lundi 28 juillet 2008

Celebre.Et puis quoi encore !

Actuellement, j'ai tellement consacré de temps à mes histoires, que je sais plus trop où j'en suis !
J'ai d'abord commencé un début de roman que je peaufine plus ou moins," les idées du livre", "Souvenirs Rochefontaine" qui fait bien deux pages et qui est loin de se finir, sans parler de ceux de Chartreuse, et tout les autres.
Il y'a les extraits de passage du livre " les Français", passages où je me retrouve dans ma maniére d'être et de concevoir comme dans ceux de mes compatriotes...etc
" Aventures inédites", recueil d'histoires insolites vécues... etc

J'aimerais aussi présenter des personnages rencontrés et les intégrer dans mon livre, mais je sais pas ce que ça va donner...Voilà.

A la plage, on a rencontré une écrivain. Une femme encore sous le choc d'avoir perdu son fils il y'a deux ans, et qui en pleurait derriére ses lunettes de soleil pour ne pas se montrer. C'était dur pour elle de nous en parler(elle avait besoin de se confier), et nous on savait pas trop quoi dire puisqu'on était venus là se détendre.
Cétait dommage de pas savoir lui apporter du réconfort, de pas remonter au fond des choses avec elle, mais en même temps on ne la connaît pas assez bien pour s'intéresser de plus prés à ses ennuis.
Cet état d'esprit doit être probablement le même que tout ceux qui ont affaire à des personnes malheureuses, d'où peut être l'expression" souriant, tu sera toujours entouré, triste, seul." et jack K. de dire " mieux vaut éviter l'amertume des gens, ravageuse" ou quelque chose du genre.
On est face à un sacré dilemme puisqu'on se doit de l'encourager à vivre, mais tout ce qu'on trouve à dire c'est des banalités ! C'est fou.De toute façon, l'enjeu reste le même : se relever seul.
J'imagine que c'est dur quand ce sont les autres qui agréementent notre vie, mais je suppose que c'est le travail de la concentration, de la perséverance, autrement dit du courage.
L'idée qui serait la bienvenue, c'est que les gens te tendent la main au départ, et que même si tu boites, suivant le mental, l'énergie revient et on retrouve la force de marcher ou de courir.

Ma mére m'avait fait la réflexion judicieuse qu'à trop courir le long de la corniche, ça finit par en devenir monotone. Pourquoi monotone ?
A courir réguliérement ? Il faut toujours faire attention à ses propos, prendre son temps de réflechir, car parfois on remet en question les intêrets, les plaisirs qu'éprouvent des individus de notre entourage et que d'autres ne comprennent pas. Mais imposer son point de vue, c'est comme rayer un disque.
Dans un bar américain, un cadre affichait une citation : "les musiques sont la b-o de notre vie"...
Le type devait y penser trés fort pour en faire sa propre vérité.
Si les musiques seraient partie intégrante de notre vie, pourquoi pas non plus le sport ?
Ensuite ça appartient à chacun de faire réguliérement du sport, et si on peut juger que l'excés dans toute chose en revient parfois à un désequilibre, ça n'empêche pas à chacun de choisir ce qui lui convient.


Je vous préviens que pour ce que je viens d'écrire, je ne sais pas toujours où en venir et qu'il n'y'a pas besoin de tout suivre à la lettre. Maintenant imaginez qu'à ces exercices quotidiens, il faut se déchifrer, se mettre à la place du lecteur, s'interroger de si tel sujet va l'ennuyer ou de si celui ci en vaudra la peine. Aprés avoir gardé l'esprit de base et de ses dérivés, il faut alléger, enlever le trop plein, et parfois tout reprendre.
Voilà ce que j'entreprends depuis bien un mois, et ce n'est qu'un début.
D'abord, je n'ai pas arreté de vouloir aller jusqu'au bout de mes idées, et ensuite l'envie est trop forte pour abandonner tout un travail de mémoire, d'esprit.
Il y'a aussi un théme qui s'intitule " Société marseillaise", et qui décrit sans éviter de generaliser, les attitudes profondes des gens de ma ville. Parfois je critique, et je m'aperçois que ce n'est pas trop mal de dire ce que pensent les gens tout bas( comme on dit) ( D'ailleurs, je n'aime pas du tout le terme"gens") puis je change immédiatement pour me dire que ça va ne faire qu'aggraver les choses, que la négativité n'interesse peut être pas... etc J'ai aussi fâcheuse tendance à aller d'un sujet à un autre, mais si vous saviez tout les défauts que je me garde d'exposer. Ce n'est pas pour tromper, j'ai découvert qu'écrire permettait de se remettre plus facilement
à l'essentiel, et de moins faire l'impasse sur ce que l'on croit, pense et ressens réellement.
(ça n'est pas de moi, la derniére phrase)...
Je m'aperçois aussi qu'écrire est une forme de statut social. Si on choisit un style plus abordable, on tend vers le classique et ces romans policiers ou à l'eau de rose, faciles.
En partant faire vos courses, dirigez vous vers un rayon de livres : ceux qui sont à succés sont bien souvent les plus accessibles. Feuillettez les pages et regardez un peu le contenu. Vous avez toutes les chances de votre côté pour avoir dans vos mains, un format de poche, un style d'écriture somme toute simplifié au possible.
Hé bien pour moi, ce n'est pas si simple de me cantonner à un style d'écriture précis, son propre style( disons qu'on se facilite les choses en se rangeant à une forme de rendue universelle), je suis un type qui ne demande qu'à exprimer son originalité et sa créativité et qui n'a surtout pas envie de se faciliter les choses, au contraire.
Chaque fois que j'écris, comme maintenant, je sais toujours que mes mots reflétent ma vraie nature et bien au delà de son contexte présent.
Jack kerouac serait encore vivant, je me serais précipité lui demander des conseils, mais finalement
tout est dit et il n'y à pas à chercher bien loin : car tout est dans ses oeuvres.
En écrivant, je me rapproche non seulement de ma vraie nature, mais c'est aussi l'occasion de replonger dans l'état d'esprit d'écrivains comme Kerouac.
Il y'a tellement de choses que j'ai découvertes sur lui rien qu'en écrivant que je me surprends moi même.
Peut être vous me direz "tant mieux" et dans ce cas là, c'est que vous vous mentez à vous même en ayant tout lu depuis le début.
J'espére vraiment arriver à cette sorte de contentement , de satisfaction, en terminant tout ce que je voudrais exprimer à travers mon livre : une autobiographie qui se veut simple à lire, profondément originale et recherchée( des mots sans cesse renouvellés, raffraichis), qui se voudrait à la fois philosophique, l'expérience humaine d'un jeune homme perdu dans une société qu'il ne comprends pas et réprouve.
Qui veut fuire ses problémes alors que ses réponses sont dans ses questions. ( réflexion de mon trip solo en Suéde, pour vous dire à quel point c'est enrichissant de voyager)
Théme que j'ai si bien comprit et que je trouvais tellement ancré dans l'histoire( en l'occurence la mienne) que je l'ai insinué dés le début. Franchement, et je n'ai jamais autant pesé mes mots, c'est surement trop tôt encore, mais j'ai tout le potentiel qu'il me faut pour devenir un écrivain célebre.
C'est sûr, pour être célebre il faut le it, un peu comme les saxophonistes de jazz d'avant guerre qui le trouvent, les plus doués étant ceux qui le tiennent le plus longtemps.
Ce que j'écris n'a rien à voir avec l'écriture décontracté que j'utilise, mais vous l'avez deviné, mon probléme c'est d'être toujours à l'affut, toujours un peu partout. Et si les mots le sont, leurs auteur aussi.
Ce qu'il me faudrait, c'est la même potion magique que Kerouac, qui, disons le tout de suite, est formidable.
Peut être que sa vie le blasait à mort, qu'il n'était pas toujours dans ses baskets(s'ils y'en avaient à l'époque)
mais une chose est sûre il était naturellement doué. Il savait prétendre quelque chose, pousser l'analyse jusqu'au bout, se contre argumenter pour qu'on éprouve pour lui de la compassion, bref, génial.
Son vocabulaire est le premier et le seul jusqu'à maintenant que je connaisse pour délivrer autant d'authenticité, de présence. Ses mots défendent ses valeurs, tout ce qui lui tenait à coeur et qu'il ne voulait pas réduire à néant. Quand je dis que je suis surpris de le comprendre au travers de l'écriture, en voilà la preuve !
J'ai vécu des choses formidables que je ne veux pour rien au monde voir s'envoler dans l'oubli, je sais que beaucoup de gens ne supporteraient pas ce que j'écris comme moi je ne tiens pas toujours ce que certains acteurs ou auteurs reprenne mes envies les plus profondes à leur propre compte, leurs propres profits.
Je sais que je serais de ceux là. Je viens de me demander si l'individualisme n'entraîne pas une furieuse et vivace envie de s'exprimer le plus intensément possible, se libérer de tout ces gens qui en pensent autant.
Parfois je regrette d'être comme ça, fermeture d'esprit comme l'était sans soute celle de Kerouac à trop vouloir déclarer sa solitude et son détachement du monde désespérement lourd de son reflet.
J'ai envie d'assasiner le type dans into the Wild qui incarne un mec qui s'en va s'aventurer dans son pays et qui m'a envoyé en pleine gueule tout les trucs intenses que je me reservais secrétement.
Et je ne le cache pas, on échappe pas à ce qu'on est.
Et si jamais j'en viens à être celebre(j'ai encore le temps, mais mieux vaut tard que jamais) , je sais que j'aurais autant d'amis que d'ennemis.
Rien de plus dur à avaler qu'un gars que l'on sait enfouit au plus profond de ses idéaux, et qui te réduit à ta propre réalité, ta chienne de vie.
C'est moche de penser comme ça maisil est évident qu'il ne faut pas mettre plusieurs originaux en tête à tête, regardez le résultat et vous verrez que je n'ai pas tort. Ma classe en est l'exemple parfait; vu qu'on a tous nos propres caractéres mais les mêmes valeurs, on se rejette avec animosité.
Je ne supporte pas non plus ce gars sur couch surfing( je ne sais trop quoi comme étranger) accompagné de sa femme russe, et qui a les mêmes gouts que moi, presque la même philosophie, et en tout cas, le même bon goût pour les films et la musique. Il me semble qu'il est Allemand, mais les trois quarts de ses "quotes favourites", ce sont Mc solaar, 24 grammes, et cie... Et il insistait pour que je l'invite chez moi.
Je ne sais pas, parce que je redoute d'avoir mon propre reflet, un double qui me rappellerait qu'on est une foutue civilisation surpeuplée et qu'on a de plus en plus de clones.
J'adore la différence, mais j'adore avant tout son respect. J'aime bien partager des gouts communs mais ça me gêne terriblement que le voisin s'identifie trop à moi...
Ma demi soeur m'agace parce qu'elle a le don de récuperer les mêmes centres d'interet que moi : courir faire du jogging, clubmed, voulait faire guide, adore natation... A la fin, on ne sent rien du tout, mis à nu.
En fait non, j'aime partager des choses communes, mais pas avec des gens d'emblée cons et fermés, les cas les plus fréquents sont bien sûr ce qui adorent les mêmes trips que moi mais se croient plus malins que les autres.
On fait tous nos malins pour récolter quoi ? la gloire, la reconnaissance.

Pour en revenir à l'originalité, j'ai assez ici pour puiser par ci par là, analyser les échantillons, et en faire un théme propre à l'histoire que je veux dévelloper et publier.
Il est une heure du matin, et je ne vais pas tarder à me coucher, mais au point où j'en suis pourquoi ne pas raconter un peu ma vie des derniers jours...

Aujourd'hui, j'ai distribué mes papiers de recherche de job, et Mc Donald Canebiére serait peut être interessé.
J'ai halluciné de voir la serveuse rayonnante, me sourir, et sympathiser avec moi, je me suis demandé si c'était moi qui n'était pas normal ! Oui, elle est la deuxiéme à m'encourager à postuler, et ça donne envie de la prendre dans ses bras, de la remercier de me réchauffer le coeur de son sourire.
Voilà, j'ai aussi la confirmation des trois mexicains qui viennent passer quelques jours chez moi le Jeudi, et une demande de la part de cet Allemand qui me ressemblait trop, et sa copine.
J'adore toujours autant accueillir, mais je prends un peu plus mon temps de faire le tour de la question.
Si je ne trouve pas de boulot, j' écrirais et m'occuperais.
Je ne me suis jamais autant eclaté en trouvant mon truc, l'écriture, et je sais que j'ai bien des messages à faire passer, tant pis si la destinée de ce livre ne sert qu'à combler le vide des étagéres et des présentoirs, ou d'en être qu'un de plus à proposer des solutions miracles.
J'ai eu aussi mon frére au télephone(unique lecteur de ce site), et ça m'a fait trés plaisir de le choper, hein ?
Je pense que je vais me faire quelques cartes, avec écrit nom, prénom, coordonnées, et site web.
J'ai envie que les gens s'y interessent, j'ai envie de croire que je peux changer leurs visions de voir la vie, mais j'ai bien peur que je ne me lance un gros défi, vu la facilité déconcertante à laquelle ils oublient tout autour d'eux en trés peu de temps, et je fais partie du lot.
Alors je me creuse la cervelle, sortir une oeuvre qui serait si puissante et inspirante qu'elle ne serait pas ignoré dans l'indifférence la plus totale.
bonne soirée !

mardi 22 juillet 2008

Spain auberge !

Oui, l'auberge espagnole. Je crois que je pouvais pas trouver mieux pour me dépayser à peu de frais et à domicile ! Merci à Yannick (unique lecteur de ce blog, Ahahaha !) et sa large intervention.
Mon frére est doué d'une intelligence artificielle, c'est un peu compliqué mais c'est comme ça, ( disons qu'il s'est fait mordre par un E.T génetiquement modifié.) alors il m'a envoyé un lien internet "hospitality Club" qui par la suite m'a permit de recevoir sans tarder des messages d'étrangers prévoyant de passer quelques jours chez moi.
Hier soir, j'ai hebergé deux filles : Eszter et Renata. C'était rapide puisqu'elles ne sont restés que pour la nuit, mais le soir de leur arrivée on a pu discuter un peu. Eszter est d'origine Hongroise, et Renata : ...
Elles sont venus chez moi vers 21h30, et on dû bien discuter deux heures !
C'est vraiment marrant de les voir prendre leurs douches chez moi, en pyj ' , ou de sympathiser le peu de temps qu'on a eu le soir, et le matin de leurs départs, aux alentours de 10h30...
M'enfin voilà, ça me fait une possibilité d'être hebergé à mon tour par une ravissante fille de Londres, à défaut de Cracovie si le voyage m'endette. Et ce sera interessant si jamais j'en viens à vivre dans un pays anglophone pour apprendre la langue, une solution que j'envisagerais sous toutes ses coutûres tôt ou tard.
Maintenant, il me reste plus, en principe, que les mexicains le 31 Juillet, des Italiens à la fin du mois d'Août, et des amis français de Cam en Septembre...

lundi 21 juillet 2008

Photos de cet été










Maintenant que j'ai un super ordinateur bien mignon et qui sert à quelque chose, nottament de la webcam et son rendu impeccable, voici quelques rendus pas trop mal :


dimanche 13 juillet 2008

Hey !

Bonjour monsieur ! Comme dirait martin, un ami polonais.
En ce moment, je me sers de mon appartement vide pour accueillir et faire la connaissance d' Etrangers :
Le 15 au soir, c'est Martin et Kalina que j'ai hebergé 4 jours durant dans une grande chambre.
Pendant leur séjour, je suis revenu une fois au seamen's club( à noter que tout un aprés midi j'avais écrit tout ce qui s'était passé lors d'un Week End passé chez Nicole et Roselyne, tout s'était effacé par une mauvaise manipulation. ), avec Sophia, une fille de 24ans que j'adore et avec qui on avait tenu le bar toute la journée jusqu'à ce qu'arrive Marc et un stagiaire fort sympa qui se débrouille pas trop mal au baby foot.
Mais il faudrait aussi que je teste le ping pong, ça me tente.
Et aussi un aprés midi au J4 derriére le fort St Jean, à suivre un match de beach volley, belges contre allemandes ( c'est chaud,dit le commentateur.J'aime bien les brésiliennes qui se trémoussent aprés chaque set mais plus agés, ç'aurait été parfait, là je leur donne 16ans, pas plus), faire la connaissance d'un joueur français juste à côté, un malaise d'une fille qui me lorgnait depuis le brancard et sa copine qui lui murmure " Ah tu l'trouves beau"... Mignonne, mais encore trop jeune, vraiment.
J'aimais bien ces siéges exotiques pour joueurs où on s'asseoit pour profiter du soleil, ou se faire raccompagner en 4-4 Croix rouge avec Romain qui conduisait n'importe comment !!
Sans ça, j'ai passé le reste de mon temps à aider Martin pour ses billets de train (il s'y était trés mal prit), ou sa fiancée Kalina qui a fait une taticardie,chercher et aller voir un docteur... et ainsi de suite.
Mais à part ces services rendus auprés du jeune couple , on a passé de supers moments comme danser imiter et faire les idiots en écoutant des chansons ou en découvrant que certaines des miennes sont polonaises( Afryca)et ont donc leur traduction en anglais !
Je me souviens aussi des interprétations stupides de tableaux abstraits dans la salle d'attente du doc', du "bonjour", avec l'accent super, ou des expressions que je leur ait apprises par rapport à Saphir, mon chat siamois : " Mon pétit pepéére...", Minou, minou, minou ! "
Eux m'ont appris que pour appeller un chat, c'était par " Kitchy, kitchy, kitchy...kitty, kitty, kitty en anglais...
Le matin, c'était agréable de voir que Martin s'occuppait de tout pour le petit déj et nous offrait un lunch sensationnel : fromages, thé, pains, jus de fruits, gateaux de la boulangerie...
Et aprés la veille au soir où on se buvait du rosé et donc plus réceptifs pour faire la fête, le matin du départ à faire une course en chaises roulantes ! Et bien sûr, moi et ma soeur sommes les bienvenus à Cracow( Cracovie), ce qui m'arrangerait dans l'idée de faire une formation de marin moins cher qu'ailleurs, mais to check prices to go overthere.
Puis du coup, on a decidé de passer le Week End à Rochefontaine, c'était relaxant de se poser et de pouvoir enfin beneficier du labeur de son travail, la piscine.
Des couchers de soleil, des repas conviales passés dehors(à la lumiére des bougies !non quand même pas), des cousins, des livres, un épisode de Lost pour terminer en beauté une tranquille soirée lovée dans le fauteuil...
Au matin, revoir la voisine du bas un an aprés ( son unique fils qui s'appelle Paul), trés mignonne mais finalement un peu trop agé pour moi.
Un footing avec Antoine et Sebastien : dites vous que j'ai couru avec des chaussures de ville et que je courais loin devant eux, et Antoine, un sportif de haut niveau en plus..
Puis ce matin j'ai reçu quelques sms, de la part de deux filles Renata et Eszeter, qui cherchaient un hébergement pour ce soir et qui ont eu mon numéro par Martin et Kalina.
"Bonjour. Nous sommes 2 filles qui cherchons(...)" Or, j'aime les étudiantes et j'aime les filles !
je suis un vieux célibataire tout triste et tout seul, abandonnée de la gent féminine alors si je peux me choper une belle polonaise pour au moins ce soir, du speed dating quoi ! Mais bon, je vous l'accorde ça l'fait pas pour un soir d'entrée, non ça l'fait pas du tout : Ahahaha !
Ah, et je me suis mit aussi en relation avec une mexicaine qui voyage avec deux amis à elle, trois donc, je pense to host them 31th July.
Sinon, il y'a aussi mon frére Yannick qui pensait à moi et aux copains de sa petite amie Chiara, donc je vais peut être me retrouver à imiter un accent de mafieux de la campa à leur arrivée.
J'aimerais essayer la sous location , mais effectivement ça craint si déja j'ai un agent immobilier qui rentre chez moi faire des visites sans prendre la peine de me prévenir.
Voili voilou ! Et hier, j'ai écrit les souvenirs de Rochefontaine qui me revenait en tête !
Pour ce qui est du boulot, je vais me prendre par la main dés demain, mieux vaut tard que jamais.

vendredi 11 juillet 2008

Extraits du deuxiéme chapitre " ...D'un rêve une réalité"

(...) A moitié endormi, je me cherche la meilleure position ,emmitouflé sous ma couette, de sorte que je me ressasse d’un bien-être à long terme et que rien n’interromprait. Je m’enfonce aussi bien dans l’édredon que je m’enfonçais bientôt dans un rêve profond ,familier.
Quand on quitte un endroit, on y laisse une partie de soi même.
L’obscurité de ma pièce se ressent de mes yeux clos, privés de lumière, et s’adaptant à cette transition brutale. Aussi sombre et familière qu’une certaine forêt, où je décidais de m’enfuir. Sombre et prédominante, le signe du passage à la nuit prête à se confondre avec elle et à ne former plus qu’un. Sans m’en rendre compte, je revenais inconsciemment sur mes pas.
«Chaque pas qui l’emportait dans ce monde inconnu mais familier de par son enfance, l’émerveillait, au point de lui donner le vertige tellement le contraste était saisissant …
Les oiseaux piaillaient sur les branches frêles des cimes, en rendant un dernier hommage au crépuscule, ce soleil teinté d’orange vacillant de la fin de sa course.
En empruntant la longue route droite, il remontait la douce pente qui le conduirait au plateau. Il contourna ensuite un premier virage, un de ces rares virages dont le pays immense, était dépourvu.Une fraîche bise soufflant de nulle part, ne manquant pas de lui donner une grande bouffée d’air pur, vivifiante.
Paul s’imaginait avancer à contrevent, puis un étrange sentiment l’anima, l’esprit en alerte.
Oui, le vieil homme qu’était son grand père aurait dû être là.
Il n’avait jamais connu un homme s’adonner autant à la nature qui régnait aux proches environs de sa maison, c’était là qu’il vivait vraiment de ses marches solitaires aux premières heures de l’après midi.
Son ventre se noua, car si l’homme avait quitté les siens rejoindre sa terre provençale, il sentait bizarrement sa présence, à la fois proche et lointaine.
Embarrassé, il jeta son dévolu sur un rocher qui surgissait de son champ de vision.
Il essuya la sueur de son front, glissa son sac volumineux d’un coup d’épaule, et s’assit.
En retrouvant ses esprits, il décida d’étancher sa soif en défaisant la gourde accrochée sur le coté, la porta ensuite à ses lèvres…
Une voiture neuve ou deux débouchait du virage, le conducteur aux commandes s’attardant sur « un cuir », un de ces jeunes routards qui faisait la route à pied.
S’éloignèrent disparaître plus loin, fort probablement des touristes pressés de prendre leur vol, les gens du pays étant faciles à reconnaître. Ils roulaient avec de vieilles automobiles sorties des années soixante en prenant tout leur temps.
Mais dans deux jours, il retrouverait le contact avec sa société à lui.
Son attention se reporta sur le ciel intense que sillonnait un avion, vrombissant l’air.
Il percevait les deux grandes tracées blanches et parallèles qu’il laissait derrière, et qui s’effaçait peu à peu dans l’espace insondable.
Enfant, il adorait les scruter main en visière depuis la piscine et la vapeur moite des pierres brûlantes. Fasciné par ces empreintes pâles dans l’intense bleu de l’été, il s’emmenait à bord vers une destination inconnue prometteuse en aventures.
Enjoué, il ironisa la situation en constatant que l’avion tant convoité n’était pas la fabuleuse virée espérée mais la confrontation avec le reflet de sa vie, ce qu’il pouvait bien renfermer.
Sitôt qu’il imaginait son retour, il regrettait la douceur du climat méditerranéen, sa chambre.
Moins sa famille et ses amis que des choses simples qui lui apporterait le repos, le soulagement mérité après tout un parcours du combattant.
L’expérience des auberges de jeunesse, de la nuit chez l’habitant, l’avait en partie ménagé des nuits rudes, à la belle étoile, dans son duvet polaire.
Si sa chambre n’était rien d’autre en comparaison qu’un univers restreint, fonctionnel, cela ne l’empêchait pas de désespérer du moment venu où il poserait son sac pour de bon, se réfugier dans son lit du froid glacial. Il comprit alors, assit sur cette froide pierre, que la vie qu’il menait sur Marseille lui manquait. »

Extraits du premiers chapitre "Fais de ta vie un rêve"

Chapter One Fais de ta vie un rêve…

Il pleut. Au loin, des orages crèvent le silence avec fracas, caché par un voile gris impartial.
La pluie tombait mais se faisait de moins en moins impressionnante, moins précipité …Ralentit sa course, puis les gouttelettes s’accélèrent, un rythme imprévisible …
Depuis mes fenêtres ouvertes me parvient une vive odeur d’humidité. Au dehors, ces lierres sauvages accrochés aux façades ternies des immeubles respirent enfin de toute l’eau succédant à l’étouffante chaleur sec de l’après midi …Le nuage gris qui se dresse, immobile, semble suspendu comme vidé, épuisé de ses immenses réserves…
La verdure des jardins remercie le ciel d’une sorte de rayonnement qui efface de sa discrète luminosité le gris des habitations …
Les linges d’habitude étendus dehors ont été récupérés à temps et ramenés à l’intérieur …
Des voix d’enfants se font peu à peu entendre, triomphants de cette tempête qui s’éloigne abattre son mécontentement ailleurs …
Quelques gouttes s’écoulent par ci par là, s’échappant des gouttières ou rampant depuis les murs, dans une atmosphère fraîche, annonciatrice du passage de l’averse.
Cette fois, d’autres bribes de conversations résonnent, plus distinctes. Les familles reprennent sans doute le fil de leurs activités, absorbés par la régulière fin de journée et la fatigue qui l’accompagne. Un repas se prépare, des conversations poursuivent…comme pour combler ce silence à peine interrompu par les cris des oiseaux, eux aussi affairés.
D’ici, je prête attention, à certaines heures de la journée, à la famille du second étage, juste au dessus de mon plafond. Comment les oublier.
Quelques fois, un enfant crie « Eva ! » pour inviter sa voisine à lui répondre.
Sa mère le réprimande alors parce qu’il ne doit pas crier, que ça ne se fait pas.
Ce soir, les règles n’ont pas changé. « Non ! Je t’ai dit de ne pas aller dans la chambre !»
Si l’enfant s’amuse et revient voir sa maman, elle commence à le gronder : « Ne fais pas de bêtises » ou « Tu m’agaces ! Arrête de crier ! »… Au début, ça me faisait sourire, mais maintenant je plains le gamin.
Pour couvrir une amertume qui peut durer longtemps, un peu de musique.
Du jazz. Un peu de mal à reconnaître les instruments à vents mais se laisser emporter par le piano, quelques percussions derrière, et cette personne qui souffle d’un rythme soutenu,
Ni trop fort ni trop lent, qui divague de sonorités, de rebondissements faciles, en est caractéristique.
Je ne sais pas si j’aime ce genre de musique qui s’adapte mal à des goûts plus prononcés mais l’effet qu’il me procure est agréable…Une petite préférence pour la bossa nova, mais le chanteur et son saxophoniste apportent une ambiance soignée et rythmée, chargée d’un blues colorée et tout en douceur.
Ailleurs, pas très loin, mais ailleurs dans la même pièce, la même chambre.
Envahi par l’étrange nostalgie du jazz qui s’affole avec légèreté, élégance, m’ôtant toute idée de la tête.
Bientôt 20 heures. L’heure de s’occuper du repas et de délaisser la machine à écrire, ici reconvertie en ordinateur portable, symbole de la polyvalence d’aujourd’hui…
Ce serait tellement bien une bonne vieille machine à écrire.
Je serais penché pour taper les boutons des lettres, bruit de cliquetis qui accompagne chaque touche, et chaque touche laissant une empreinte d’encre de plus au papier incliné,qui se recourberait, sortirait peu à peu de la machine . Enjoué par une synchronisation subtile et efficace.

jeudi 10 juillet 2008

Hola senores ! (no comment)
je me suis enfin échangé l'ordi, vous savez, celui que je viens de m'acheter il y'a de ça tois jours...
là, j'en ai un autre et j'ai l'impression que tout fonctionne correctement, si vraiment ça me lâche, je demanderais un avoir...
Je suis aussi passé voir le médecin qui m'a fait un vaccin au bras gauche, palio.
Du reste, il y'a aussi cette annonce dans le journal :
Des chances pour que je vienne vivre sur Bonneveine, à deux pas de la pointe rouge, dans une villa que tienne un couple d'enseignants désireux d'heberger un étudiant( il y'en a déja un qui devrait avoir mon âge) et de partager les petits déjeuners et repas en famille !
Alors, j'attends de voir comment ça va se passer, mais ça pourrait être sympa de changer de décor ! En principe, on va les voir ce soir...
Je continue toujours d'écrire mon livre, et là je commence à avoir le déclic pour poursuivre.
Je racontais ce gars qui passe la soirée avec sa soeur, et le lendemain qui se léve avec ses petits rituels du mat'...la boulangerie" au pain quotidien", les ateliers du quartier, la vie du quartier quoi... Je n'ai rien omis, c'est à dire la mentalité et tout les désagrements du "pain quotidien"
Résultat, un condensé riche en vocabulaire, decription(bien mieux que tout ce que j'ai pu écrire auparavant), assez bien fichu dans l'esprit et les sous entendus... Les débuts des chapitres sont des citations qui illustrent trés bien la suite, les paragraphes...On peut interpreter de plusieurs façons ce qui suit.
Pour ce qui est de l'idée de vivre sur bonneveine, c'est non, le couple ne me voulait pas le Week end et pendant les vacances, ç'aurait été impossible dans ces conditions...
Je crois que cet été ne m'a jamais autant fait comprendre de m'y prendre à l'avance pour la prochaine fois... Je vois bien que j'ai besoin d'argent et qu'il faut trouver quelque chose pour.
Le plan idéal c'est le bafa, je suis sûr d'avoir des propositions d'animation.
Si je met un peu d'argent de côté j'y arrivrais peut etre mais c'est cher et bien au dessus de mes moyens. Voilà où j'en suis.
J'accueille en principe des polonais, Camille sera là avec nous.
Comme dit le capitaine Haddock :" C'est finit!...Plus rien à esperer!... Jamais je n'ai touché à ce point le fond du désespoir !" , " Que faire, bong sang de bon sang?..." , "

lundi 7 juillet 2008

Du neuf

On est le 7 jyuillet, j'ai bien trouvé du boulot-provisoire-à faire du jardinage depuis la semaine derniere, mais avant de m'y attaquer revenons en d'abord là où tout a commencé : dimanche.
Ah et j'écoute Whatever it takes, de leona lewis, je kiffe.
D'où mon extase et la surprenante envie d'écrire.
Donc Dimanche, Roselyne, une amie de ma mére que j'avais contactée pour cette association de marins que j'ai d'ailleurs recherché des années, me rappelle pour se retrouver devant chez moi.
(bleeding love) C'était un début d'aprés midi , et on était en route pour la gare maritime.
Arrivés là bas, un de ces bleus de vigile qui se la joue contrariant et dur et nous fait perdre notre temps( qui a dit que tout les uniformes différents s'appréciaient) nous laisse passer devant notre laisser passer, sans nous avoir dit au passage que ça fait deux ans qu'il y travaille ce cowboy.
Bref, j'adore des lieux insolites où personne ne va( si, les gens qui prennent leur bateau de croisiéres et tout les gens qui les font vivre à bord) et c'était génial de se retrouver là pour un début d'expérience que je renouvellerais volontiers avec Roselyne.
On rentre à l'interieur, et enfin dans le Seamen's Club, c'est le nom de l'endroit.
Super convivial, des ordis, des canapés, et des fauteuils, une petite bibliothéque de livres anglais, terrasse ensoleillé avec vue sur les paquebots qui crachent la fumée du départ,calés pour n'importe quel étranger qui veut consulter ses mails en sirotant un de ces jus de coco qu'on vend au bar.
(et ça a la côte, faut pas chercher à comprendre)( better in time)
En bref, j'étais au bar avec Roselyne, une autre bénevole, et c'était assez sympathique de leur parler en anglais à ces marins de toute nationalités ( ce jour là, pas mal dfe philipins, et indonésiens, une allemande, un algérien, et j'en passe), c'était super l'accent, humm, de ces étrangéres toute mignonnes et fragiles...
On leur vend des cartes de télephones(je sais ce que vous allez dire mais c'est pas des cartes télephoniques, non c'est des cartes plastiques avec un numéro et comme ça on appelle à l'étranger à la cabine), de la nourriture asiatique lyophilisé au nuts, au mars, au pack de six bouteilles pour 1eurs80(j'ai du leur dire une bonne dizaine de fois que je revais de faire mes courses ici), heu, des bonbons à la menthe, etc, des casquettes tour eiffel paris et tout autre objets kitsch parce qu'ils sont de passage alors c'est maintenant ou jamais...
C'est vraiment super de discuter avec eux, de pouvoir draguer des accents de charmantes étrangéres(retiens toi), et tout ce que je n'ai pas pu dire ici...
Même si bon, j'ai comme qui dirait l'impression que les bénevoles s'inscrivent au complet pour me laisser aucune place car à partir de trois en demi journée c'est mort mon gars...
Cherches toi une autre occupation ! lol.
Sur le chemin du retour, comme j'avai accepté de rencontrer une de ses amis peintre, Danny pour Danielle, je suis venu prendre l'apéro pour enfin rester dîner !
C'était super cette femme parti vivre dans plusieurs pays du monde et qu'il faut que j'appelle pour lui emprunter un bouquin qu'elle m'avait recommandé, bouquin de l'ancien mari de la princesse de Montenegro fort interessante avec qui j'ai passé le repas à discuter de la yougoslavie, de toute ces histoires du passé, des personnalités qu'elle a approché( non, je m'en fous de Sarkozy, mais parlez moi donc de la bosnie herzegovine avec tito !) ou de la baignoire qu'elle va se prendre, j'ai eu du mal à lui expliquer la différence entre un sauna et un jaccuzzi, etc
J'ai aussi fait la rencontre d'Emilien, un médium.
Je sais que ça vous suprend, tout ça en même temps, mais je vous assure( et puis vous savez que j'en ai des histoires à raconter sinon j'en serais pas à ecrire mes mémoires !) , et non ce n'est pas un gourou !
On en discutait, pour info, gourou a une connotation péjorative pour nous pauvres occidentaux saturé de bourrage de crâne alors que sa définition trouve ses origines du sanskrit hindou " guru", qui veut dire : guide spirituel qui n'a rien à voir avec un Rael barbu et entouré de filles en jean slim, mais un veritable maître d'inititiation au spirituel...
Il n'a rien d'un mec qui se fait des films ou atteint d'une mythomanie profonde( pour ceux qui me contredisent), c'est quelqu'un de super sensible, comme moi, et doué d'un fort potentiel spirituel qui lui permet de s'épanouir par les mains, la voix etc...
J'essairais de le revoir pour en savoir plus à son sujet et prendre des notes que je rajouterais au livre. Pareil pour la princesse du Montenegro, et tout ces hommes et femmes qui enrichissent mon quotidien.
J'ai aussi vu Nicole M-C avec qui j'ai assez bien discuté de notre famille dispersé, puis c'est comme ça qu'elle m'a proposé par la suite de l'aider dans son jardin une journée, de ce qui deviendra une semaine ! Qui dit super jardin, dit superbe villa, dit quartier riche ! loin s'en faut !
Je prends vers 8hrs un vélib et je pédale jusqu' à une station à deux pas de chez elle, trop fort !
J'ai aidé Bob, un bricoleur polonais, à lui donner un coup de main pour l'électricité, j'ai porté des parpaings, porté à la brouette des sacs de 35kilos, vidé une grde cabane de jardin entiére, monté des meubles Ikea, fait du ménage la journée d'aujourd'hui à Micheline, une sympathique personne agée avec qui j'ai toujours des fous rires ! J'ai déracciné des énormes racines épaisses comme des anacondas, et dormit dans la jungle lové dans un hamac avec de féroces ùmoustiques qui résistent même à la citronelle !
Allez, je raconte la suite plus tard ! A noter que j'ai passé le Week end à Roche fontaine, nettoyer la piscine( le seul cousin, bon sang) au karscher et ce durant ces deux jours...
C'est tjrs le même plaisir de taquiner mamie, de discuter avec marie qui ressemble à deux gouttes d'eau à ma mére, Damien, Véronique, et Pauline qu'on a recuperé de leur Espace familial alors qu'elle vient d'en finir avec ses études de psycho' !
Et un des moments que j'ai adoré c'est leur lire un soir, un passage de mon début de livre !
C'était formidable de leur faire découvrir, de les voir aussi étonnés !
Demain, je passe par La poste chercher un colis, je pense emporter dans mon sac vert le mini ordi que j'ai acheté à la Fnac à une fille aphone ! asus eee900, 400eurs, petit, fin, noir, mignon et extra quoi ! J'ai tout l'essentiel, le dernier word, windows xp, msn, skype(que je viens de telecharger), etc il faut que je transfere des photos et que je telecharge Picassa !
Mais honnetement je regrette pas, même si c'était trop tôt dans les comptes, ça en valait la peine ! Allez bye !

Qui êtes-vous ?

marseille, PACA, France
Se décrire fait toujours un peu sourire, surtout ceux qui sont d'une nature trop complexe pour l'appréhender à sa juste mesure. La vie d'un homme n'est jamais qu'une histoire de poussiéres,d'étoiles. Quand j'y serais, je saurais mieux en parler objectivement. Pour l'instant, je viens d'avoir vingt ans, et j'essaie de dessiner les grandes lignes de ma vie en Bma ( brevet des métiers d'Art),avant d'avoir mon bac l'an prochain. J'ai toujours autant de projets pour donner sens, mais le temps se précise et ne sais encore que choisir. Steward, parachutiste en armée de l'air(école de sous off'), ou faire animateur à l'étranger(j'ai bientôt mon bafa), partir dés l'an prochain...

ma liste de livres préferés !

  • Les fourmis (trilogie, Weber)
  • Les clochards Célestes(Ker)
  • Sur la route(Kerouac)
  • les âmes brisées
  • Russe, pratique de base
  • les royaumes du Nord(trilogie)