un moment, mais je vais tout reprendre au début. Ce sera service rendu à une mémoire aussi saturé que me le signale mon disque dur.
Ok, pour commencer, je suis en fin de premiére année de Brevet des métiers d'Art. Le temps ne passe pas vite, c'est moi qui ait traîné à raconter de long en large mon quotidien déja historique.
Nous avons deux stages de prévus, l'un en Mai, l'autre en Juin. Pour me libérer du mois de Juin, j'ai choisit de m'avancer le travail ce même mois( bientôt mi Mai), en free-lance.
Les mercredis, je finis mon stage pratique de bafa à Mer et Collines, centre de loisirs parfait en comparaison de ce qui aurait pu m'attendre ailleurs.
Il est prévu d'achever mon bafa du dernier stage, l'approfondissement, fin Juin, au même endroit qu'au premier : Afocal.
En attendant, je me suis réservé des vacances au Portugal. Du 3 au 19 Juin (16 jrs) , ryanair Porto, aller retour. 40e. A vivre du Camping, des plages du Sud encore préservées(mais plus pour longtemps) de la haute saison touristique, du Jour national(10 Juin), de mes visites touristiques, des parcs nationaux, de Lisbonne, Porto et de ces petits villages authentiques où il fait bon entendre la nostalgie du Fado.
Alors que je m'absente, notez que je sous-loue ( en grande négociation avec ma mére) mon studio à un jeune russe parlant français avant que sa copine( elle même de Saint petersbourg) ne le rejoigne peu aprés. En me répondant à mon annonce de sous loc', je lui télephone, se donne rendez vous au Red lion pour en parler. Il s'est engagé à me verser 250 eurs, dont 150 en chéque, cette semaine. De mon côté, ça dépanne mon compte à sec. Et peut on rêver meilleur rencontre quand on souhaite l'an prochain partir en Russie ?
Ayant grandi à Saint Petersbourg, en lycée français, il m'a ainsi dit que tout ses amis de là pourraient m'accueillir. Et sympa de m'assurer que je fais carton plein prés des jolies russes !
ça encourage ! Bref, mon facebook en russe, et quelques bonnes discuts jetés sur le tas, il s'en va.
Ne le connaissant pas encore assez bien que trés sympa, j'espére qu'il saura donner suite à notre accord de sous location.
Autre chose. Au mois de Juillet, on m' embauche au centre social du Cours Julien en tant qu'animateur. Et il en irait de même en Aout, aprés confirmation de mon entretien télephonique avec Lucie, une jeune directrice...pour un séjour d'adultes handicapés en Bretagne, aux abords de la forêt de Brocéliande, le théme étant les légendes bretonnes.
Ce serait en tant qu'assistant sanitaire, je serais mieux payé que la moyenne! Mais j'attends confirmation, même si tout a l'air ok pour elle d'entrée de jeu.
Demain midi, je réceptionne mon passeport à la mairie, et le soir j'ai ma réponse.
Mercredi soir, j'invite Matthieu et Malika à un apéro- je le leur dois bien ça aprés tout ces squatts arrosées.
Vendredi soir, je suis invité à l'anniv de Santana, qui le fête au theâtre d'en face-theâtre où même aprés avoir finit ma piéce, je reviens assister à quelques piéces gratuitement quand aprés on me sert un petit un verre de rouge entre copains ! J'aime bien en revoir certains, Santana étant l'une de ceux que j'apprécie le plus( et c'est pas parce qu'elle est croate !)...
Vendredi, c'est aussi férié. On se retrouve comme entendu ce midi au Lido, Couff, Marie-laure( copine Polytech Orléans que j'ai dépanné de sa recherche de coloc' courte durée, trois semaines chez moi) Cam et moi à la cité radieuse.
Couff, cédric, un autre pote polytech qui nous avait invité chez lui et sa copine Mawelle qui forme un couple assez zen en une batisse provençale et son jardin avec piscine. On a bien aimé aller aux baux de Provence ensemble par exemple.
Il faudrait aussi que je vous raconte mes soirées, nottament celle de mes 20 ans qui a achevé de me convaincre de l'avoir fêté dignement !Et tout ce qui a pu se passer ces six derniers mois.
Maintenant, je me débarasse de mes fringues et me jette à corps perdu dans ma couette.
Sur ce.

Salut

-Vient de configurer un mode article instantané via email- Ouf ! Suis mort, la sonnerie rentissante à vous grincer les dents, et je repars pour ce match épique de volley( à l'examen du bac), donc trés peu de temps pour revenir à ces derniéres journées vraiment sympa !
+

Dimanche 13 Avril Les pieds croisés au coin du bureau, et des filles qui se moquent des annonces sur mon canapé !
Ainsi va la vie. Il faut avoir entendue une fois dans sa vie ma soeur rire, c'est assez pittoresque !
La super Fatou, et Marie-Laure qui squatte chez moi quelques temps avant de trouver enfin une colocation. Ces squats, c'est le bon vieux temps.

Lundi 14 Avril La petite blonde du cdi, pas mal. J'dirais pas non à la pause de 4 heures, bien qu'elle repartira avant seulement que nos regards se croisent. Je l'étreindrais-à défaut de ce rêve d'un ours affamé me pourchassant pour mon plus grand malheur- et... Mais tout cela n'est pas.
Ce matin, aprés une nuit blanche à dormir séparément de ma couette que ne se défait pas ma soeur à ses gentils squats, je sors blafard.
Me reçoit à la Mairie l'obséquiosité du fonctionnaire impartie de manies si impropres à la fonction publique, qu'à n'avoir su la remetre à sa place je m'en veux terriblement.
Je l'ai surprise à deux fois, sans maniéres se méler de mes papiers personnels ou relevant les rideaux du photomaton pour, parait il, m'assister. En remettant demain la facture manquante, je répondrais du geste infaillible de trop. Foutus fonctionnaires qui vont nous apprendre la vie, ben tiens. Bon, je m'en vais fumer ce roulé aux toilettes, et débarassé du sujet d'aprem- ce qui présuppose mon espace schengen- je m'avance des derniers dessins d'histoire de l'Art.
Ce soir, je décroche le télephone, réjoui par avance du dîner préparé aux bons soins des grands-parents !

Dimanche 12 Avril Un jour de pâques placé sous un temps gris, en quarantaine.
Installé à la table familiale, la baie vitrée au fond du séjour m'envahit du feuillage printannier, dense et répandu de plein cadre.

Ainsi s'achéve un bon repas entrain des impressions d'Emma sur l'armée, ce qui m'a donné une premiére idée de tout ce que cela consacre en endurance mentale et me fait réflechir-pourquoi pas moi- à une future entrée en commando parachutiste. Le grand frisson.Enregistrement de films copiés au disque dur externe, et puis s'en va...
Ce soir, je me couche tôt de maniére à joindre l'utile à l'agréable : le sport. Jogging, natation.
Je vais reprendre la cadence perdue en jogging. On me disait à l'apéritif, que mon running du Boulevard Notre Dame au Pharo et l'avancée sur la corniche jusqu'au David, le rd point du prado et Castellane représentait tout plus 2 ou 3 kilométres. Je dois être capable d'en courir 40.
J'ai bien l'intention d'être dans les premiers au prochain marathon de Marseille.
Pour cela, je me coucherais trés tôt la plupart du temps pour prendre l'habitude de me réveiller à l'aube, ce qui m'implique série d'entrainements consécutifs.
Je reprendrais l'itinéraire du Marathon. Le travail ne pose pas probléme, je reste en tête et tout mon travail personnel n'a été fait autre part qu'au lycée même.
Je vais remonter les épaules entre tractions et parties de crawls, je n'ai pas à me plaindre des abdos, par contre je vais vraiment décupler les bras.
On est un homme ou on ne l'est pas. Je ferais mes classes dans l'armée aprés deux ans de break à sinuer la Russie. J'apprendrais la langue là bas, mais tout autre pays est aussi bon à prendre.
Mais j'ai besoin de faire des fixations pour m'engager et aller au bout de mes objectifs, sans les défis ma vie ne vaut pas la peine d'être vécue.
Au bout de ces deux ans de galére et d'apprentissage, je m'inscrirais dans un régiment de parachutiste, et de là je viserais à être le meilleur.
Enfin, guide-Accompagnateur n'est pas rangé dans les cartons, ça reste simplement à cheker.
Sur ce, j'y vais.

L' Expatrié Allemand d'Apple

Voilà. ç'aura pas été long, mais j'ai accueillit l'allemand, ou plus vraisemblablement un américain de San Francisco qui bosse pour Apple et qui serre de temps à autre la main de Steve jobs.
Il voyage pas mal sur le compte de la société pour négocier des contrats, il revient tout juste de Rome, et Il Mundo ressorti de sa veste en était la preuve.
Mais s'il a vécu et voyagé dans de nombreux pays pour négocier des contrats, on a du mal à le concevoir en Jeans et veste en cuir.
Son fils est lui inscrit dans l'une des meilleures universités de New-York, la tisch Institute.
Il n'est pas resté plus longtemps, préferant l'hotel à un studio à peine plus large pour deux.
De le voir partir aussi précipitamment m'a un peu vexé, c'est comme s'il me jugeait déja ininteressant, qu'il aurait mieux fait de tracer sa route. c'est ce que j'ai senti quand il me reprenait dans mes "I don't know..." ce qui est loin de résumer nos échanges.
Il s'est est d'abord prit au temps, ensuite la ville dont nous étions communs de dire que Nice est bien plus sympa, pour finalement se raviser en me voyant buter dans mes phrases : en compagnie d'un type qui bégaye l'anglais, dormir dans la même piéce, trés peu pour moi ! M'enfin, c'est égal.On ne peut se faire une idée d'ensemble d'une rencontre amical, juste apprécier ce qui circule de court terme.
J'imagine juste des type qui se payent du bon temps au compte de leurs sociétés, qui vivent ici trois ans à Phuket au Vietnam, là deux ans... contre des contrats signés.
Un mode de vie souvent incompatible à celui du salarié vivant de l'informatique, et de son univers virtuel, étant lui chargé du service Vente.
Je sais juste que s'il m'arrive un jour de le joindre à son portable, ce sera pour lui dire de se rendre à la librairie la plus proche et de chercher tel livre en début de rayon. .. Et qu'on peut se retrouver pour discuter de ce qu'il en pense !

Plus tard, à 20h32 : Un escroc professionnel. J'en ai eu la confirmation depuis les commentaires de son profil, via les personnes consultant mon profil. Je n'ai plus qu'à le dénoncer à la police demain matin.
J'ai l'impression qu'on a des tas d'informations sur ce type- carte de crédit Wells Fargo, séjours au Mexique, reservation dans un hotel Etap Hotel le mois dernier- mais qu'on fait rien pour le court-circuiter.
En prenant le chemin pour faire mes courses, j'ai fait de larges détours pour enquéter auprés du garde-fou du métro, à des secouristes de la croix rouge qui vont surveiller ma description faite du bonhomme.
J'ai appellé les lieux dits desquels partait en direction notre ricain : bld Rabatau. Je me suis renseigné sur les possibles réservations des trois hotel, et mon indic receptioniste m'a parlé d'une resa vieille d'un mois.
Le nom qu'il utilise tourne autour de Franz Freidrich, et là j'avais celui de Franz Eric.
Il m'a donc envoyé sur une piste pas si mauvaise que ça. On peut le retrouver par Interpol, en espérant qu'il soit assez ignorant pour cela.

Samedi 11 Avril Mon compte reversé de 150 eurs d'assurance vol- affaire bien délicate pour jamais y compter dessus- quelques chéques d'anniversaire(j'aimerais les remercier), j'ai une idée d'à quoi pourrait servir symboliquement cet argent : un passeport...éthique.
Au delà du 22 Avril, les passeports devenant biométriques, rien n'empêche d'y échapper on en faisant la demande express, par les moyens classiques : unique relevé d'empreinte digitale du pouce, et non d'une puce gps des huit doigts et de la face.
Seulement Mardi matin pour s'y prendre.
Jeyeon s'étant désisté hier soir sans me prévenir au telephone; je le dois bien à l'Allemand qui va venir ce soir à 18h.
Je vais bientôt partir, j'ai deux heures d'entrainements à l'Escale Borely à 15h.

Jeudi 09 Avril :Décidement, cette B.o du vol de phoenix( jamais qu'une musique de plus sur le Cv déja impressionant de chez Varese Sarabande) est fichtrement bien. Reprise sur Lost.
Je sors du lycée, et voyant que derriére l'espace Julien des staff déchargeaient du matos, j'ai proposé au chef mes bras, ce à quoi il rappellera au numéro laissé sur le Cv.
Ce matin, une heure de Sport se dévouant au volley. Dans mes vanités de Duluoz, les lancées de derniers instants qui ont manifestement fait frémir ma classe !
J'apprendrais plus tard dans la matinée qu'aux dire d'un grossier personnage, l'année prochaine on l'aurait en moins. C'est jouable.
Puis l'aprés midi, les cours s'arretant à 15h, je trompe la vigilance du garde-fou de métro et reviens sur le cours. Une heure aprés, il aura fallu une demi-heure pour venir à bout du classeur Crij, relevant de nombreuses offres alléchantes. Il en va sans dire que l'Animation est porteur, je reviendrais dessus plus loin.
Plus bas, direction la Cité des Métiers. Un exemple vous dresse le portait de la hôtesse d'accueil : aprés être instamment demandé de sortir pour fermeture et vérifiant mon dépliant dehors, je reviens lui suggérer de mettre à disposition de plus récents que de ceux du trimestre dernier.
Croyez bien que si j'en parle, c'est pour affiner mon sens critique. Je me fous d'elle comme de la derniére chemise du directeur de centre aéré imbu d'airs pompeux.
Car de retour chez moi, le télephone sonne. Un responsable du centre de Loisirs Mer et Colline nous plannifie un entretien la semaine prochaine pour mon stage pratique de Bafa aux prochaines vacances. Non mai perdere speranza.
C'est plutot cool donc. Au lieu de négations, j'ai là des possibilités de taff de meilleur augures.
Encore aujourd'hui, je revenais de deux courses du Monoprix qu'en leur abordant le sujet, ils me demandaient, moi, ce que je voulais faire ! Déconcertant. Et une bonne occasion, tout comme la caissiére étudiante, de soit me trouver un taff d'aprés lycée, soit de bosser l'été.
Mais il ne sera pas dit que je ne ficherais pas une rame cet été. J'ai bien l'intention de prendre du bon temps à barouder je ne sais où, l'idéal étant les pays anglo-saxons.
A ceci prés que si d'entre de multiples échecs, on me propose un poste d'Animateur(fort probable à ce rythme) , ou de saisonnier, je ne dirais pas non !
Ambitieux comme moi c'est bien, faire c'est mieux. Et comme dit Kerouac, du style ce qui importe c'est ce que tu y mets.
Ne reste plus qu'à contacter ces gens, et me tenir informé des réceptions de candidature.

Mercredi 8 Avril Déterminante et digne d'exploit, cette journée tombait apparemment au mauvais jour. Il s'avére qu'un salon de jobs et de recrutements sur place, était proposé à l'Escale Borély. Il semble qu'il leur était inutile de mentionner l'adresse, constat flagrant qui m'amenait à questionner dans une boutique de surf, une aimable vendeuse, qui ne s'est pas faite attendre pour creuser sur Internet et télephoner à leur standart. Un Cv plus tard( en cas de remplacement), et arrivé sur les lieues, je m'avise de tout entreprendre.
Le premier, bluesy et apathique, m'attend parler. Je ne m'étends pas plus sur moi que j'invite ce monsieur à se présenter : les présentations sont faites, un service de critique de presse.
Mes réferences en journaux suffisent à lui convaincre, et quelques photocopies de Cvs et lettres de motivation plus tard, j'aurais postulé en groom d'hotel 4 étoiles, service à domicile, Auchan, Darty, et j'en passe.
Je file dare-dare sur la corniche, où je talonne un bus. Une frite moyenne en moins de temps qu'il n'en faut pour caler la panse, je rentre en salle sentencieusement solennelle.
L'heure est grave. Examen blanc, et une heure de retard à rattrapper sur mon compte.
Je mets les bouchées doubles, si bien que j'avance les croquis de la semaine prochaine avant tout le monde. Parfois, il m'apparait que j'ai fait mes preuves pour être un jour noté à égal de mes camarades. Enfin.
En repensant à ce caissier du supermarché intervenu pour bloquer une vingtaine de jeunes noirs et étendu à terre, les profondeurs glauques du métro qui venaient de me recracher prenaient forme. Cet épisode d'une violence comme je n'en ai jamais connu m'aura si choqué qu'instantément s'est gravé une dûre tâche, à vie. Ils étaient nombreux, mais jeunes. Ce qui m'a reculé, c'est de voir des jeunes de quinze ans s'y mettre comme s'il s'agissait d'un caillou qu'on shoute. C'est là que j'ai tout comprit, tout était plus clair.
J'allais me supasser, physiquement. Repousser mes limites, exploiter dans ce sens la vivacité de mes instincts, ma rage aussi, ou les deux. Sacrifier ma vie pour défendre leur peaux.
Et si un jour, il se repasse la même chose, je me battrais, comme un homme.

20 ans. Au sortir d'un rêve avec une musique de cirque, foklorique. Je suis en train de revoir par flash black le film de ces vingt derniéres années, la fin de mon enfance... ou pas.
Ce qui me préoccuppait le plus, et c'est encore d'actualité aujourd'hui, le silence de Yack dans ses déplacements. Le séisme s'est fait centir à cent kilométres à la ronde, mais lui dans tout ça ?
Que fait il, où est il ?
Ce matin, pour moitié libre, je vais en profiter dans mes recherches et insister sur " appel à témoins"...
Ilaria, rentrée du Maroc, me proposait la veille de fêter le départ de valentina, copine croisée à deux reprises, laquelle j'étais sorti Vendredi soir pour me lier d'amitié d' un jeune professeur d'italien tendant une cigarette ou du feu aux bonne réponse portant sur les péchés capitaux, les capitales. Une jolie inconnue m'attrappant par la chemise au sortir du Shamrock...
Enfin, c'est bien passé. C'est hier soir. Je cherchais d'un oeil distrait mais alerte, mes courses à ce supermarché du Cours Lieutaud. Une jeune étudiante, typé asiatique et toute fine, écouteurs aux oreille, m'oubliait déja ce que je faisais ici : je perdais la tête, charmé.
J' en tombais réellement amoureux; empoignant un sac déja à craquer, je m'élançais à sa poursuite qu'elle se subtilsa au carrefour. Je remontais l'escalator du métro, dépité, et c'est Ilaria qui me vit la premiére, les yeux rivés à ce sol cuisant d'été.
Que vais je faire cet été ? Si rien n'est trouvé, je prends mon sac.
En attendant, je cherche.

Salut !

C'est un peu dans les vappes que je m'en remets à mon journal virtuel (j'attends tjrs la réponse d'Eurolines, de s'ils ont jetés aux ordures mon journal ou pas) :
A ce jour, j'en suis à ma 3éme conférence : tout derniérement : le Parnormal, avant ça l'astronomie(débat que j'aimerais reprendre à l'Alcazar, ce soir ou demain, faut voir)
et fin Février, les hommes fleurs de Sumatra... Pour dire qu'il y'a des choses intéressantes.
Hier, j'ai pu profiter de l'aprés midi d'habitude libre, pour assister au Crij, aux conseils de spécialistes sur les séjours à l'étranger en Europe.
Et puis, jai enfin finit la demande de Carte d'identité, Internet, tv, et télephone sont installés...
Quelques jours aprés, j'avais ma réponse du stage du joli mois de Mai, face au four à Navettes... Ne reste plus pour moi qu'à trouver celui de Juin, sans oublier ce stage pratique de Bafa dés Avril, pour m'éviter d'avoir à le repousser dans mes vacances, dont là encore j'ai quelques projets d'Animation, si rien n'est trouvé en cueillettes, et tutti quanti.
J'y vais

La crise a bon dos

"La crise fait ressortir ce qu'il y'a de plus profondément humain en nous : pas l'égoisme ni la compétition à outrance, mais l'entraide et la solidarité. C'est ainsi. Les sociétés qui par le passé ont survécu aux grandes crises, qu'elles soient sanitaires, économiques, écologiques, avaient un point en commun : la logique du groupe l'a emporté sur celle des individus. "

Salut ! J'aurais envie de vous parler de l'Italie, puis revenu de cette semaine bien remplie cette premiére impression en Bafa, enfin la négligeance des deux journaux que je tiens à la fois( ma préference en allant largement aux fines feuilles du carnet noir egaré en car)
Je l'utilisais encore à une aire de repos, et dans le car brinquebalant sur les derniers kilométres, la folie d'emporter quantité d'affaires sensés m'occuper m'a fait oublier l'une des rare choses matérielles que je tienne vraiment. Affaire à suivre : j'ai encore la compagnie eurolines sur qui interroger, et peut être que par chance on le rapportera dans les affaires oubliés...
Je vais couper court à un début plutôt bien romancé, avant j'aimerais parler du Bafa :
Trés bonne ambiance, bon enfant. En tout nous sommes sept gars pour plus d'une vingtaine de filles dont je ne m'étonnerais pas que quelques unes me trouvent à leur goût... ! Hé oui, mon ptit Paul, va falloir assurer d'autant qu'étant seul représentant masculin à fumer avec toutes ces filles, j'en profite pour mieux sympathiser. Demain, j'attaque... et je reprends le jogging matinal pour garder la forme. Allez, j'y vais. (vérifier si Eurolines ouvert)

Ciao !

A ce que je vois, on en est à un stade embryonnaire. Comme je regrette mon dernier article quand il disait sa crainte de se faire voler l'ordi : j'en avais encore un ! En réparation,Sav
. En ce qui concerne son malheureux possesseur, au Cdi( où il a trouvé refuge) aprés un détour au parc( les mêmes drôles d'habitués à s'installer le midi : un sdf barbu et paisible- clochard céleste - et une lycéenne blonde, bourgeoise anti-conformiste agréable à l'oeil) et la mairie avec un dossier encore incomplet pour prétendre à une carte d'identité : un acte de naissance et une facture du logement actuel en manque ... soupir. A ce train là, compter un mois. Je créve d'envie de me prendre un passeport, mais pour ça il faudrait 88 Euros, dont l'investissement à ce jour se porte à un séjour sur Bologne et Venise( chez le couple que j'ai hébergé de ça un mois)... les villes alentours seront de la partie : on en reste là !
Remplacé en passeport biométrique l'an prochain, l'original m'est nostalgique et pour cause; enclin à une longue série d'auto-flicage prohibitifs.
J'ai accueillit une italienne , Ilaria, qui vit maintenant en colocation avec six filles ( me propose d'assurer la reléve à la fin de son semestre Erasmus une fois que j'aurais mangé son tiramisu) , dans le quartier, à deux pas de chez moi. Preuve qu'elle ne m'oublie pas pour de bons plans comme on s'en est fait lors de son séjour prolongé, c'est qu'elle me proposait de boire un verre deux deux jours avant ! Jusque là rien d'extraordinaire, mais c'est quand même génial qu'une copine italienne puisse faire de la place aux airs de dolce vita, non plus le quartier de son hôte mais son quotidien tout prés de chez moi...
Les voisins ? J'en ai fait de bons amis prêts à me laisser de tps à autres ressortir le rhum vanillé, l' apéro et les jeux de play'... Parfois je culpabilise ! C'est à moi de les inviter, mais j'ai rien prévu en une semaine limitée dés ce soir et demain, à du theatre(fin des répétitions, on pose le rouge,et on passe aux choses sérieuses, champagne ?) suivi à la télevision d'un reportage tant attendu- en deux parties- Iran et l'Occident... Reste Jeudi, l'aprem rdv avec la banque récup ma carte de retrait.
Autrement, j'ai eu Vendredi soir comme un déclic, une vision net où toutes les piéces du scénario finissent par s'imbriquer d'elles mêmes . Pas la peine d'en dire plus, j'ai seulement une minute pour foncer au portail

4 Janvier, 19h06 A la gare. Hier soir, justement, s'il n'y avait pas la police autour, la bande de jeunes serait allée plus loin qu'à débrancher ma prise comme si de rien n'était...C'est les risques du métier.
J'ai souvent l'impression qu'avec mon ordi ou mon comportement, je suscite jalousie : c'est ce qui se passe dans ma classe avec l'autre zébre et parfois ici, petits cons aux regards en biais. (ceux ci sont souvent l'objet de sentiments refoulés comme le défoulement des poings)
Enfin. Et pour ne rien arranger, des hystériques de filles qui crient et hurlent à n'en plus pouvoir finir... Transportons nous ailleurs, dans un univers bien plus familier, mais étranger : la suisse !
C'est là qu'on a decidé de venir y feter nos vacances de Noel, dans un gite surplombant genéve !
Au final, ç'aura été de bonnes soirées : celles de Marseille( en famille, ou avec Cath' ; la sortie inavouable en boîte avec Cam, yack, Céline(cop de boulot à C.), Manu et sa cop Gaelle... Bref, tout ça pour dire que je me suis retrouvé sur le podium à danser collé serré" avec une charmante demoiselle ! Et aussi les filles qui nous acclamaient ! C'était énorme ! Enfin, on en a assez parlé ; )
Puis les potes de Cam, Laurent, un pote à lui, Jérome ( qui est resté dormir chez moi, une derniére bouffée d'herbe avt de se coucher :) etc... Ensuite, aprés ttes ces supers soirées, on a quitté marseille en train pour rejoindre Genéve.. long...
Arrivé là bas, le plaisir incomparable de se sentir à l'étranger, les accents des femmes...
Rien de tel ! On a vite fait de se ballader au fil des rues baignées par la lune et les lampadaires...
On a retrouvé Patrick et Alexia( qui était ravie de nous revoir) , et Lina qui nous attendait au gite ! ( c'est bien mon chien) Ensuite, en route vers Toutry.
Quelques bouquins plus tard, c'est le nouvel An ! Yannick, sourire en coin, qui me disait que je pouvais tjrs tenter ma chance avec son ex, Myriam ! Suite à un léger mal de ventre, celui ci a la discrétion de me dire à voix haute ( assez pr que les copains plus au fond ds le local l'entendent )
qu'effectivement je suis mal parti pour ! Effectivement...
Bon, j'aurais l'occasion de revenir un peu plus long dessus une prochaine fois, pas ce soir je dois manger et finir de peindre ! C'est pas une vie, d'être artiste : )
Bye brother, ou tout extraterrestre qui aurait reçu ces ondes !


PAUL