samedi 15 novembre 2008

Добрый вечер

(bonsoir) dabrÏ vietch ( pas évident, celui là)
Samedi matin, je suis retourné chez Damien prendre le petit déj' en passant, et une heure aprés(le temps passe plus vite) , on est allé dans la cave continuer nos ptits travaux.
On discutait du lycée, des voyages et de la famille avec Tim', c'était sympa. Je suis retourné à mon studio le midi, et là, j'ai repeint en blanc( peint en certains endroits, j'insiste là dessus) la salle de bains, ce qui m'a prit l'aprés midi.
Le soir, je suis allé tester un autre bar sympa du cours ju' : DAN rACING, et c'est pile le moment où y'avait un groupe donc on est restés à une table, à siroter notre despe.
Et aujourd'hui, je comptais aller au seamen's club mais y'avait si peu de bateaux que ça tournait sur la matinée, un peu tard pour un réveil à 9 hrs.
Et je suis revenu le midi pour un repas comme j'en ai pas fait depuis longtemps : colin, purée et salade de tomates...
Suivi de Dead zone, un feuilleton pour digérer.
Comme je n'ai plus rien à dire, à part que la semaine va être trés longue... j'y vais ! Bye.

mercredi 12 novembre 2008

scénarios envisageables

(musique, Jamendo", Saregama, Water)
Voilà, quelques idées de mon livre notés hier soir... Vous verrez que l'idée de la contradiction influence beaucoup mon travail de recherche. C'est pas seulement le côté schizophrénique, mais l'idée que nous sommes le produit de milieux ambiants et que nous sommes n'importe qui, n'importe où bien que certaines valeurs restent inchangées. L'idée serait qu'à la fin, ce jeune comprenne qu'on peut trés bien cultiver cet esprit de contradiction sans que ce soit déraisonnable.

VERSION 1
Le personnage / Chris est blasé.
Il rêve d’une autre vie. Une nuit où il parvient, après des années sans y’arriver, à rêver, il découvre le secret de la contradiction. Au début, il cherche en vain de trouver la suite, en se couchant plus tôt mais rien. Déçu, il déprime et nous plonge dans son évidente monotonie.
Puis il se remet en tête ce qu’il s’était promis de faire pour écrire : observer.

On découvre un peu plus son passé, sa vie présente ou passé.
Il observe donc plus attentivement son quotidien, et au fil de ses interprétations, il se rend compte d’une chose qui chaque fois le ramène quelques instants dans la suite de son livre. Il étudie justement de nombreux livres pour améliorer son écriture, sa structure interne.
Dans certains moments, on retrouve des aspects de ses suites. Petit à petit, il s’en inspire.
Il décide de faire tout l’inverse de ce qu’il avait fait, ou pas fait auparavant dans la vie.

Au fur et à mesure qu’il délire et n’est plus du tout le même( hallucinations, fatigues) , on comprend qu’il a trouvé ce secret( la contradiction)…
En fait, on comprend, pourquoi il n’est plus en retard et ramène de bons travaux, il ne dort plus depuis plusieurs nuits pour travailler. Ce qui expliquerait en partie ses délires imaginaires.

Les suites de ses rêves nous ramène de plus en plus à son présent…
Puis il s’effondre de fatigue, par terre. En pleine rue.
Des secouristes viennent lui faire des massages thoraciques, mais il ne répond pas.
Ils ont tout essayé mais rien, même s’il respire. Ranimé, ce serait de toute façon peine perdue puisqu’il serait un légume. Mais il n’est pas mort.
Il fait un rêve qui surpasse tout ce qu’il a vécu.
L’espace de quelques secondes, il touche « l’âme du monde »…
A son réveil, il décide de parvenir à retrouver cette âme, il sait qu’elle est au fond de lui mais ne sait comment y parvenir.


Ps : cette version parait un peu beaucoup extravagante. Des idées sont à retenir, comme la notion de rêve qui disparait face aux connivences sociales...( tome2 !)

Version 2 :

Chris, dans son rêve, ressent l’âme de son grand père. Comme il écrit un livre, il cherche à en savoir plus sur son passé, ce passé qui aurait pu être tout autre, puisqu’en réalité ce qu’il a vécu était tout tracé à l’entendre dans son présent.
Donc, comme ses rêves se font plus rares et alors qu’il sait qu’il approche du monde adulte et qu’il quittera pour toujours son enfance tissée de rêves, il décide ce qu’il s’était promit en écrivant : observer.
Dés lors, on s’aperçoit qu’il n’interprète plus et que les explications se font plus simples et moins compliqués.
Il finit par changer ,radicalement.
On en apprend un peu plus sur son passé, sur sa vie. Les rêves se font plus rares, mais là encore, les suites de son livre qu’il imagine sont surprenantes parce que sensiblement différentes de ce qu’il a vécu.
C’est là qu’on comprend vraiment que non seulement, le temps approche où il va perdre à jamais la trace de cet être qu’il aurait pu être, mais aussi toute concrétisation de son projet de roman, et plus encore, ce ressenti très fort au tout début.
Il n’aura qu’une idée, aller rechercher cette émotion si forte et si immense qui lui donnait le sentiment d’être un homme nouveau. Il étudie des livres, la philosophie, la psychanalyse. Il cherche à savoir cette chose qui rejoint en un sens le charisme, que possède certaines personnes des plus influentes au monde…

Parce que Chris va effleurer la connaissance transcendante, appellé aussi "âme du monde".

mardi 11 novembre 2008

Miroir, mon beau miroir...

Salut,
Comme vous le voyez, y'a du changement !
Pour revenir à ce commentaire reçu aujourd'hui : " well written article" sur l'un de mes premiers articles, je ne peux que supposer que la personne en question qui parle en Anglais est bilingue pour s'exprimer dans la langue de Shakespeare et connaître la langue de Cocorico, le coq au sang chaud.
Je me demande qui cela peut bien être... hum, hum.
Bon, et un grand merci à tout les poilus de France sans qui je n'aurais jamais pu m'octroyer une grasse mat' ce matin, ça c'est cool ! ( Saviez vous que le dernier poilu s'est éteint mars dernier à l'age de 110 ans ? Comment faisait il ? Le plein de légumes, un régime draconien riches en oligo-élements ?)
J'en ai profité pour me faire un planning, et lire l'histoire de Google au chaud....
Ah, et c'est aussi aujourd'hui que j'ai testé ma noix de coco ! C'est délicieux, je vais en racheter d'autres, tiens.
Sinon, tout va bien.
Samedi soir, j'ai eu un match France -Argentine et enfin, j'ai pu faire autre chose qu'écouter les histoire de culs de mes amis secouristes, en montant en haut des tribunes( je louchais entre l'arrivée de Chabal acclamé par la foule et ce qu'écrivait les journalistes sur leur ordi portable. C'est à la radio que j'ai apprit qu'ils avaient bien rapporté les infos : " Chabal a été accueilli en triomphe par la foule, lors de... Nathalie Omzer pour France Inter."
Mais le plus important à retenir, c'est cette femme de quarante huit ans qui est décédée d'une crise cardiaque.
Les secouristes étaient en hystérie, et je crois n'avoir jamais eu aussi honte de porter l'uniforme.
"Le cadavre..." , " Ouais, mais tu vois, j'apprends ça et c'est limite si je m'en fous"... ( en même temps moi aussi je m'en fous, je la connaissais pas. Pas besoin de faire tout un foin si on en est pas proche et que dans ces moments, la tristesse et les larmes ne viennent pas. Il y'a quelque chose de plus indéfinissable chez eux, le respect et la dignité.)
C'est en voyant sortir le pére de l'infirmerie, enfin libre de toute ces foutus procédures en cours ( morgue etc), que nos groupes de bavardage se sont dissous, et que le briefing s'est fait.
Je crois aussi important de dire que parmi les secouristes présents pour en parler, il y'avait des infirmiers( dont ceux qui étaient les plus à mêmes de s'occupper de la femme, massages thoraciques et cie) à l'attitude trop neutre pour être vraie, trop distants. Méprisants.
Il fallait que toutes leurs vengeances personnelles de la société en géneral, ce soit nous qui en portions l'entiére responsabilité, que ce soit nous les enfoirés. J'en sais rien, j'aurais voulu comprendre en quoi consistait leurs jeux. Mais aprés ça, il fallait bien quelqu'un sur qui s'en prendre.
Et qu'on s'étonne pas aprés qu'il y'ait la haine et la violence rassemblés dans notre quotidien. Parce que si on ne se détache pas de certaines vieilles façons de penser, de cet esprit critique, on court à la perte.
Ce qui est génial, c'est que l'histoire ( de notre pays) nous a donnés des leçons mais que jamais au grand jamais on soit fichus de s'en inspirer pour éviter la répétition, les vieilles habitudes ancrés en nous.
Je suis certain que dans nos génes nous portons les caractéres, les pulsions propres à nos ancétres, au peuple.
On pourrait dire que nous sommes vieux de plusieurs milliers d'années, mais non, nous vivons en société pour se critiquer, pour raviver nos souffrances passés, du passé, sans jamais soupçonner aimer son prochain.
Qui dit que l'histoire, si elle a sa suite, ne peut pas être détourné à des fins meilleurs et plus justes.
Parce qu'il est faux de s'en remettre au mal, ce mal qui nous ronge et que l'on finit par concevoir inévitable et parfois nécessaire pour se faire entendre.
En fait nous passons à côté. Nous sommes simplement des êtres spirituels( ce qui expliquerait l'éternel engouement des religions, traditions, modes de vies spécifiques et universels)mais trop individualistes pour mettre en avant notre richesse intérieure. Ce qui est fou quand même, et une femme à la radio en parlait aussi, c'est qu'on se tue à s'employer, à ruser de propos stupides et voraces, seul maniére pour nous de se prouver, de conclure à l'incompréhension grandissante, extérieure et intérieure.
C'est clair que tout ça, c'est bien propre à notre culture. Mais comment aimer des gens constipés, reservés, avec des sourires de façades, hypocrites accomplis ou cons tout court ? Comment s'y identifier, je vous le demande... Ne dit on pas les gens avec dédain, ou avec cette petite idée dans un coin, selon laquelle que ce sont des gens, et rien de plus que la masse tant désirée ? La vieille femme dans la rue ne m'a t-elle pas roté à mon approche, le gars d'une grosse voiture n'a t-il pas insulté ma mére, n'y a t'il pas des regards hostiles, suffisants ou sans géne ? Dans le dvdthéque, le gars a prit son dvd sans s'excuser de le cueillir sous mes yeux, dans un supermarché aux heures d'affluence, les gens se bousculent sans crier gare... Et n'ai je pas un exemple concret, à portée de main, depuis deux ans, dans une classe où l'hypocrisie et les propos vexants se font sentir ? Non, je rêve, j'ai rêvé debout. Car cette méfiance entretenue ne peut pas être assimilé dans tout son éclat, dans toute sa verité. Les gens entretiennent leurs cauchemars, dans leurs songes où tout ces mauvaises pensées ne sont pas critiqués parce qu'inaliénables, individuelles. Et puis, vous en connaissez beaucoup, vous, des gens qui vous reprochent d'avoir fait un mauvais rêve, d'avoir pensé des critiques ?
N'importe qui peut faire n'importe quoi d'injuste parce qu'au fond, trés peu vous en tiendra compte, pas vrai.
Alors, le cauchemar continue. Et les français sont petits, trop petits pour envisager aux valeurs fondamentales, universelles qui subsistent en ce monde et qui nous font vivre la vraie vie.
On parle parfois de voyages, de projets, qui sont souvent décrits à l'évidence sans que rien pour autant ne soit fait. La France, un des pays dont les habitants s'expatrie rarement. Qui l'aurait cru ?
L'italie, la Suéde, viennent en tête, nous, nous nous contentons de fermer la marche et de rechigner à notre classement, à notre place.
Je me suis souvent demandé quelle interprétation convenait le mieux selon les circonstances, dans une époque où les informations sont diverses et variées et où il faut parfois savoir lire entre les lignes.
Je réfléchis plus d'une fois à ce que je vais dire, et ça n'a pas toujours été le cas, mes erreurs de paroles, imprécises et maladroites m'ont fait comprendre que la sagesse s'acquiert avec le temps, et que c'est un vrai travail de conscience en profondeur.
Je ne sais pas si mes compatriotes semblent incarner tous l'idée que je me fais de la société sur Marseille, mais certains aspects se révélent identiques partout. Dans le Sud ou ailleurs.
Tant qu'on ne changera pas nos habitudes et qu'on ne sortira pas de cette fatalité d'individualisme( il n'y a qu'un ou plusieurs personnages principaux au cinéma.) Chacun son rôle, croit on, et quand fourmille des egos démesurés qui se rencontre, nos clichés nous raménent à la haine. Nous ne sommes plus uniques, on est surpeuplés, bouhouu. Mais au lieu de revoir nos classiques, prenons le temps de lire et d'écrire. De s'amuser, d'échanger.De faire l'histoire,la notre. Pas celle des Etats-Unis d'Obama, populaire, où l'on se projette pour en parvenir au malheureux constat qu'il n'en est rien en France, mais surtout que rabougris, s'ils le sont ici, on ne peut que l'être. Ne dit on pas à juste raison que les autres sont notre miroir, le mien, le tien.

jeudi 6 novembre 2008

Coucou toi !

Et bonjour ! ( whaa, on va baisser la taille d'écriture) , ça va ti ?
Bon, bonne nouvelle pour moi puisque je risque de me mettre en colocation avec un trés bon pote à moi, jeremmy qui estd 'ailleurs du même lycée, sauf qu'il est de la classe de dessin différente, Decg. Ouais, donc on s'est parlés hier soir et l'idée serait de se revoir un jour pour faire le point, j'ignores quand. Je suis au lycée, il pleut, et un bon vieux copain de classe est à côté. J'adore ces journées de pluie, où on vient se poser et déballer ses histoires. En l'occurence, même avec un ordi, c'est jamais mieux que rien.
Hier soir, en revenant de la gare où j'ai une fois de plus remercier Mcdo de cette fameuse connexion internet wifi gratuite et illimité, j'en ai profité en chemin pour faire du porte à porte de restos . Si vous voulez vous faire une idée de l'intérieur, de l'ambiance, ou découvrir les plus récents en date, rien de tel.
Pour ce qui est du Pse1, c'est mort. Au moins, j'aurais profité de quelques cas concrets, et d'analyser pas seulement dans leurs bureaux mais aussi dans ce qu'il pouvait bien y'avoir dans l'hamburger pour avoir de sérieux problémes de digestion tout l'aprém, c'est sérieux.
Encore Dimanche, mais le suspens est finit, car je me suis bel et bien foiré au premier test avec le défi' (...défibrilateur, Dsa, et toutes les autres abréviations comme autant de sortes de défibrilat, 5eur) Ce qui est bien aprés, c'est de pouvoir en parler avec maman et de pouvoir se comprendre, de même concevoir ce qui peut bien se pasesr pour elle en réa, en chirurgie ...
Derniérement, match om/Psv Eindhoven (3/0 pour nous) , j'ai eu droit à une désinfection de bobo de policiers, c'est dire comme on avait rien à se mettre sous la dent.
Si mes recherches restos n'avancent pas( quelques uns d'interessés cela dit) , j'aurais au moins un job temporaire, pour de l'argent de poche !
En effet, Damien m'enbauche pour sa société de chemises perforés, et je commence demain soir avec Timothée, pour 3h/semaine à 7,50 eurs/heure soit 22,50 eurs par semaine, soit pas loin de 90 eurs par mois, sympa non ? Plus d'excuses pour économiser.
Un prétexte sympa pour se retrouver en famille et passer du bon temps.
Pour ce qui est des cadeaux, j'ai celui de Yack, Cam... et le mien... (en avance =) Dans le matériel du_ parfait voyageur, j'ai le sac à dos, lampe de torche, ceinture cache billets(récent), sac à viande, duvet polaire,ma gourde, chaussure de rando... Manque cafetiére miniature, boussole et savoir lire le ciel ( chose qui ne s'achéte pas)... un thermostat ? Non, j'en vois pas l'intéret.
Je crois que c'est à peu prés tout : et passeport, visas...
Quoi, on a le droit de rêver non ?
A propos de rêver, mon livre commence là dessus mais aucune idée pour la suite. J'ai plein d'idées pour mettre ça en scéne, le théme étant l'éthique.
Je crois que j'ai de bonnes années devant moi pour structurer mes phrases et leurs contextes, leurs pistes... Soit je continue de noter mes idées( 9 pages) jusqu'à aboutir enfin sur un vrai scénario( qui débouche forcément sur les deux autres tomes de la trilogie, "Politique, lien avec les autres" et tome 3 " Histoire, Univers"... ° soit j'aurais de toute façon un scénario mais la suite doit s''enclencher avec les suites... ce qui raméne à croire que même en admettant avoir finit ce livre ( que j'ai commencé en Juillet), il faudrait encore des années pour faire les deux autres et modifier en fonction du contenu...
Parce que j'ai vraiment l'ambituion d'en faire un chef d'oeuvre, et ça me prendra des années s'il le faut. Je sais plus si j'en avais parlé, mais en étudiant la philo, l'idée d'une trilogie m'est venue tout seule. Comme j'hésitais à écrire une autobiographie à la troisiéme personne, avec pt de vue parfois interne parfois externe, (tome 3 , omniscient ? on parle de l'histoire et de l'univers qui englobe tout), oui, comme j'hésitais à parler de moi ( ça me semblait prétentieux, égocentrique) j'ai réalisé quelque part qu'on retrouvait souvent trois notions depuis l'antiquité grecque, que ce soit par Aristote ou Platon. Avant ça, je vais parler de mes choix qui m'ont conduits à cette notion des trois.
Tout d'abord, je voulais reprendre des idées philosophiques, me poser moi et mon entourage, de façon subjective mais aussi objective( pour arriver à un réel constat, ego son artificialté comme sa profondeur plus en avant, et prendre du recul) ... Je voulais reprendre des questions existencielles déja connues, vues et revues et aller encore plus loin dans l'évidence.
Je cherchais comment parvenir à un perfectionisme, et comment restranscrir mes idées de maniére à rendre cohérent, éloquent et intense ce roman en devenir, à ce que ça soit le plus simple, le plus évident possible. De sorte que ce témoignage ne soit pas peine perdu et que chacun puisse s'y rretrouver. On aura vite oublié mon roman et son contenu, un livre en laisse place à un autre. Mais quelques mots ou phrases retenues peuvent changer radicalement quelqu'un. C'est mon but. Rapporter les moeurs, mentalités et ambiances d'une ville ( qui est peut être partout la même ailleurs) et dans un autre poser en témoin quelq'un, moi.
Je voulais donc justifier ma prise de position, et savoir à quoi m'en tenir.
Puis aprés des jours à regarder mon ordi sans plus trop savoir écrire, je suis tombé sur cette revue avec écrit :

"Mieux se connaitre, apprendre à vivre ensemble et avec la nature, telles sont les trois matières de la trilogie.
(tome1) L’éthique permet de développer le lien avec soi même; (tome2) la philosophie politique, le lien avec les autres;
(tome 3) la philosophie de l’histoire, le lien avec la planète. Le développement de ces trois liens permet de devenir un être authentique, cohérent, en paix et acteur dans le monde.
Etude des principes de la conduite humaine à respecter .


Ensuite, des réflexions me sont venus. D'abord celle de Camille qui s'exclamait : " qu'est ce que tu peux bien faire à ton échelle ? Oui tu peux apporter quelques changements autour de toi, mais tu pas changer le monde, tu rêves. " Je trouvais que ça résumait assez bien la fatalité, et l'idée que se font les gens de leurs propres vies( pour moi, trés dangereuse. ça enléve toute estime, amour propre) ... Mais je me suis aussi dit qu'écrire à la trois. pers, en parlant de soi pouvait se justifier par ça : Mieux se connaitre pour parler des autres. " Connais toi toi même" ...
C'était tellement évident que je m'en suis tenu à l'idée premiére, tant pis pour ce qu'on peut interpréter. Et justement, il y'a cette réflexion bouddhiste : " Ya drishri, sa drishri. Autrement dit "Le monde est tel que nous l'intérpretons"... Comment y mettre cette substance.
Dans tout les cas, j'avais une superbe occasion pour les années à venir de placer mon temps dans des romans aux valeurs justes, fondamentales.
L'idée d'écrire n'est pas nouvelle puisqu'à 17 ans, je tentais déja d'écrire une sorte de nouvelle que je dois toujours récupérer chez une tante, à Beaucaire.
Je pensais aussi m'entourer de gens du livre, d'écrivains. Il y'a une femme écrivain rencontrée sur la plage qui m'avait proposé de se revoir pour en discuter, et plus tard la réponse de Marc Levy à mon mail me disant que son succés, il l'expliquait peut être à sa spontanéité tout simplement. Sa réponse était bréve et je me suis dit que mes réponses devaient étres bréves et simples aussi. Comment associer l'état d'esprit de Levy avec Kerouac, incarner le plus juste possible mon personnage et sa quête de soi même.
ça fait peut etre prise de tête, mais j'en suis pas si convaincu^^... Bref, autre chose qui validait la régle des trois...

ETHIQUE : TROIS La forme de l’homme, est selon Aristote, qu’il a à la fois, une
« âme de plante » ( âme végétative), une «âme animal » (âme sensitive) et une
âme de raison ( âme intellective, on parle aussi de "l'âme du monde") .
L’homme ne sera heureux que s’il développe toutes les facultés qu’il possède en puissance.
Aristote distinguait trois formes de bonheur : la première forme de bonheur est une vie dans le plaisir et les divertissements.
La deuxième forme de bonheur est de vivre en citoyen libre et responsable. La troisième forme de bonheur est de vivre en savant et philosophe.
Ces trois conditions doivent être réunis pour que l’homme mène une vie heureuse.
S’intéresser davantage à l’homme et à la vie humaine qu’aux problèmes posés par la philosophie de la nature.
Platon pense que le corps de l’âme pourrait se diviser en trois parties :

le désir(les envies)la volonté,la raison...
Il n’y a que lorsque les trois parties de l’homme fonctionnent pour former un tout que nous avons affaire à un homme harmonieux, bien conçu.
Les enfants doivent d’abord apprendre à l’école à contenir leurs désirs, puis à développer leurs courage. A la fin la raison doit les aider à parvenir à la sagesse.


Ou alors, je peux réunir ces trois voies dans un seul roman. C'est aussi une idée.
Mais j'ai du pain sur la planche, et l'eau à la bouche.




Qui êtes-vous ?

marseille, PACA, France
Se décrire fait toujours un peu sourire, surtout ceux qui sont d'une nature trop complexe pour l'appréhender à sa juste mesure. La vie d'un homme n'est jamais qu'une histoire de poussiéres,d'étoiles. Quand j'y serais, je saurais mieux en parler objectivement. Pour l'instant, je viens d'avoir vingt ans, et j'essaie de dessiner les grandes lignes de ma vie en Bma ( brevet des métiers d'Art),avant d'avoir mon bac l'an prochain. J'ai toujours autant de projets pour donner sens, mais le temps se précise et ne sais encore que choisir. Steward, parachutiste en armée de l'air(école de sous off'), ou faire animateur à l'étranger(j'ai bientôt mon bafa), partir dés l'an prochain...

ma liste de livres préferés !

  • Les fourmis (trilogie, Weber)
  • Les clochards Célestes(Ker)
  • Sur la route(Kerouac)
  • les âmes brisées
  • Russe, pratique de base
  • les royaumes du Nord(trilogie)