dimanche 14 décembre 2008

Dimanche soir, à la maison. Vendredi soir, trés bonne soirée dans une créperie avec nos grands parents sur Aubagne.
Samedi matin, je me suis reveillé à 11heures et j'avais jamais aussi bien dormi depuis longtemps.
15hrs : aprés "journal d'une femme de chambre" de la derniére fois, c'est " les comméres de windsor" où les acteurs de ma troupe ont joué comme des pros et mit leur talent à rude épreuve !
Grand pére m'a laissé avant de partir son imprimante, et si je parviens à télecharger son logiciel avec sur le web, c'est parfait pour tirer des photos ou les débuts de mon " roman".
Sinon, c'est Yannick qui récupére.
Autre bonnes nouvelles : il reste une semaine( et celle ci tombe sur escalade en sport), je récupére mon chéque de Novembre, je m'éclate au théatre( au détriment du sport, difficile cette année), Camille a acheté un truc d'abdos et ça marche et je m'en vais le tester quand elle sera à perpéte en Europe, J'ai bien une semaine de libre avant mon stage de Bafa, et il y'a possibilité de venir en Italie. ( dispo du 20-21 au 27 Février )...
Je séjourne ici jusqu'à mardi ou mercredi, de quoi en profiter largement pour chercher mon stage en Europe, ou le chercher directement sur Marseille... en bureau d'études, si possible)
Ce jeudi, vu que je sors plus tôt , je vais tâcher de venir au chantier de Cam histoire de voir à quoi ça ressemble.
Lundi prochain, soirée célibataire ^^...

dimanche 7 décembre 2008

Salut,
Jeudi.En plein travail sur mon lycée, son secteur d'activité, sa capacité financiére,technique... Un vrai travail de pro ! Tout ça pour parvenir à concrétiser mes trois projets de tags sur rideaux métalliques. Sachant qu'il me reste une maquette encore à faire, et le reste du gros pour Mardi avec notre cher mr Raccassi.
Quoi de neuf ? La bonne humeur revient au galop... Notamment à l'initiative de Camille de se prendre une journée ou deux, le Week-end, quelque part pour y prendre l'air. On vient ainsi de faire la Camargue, seuls touristes dans un superbe parc naturel. On a même failli recuperé un trés sympathique labrador que nous avon laissé au parking pour y reprendre la voiture. Ensuite, c'était Brest. De sacrés moments à marcher le long des falaises et à s'enfoncer en pleine nature sauvage(presque, balisé) ,à manger une crépe matin midi et soir, s'arreter prendre un verre dans un bar, ... le soir, lire les bds de yack, débattre de philosophie...
Et Samedi dernier, ce fut Sisteron ! Aprés d'infatigables heures de route, nous parvenons dans un petit village encastré au pied des vallées ( dans la réalité, j'ai aucune idée de ce qu'il en est ) et aprés une heure ou deux à se ballader dans les ruelles, à longer la citadelle( encore les uniques touristes de la saison hiver) et à s'éloigner profiter du silence ( peu aprés les moto cross en chemin)... On se pose devant les chevaux, et moi je médite pendant que Camille me jette des cailloux en bas, en toute impunité.
Et quelques heures de route plus tard, marseille, ses monoxydes de carbone et son absurde circulation.
Et voilà. Sinon, j'ai aussi emprunté un livre à grand mére, les mémoires de Farah Dabi,qui va m'éclairer un peu plus sur les politiques du Moyen Orient. Humm... L'autre soir, excellente idée du barbecue proposé par les voisins.
Matthieu est de mére indienne, et sa copine Malika est d'origine berbére du mont Atlas ! C'est super cette union de cultures.
Ah, et aux derniéres nouvelles en date, Camille (sister) a eu son dîplome et est ingénieur, ce dont je suis vachement fier, et quant à moi, je viens de m'inscrire à une premiére session de Bafa en Fevrier(enfin, c'était y'a bien un mois), je suis ressorti de ma derniére rencontre avec la croix rouge, l'inauguration des bureaux de l' hopital du Camas que présidait un certain manager des camas... Et je me suis vite eclipsé ; ) ... Journée entiére de travail prévue avec Tim' pour bosser, bonne rentrée d'argent d'ici peu.
Voilà. Le théatre, je continue tjrs mais c'est pas toujours evident de joindre les deux bouts entre les repets et le badminton aux mêmes mardi et mercredi soirs ! Tentation de flirter avec l'ancienne copine d'un gars de la troupe, mais j'aime mieux pas m'hasarder encore pour le moent....
Vendredi soir, on vient dîner et dormir sur Aubagne, l'occasion de fêter en famille de la réussite socio-professionelle de Cam !
Bon, c'est pas que, mais j'ai un dossier sur les startings blocks. Manu ciao



samedi 15 novembre 2008

Добрый вечер

(bonsoir) dabrÏ vietch ( pas évident, celui là)
Samedi matin, je suis retourné chez Damien prendre le petit déj' en passant, et une heure aprés(le temps passe plus vite) , on est allé dans la cave continuer nos ptits travaux.
On discutait du lycée, des voyages et de la famille avec Tim', c'était sympa. Je suis retourné à mon studio le midi, et là, j'ai repeint en blanc( peint en certains endroits, j'insiste là dessus) la salle de bains, ce qui m'a prit l'aprés midi.
Le soir, je suis allé tester un autre bar sympa du cours ju' : DAN rACING, et c'est pile le moment où y'avait un groupe donc on est restés à une table, à siroter notre despe.
Et aujourd'hui, je comptais aller au seamen's club mais y'avait si peu de bateaux que ça tournait sur la matinée, un peu tard pour un réveil à 9 hrs.
Et je suis revenu le midi pour un repas comme j'en ai pas fait depuis longtemps : colin, purée et salade de tomates...
Suivi de Dead zone, un feuilleton pour digérer.
Comme je n'ai plus rien à dire, à part que la semaine va être trés longue... j'y vais ! Bye.

mercredi 12 novembre 2008

scénarios envisageables

(musique, Jamendo", Saregama, Water)
Voilà, quelques idées de mon livre notés hier soir... Vous verrez que l'idée de la contradiction influence beaucoup mon travail de recherche. C'est pas seulement le côté schizophrénique, mais l'idée que nous sommes le produit de milieux ambiants et que nous sommes n'importe qui, n'importe où bien que certaines valeurs restent inchangées. L'idée serait qu'à la fin, ce jeune comprenne qu'on peut trés bien cultiver cet esprit de contradiction sans que ce soit déraisonnable.

VERSION 1
Le personnage / Chris est blasé.
Il rêve d’une autre vie. Une nuit où il parvient, après des années sans y’arriver, à rêver, il découvre le secret de la contradiction. Au début, il cherche en vain de trouver la suite, en se couchant plus tôt mais rien. Déçu, il déprime et nous plonge dans son évidente monotonie.
Puis il se remet en tête ce qu’il s’était promis de faire pour écrire : observer.

On découvre un peu plus son passé, sa vie présente ou passé.
Il observe donc plus attentivement son quotidien, et au fil de ses interprétations, il se rend compte d’une chose qui chaque fois le ramène quelques instants dans la suite de son livre. Il étudie justement de nombreux livres pour améliorer son écriture, sa structure interne.
Dans certains moments, on retrouve des aspects de ses suites. Petit à petit, il s’en inspire.
Il décide de faire tout l’inverse de ce qu’il avait fait, ou pas fait auparavant dans la vie.

Au fur et à mesure qu’il délire et n’est plus du tout le même( hallucinations, fatigues) , on comprend qu’il a trouvé ce secret( la contradiction)…
En fait, on comprend, pourquoi il n’est plus en retard et ramène de bons travaux, il ne dort plus depuis plusieurs nuits pour travailler. Ce qui expliquerait en partie ses délires imaginaires.

Les suites de ses rêves nous ramène de plus en plus à son présent…
Puis il s’effondre de fatigue, par terre. En pleine rue.
Des secouristes viennent lui faire des massages thoraciques, mais il ne répond pas.
Ils ont tout essayé mais rien, même s’il respire. Ranimé, ce serait de toute façon peine perdue puisqu’il serait un légume. Mais il n’est pas mort.
Il fait un rêve qui surpasse tout ce qu’il a vécu.
L’espace de quelques secondes, il touche « l’âme du monde »…
A son réveil, il décide de parvenir à retrouver cette âme, il sait qu’elle est au fond de lui mais ne sait comment y parvenir.


Ps : cette version parait un peu beaucoup extravagante. Des idées sont à retenir, comme la notion de rêve qui disparait face aux connivences sociales...( tome2 !)

Version 2 :

Chris, dans son rêve, ressent l’âme de son grand père. Comme il écrit un livre, il cherche à en savoir plus sur son passé, ce passé qui aurait pu être tout autre, puisqu’en réalité ce qu’il a vécu était tout tracé à l’entendre dans son présent.
Donc, comme ses rêves se font plus rares et alors qu’il sait qu’il approche du monde adulte et qu’il quittera pour toujours son enfance tissée de rêves, il décide ce qu’il s’était promit en écrivant : observer.
Dés lors, on s’aperçoit qu’il n’interprète plus et que les explications se font plus simples et moins compliqués.
Il finit par changer ,radicalement.
On en apprend un peu plus sur son passé, sur sa vie. Les rêves se font plus rares, mais là encore, les suites de son livre qu’il imagine sont surprenantes parce que sensiblement différentes de ce qu’il a vécu.
C’est là qu’on comprend vraiment que non seulement, le temps approche où il va perdre à jamais la trace de cet être qu’il aurait pu être, mais aussi toute concrétisation de son projet de roman, et plus encore, ce ressenti très fort au tout début.
Il n’aura qu’une idée, aller rechercher cette émotion si forte et si immense qui lui donnait le sentiment d’être un homme nouveau. Il étudie des livres, la philosophie, la psychanalyse. Il cherche à savoir cette chose qui rejoint en un sens le charisme, que possède certaines personnes des plus influentes au monde…

Parce que Chris va effleurer la connaissance transcendante, appellé aussi "âme du monde".

mardi 11 novembre 2008

Miroir, mon beau miroir...

Salut,
Comme vous le voyez, y'a du changement !
Pour revenir à ce commentaire reçu aujourd'hui : " well written article" sur l'un de mes premiers articles, je ne peux que supposer que la personne en question qui parle en Anglais est bilingue pour s'exprimer dans la langue de Shakespeare et connaître la langue de Cocorico, le coq au sang chaud.
Je me demande qui cela peut bien être... hum, hum.
Bon, et un grand merci à tout les poilus de France sans qui je n'aurais jamais pu m'octroyer une grasse mat' ce matin, ça c'est cool ! ( Saviez vous que le dernier poilu s'est éteint mars dernier à l'age de 110 ans ? Comment faisait il ? Le plein de légumes, un régime draconien riches en oligo-élements ?)
J'en ai profité pour me faire un planning, et lire l'histoire de Google au chaud....
Ah, et c'est aussi aujourd'hui que j'ai testé ma noix de coco ! C'est délicieux, je vais en racheter d'autres, tiens.
Sinon, tout va bien.
Samedi soir, j'ai eu un match France -Argentine et enfin, j'ai pu faire autre chose qu'écouter les histoire de culs de mes amis secouristes, en montant en haut des tribunes( je louchais entre l'arrivée de Chabal acclamé par la foule et ce qu'écrivait les journalistes sur leur ordi portable. C'est à la radio que j'ai apprit qu'ils avaient bien rapporté les infos : " Chabal a été accueilli en triomphe par la foule, lors de... Nathalie Omzer pour France Inter."
Mais le plus important à retenir, c'est cette femme de quarante huit ans qui est décédée d'une crise cardiaque.
Les secouristes étaient en hystérie, et je crois n'avoir jamais eu aussi honte de porter l'uniforme.
"Le cadavre..." , " Ouais, mais tu vois, j'apprends ça et c'est limite si je m'en fous"... ( en même temps moi aussi je m'en fous, je la connaissais pas. Pas besoin de faire tout un foin si on en est pas proche et que dans ces moments, la tristesse et les larmes ne viennent pas. Il y'a quelque chose de plus indéfinissable chez eux, le respect et la dignité.)
C'est en voyant sortir le pére de l'infirmerie, enfin libre de toute ces foutus procédures en cours ( morgue etc), que nos groupes de bavardage se sont dissous, et que le briefing s'est fait.
Je crois aussi important de dire que parmi les secouristes présents pour en parler, il y'avait des infirmiers( dont ceux qui étaient les plus à mêmes de s'occupper de la femme, massages thoraciques et cie) à l'attitude trop neutre pour être vraie, trop distants. Méprisants.
Il fallait que toutes leurs vengeances personnelles de la société en géneral, ce soit nous qui en portions l'entiére responsabilité, que ce soit nous les enfoirés. J'en sais rien, j'aurais voulu comprendre en quoi consistait leurs jeux. Mais aprés ça, il fallait bien quelqu'un sur qui s'en prendre.
Et qu'on s'étonne pas aprés qu'il y'ait la haine et la violence rassemblés dans notre quotidien. Parce que si on ne se détache pas de certaines vieilles façons de penser, de cet esprit critique, on court à la perte.
Ce qui est génial, c'est que l'histoire ( de notre pays) nous a donnés des leçons mais que jamais au grand jamais on soit fichus de s'en inspirer pour éviter la répétition, les vieilles habitudes ancrés en nous.
Je suis certain que dans nos génes nous portons les caractéres, les pulsions propres à nos ancétres, au peuple.
On pourrait dire que nous sommes vieux de plusieurs milliers d'années, mais non, nous vivons en société pour se critiquer, pour raviver nos souffrances passés, du passé, sans jamais soupçonner aimer son prochain.
Qui dit que l'histoire, si elle a sa suite, ne peut pas être détourné à des fins meilleurs et plus justes.
Parce qu'il est faux de s'en remettre au mal, ce mal qui nous ronge et que l'on finit par concevoir inévitable et parfois nécessaire pour se faire entendre.
En fait nous passons à côté. Nous sommes simplement des êtres spirituels( ce qui expliquerait l'éternel engouement des religions, traditions, modes de vies spécifiques et universels)mais trop individualistes pour mettre en avant notre richesse intérieure. Ce qui est fou quand même, et une femme à la radio en parlait aussi, c'est qu'on se tue à s'employer, à ruser de propos stupides et voraces, seul maniére pour nous de se prouver, de conclure à l'incompréhension grandissante, extérieure et intérieure.
C'est clair que tout ça, c'est bien propre à notre culture. Mais comment aimer des gens constipés, reservés, avec des sourires de façades, hypocrites accomplis ou cons tout court ? Comment s'y identifier, je vous le demande... Ne dit on pas les gens avec dédain, ou avec cette petite idée dans un coin, selon laquelle que ce sont des gens, et rien de plus que la masse tant désirée ? La vieille femme dans la rue ne m'a t-elle pas roté à mon approche, le gars d'une grosse voiture n'a t-il pas insulté ma mére, n'y a t'il pas des regards hostiles, suffisants ou sans géne ? Dans le dvdthéque, le gars a prit son dvd sans s'excuser de le cueillir sous mes yeux, dans un supermarché aux heures d'affluence, les gens se bousculent sans crier gare... Et n'ai je pas un exemple concret, à portée de main, depuis deux ans, dans une classe où l'hypocrisie et les propos vexants se font sentir ? Non, je rêve, j'ai rêvé debout. Car cette méfiance entretenue ne peut pas être assimilé dans tout son éclat, dans toute sa verité. Les gens entretiennent leurs cauchemars, dans leurs songes où tout ces mauvaises pensées ne sont pas critiqués parce qu'inaliénables, individuelles. Et puis, vous en connaissez beaucoup, vous, des gens qui vous reprochent d'avoir fait un mauvais rêve, d'avoir pensé des critiques ?
N'importe qui peut faire n'importe quoi d'injuste parce qu'au fond, trés peu vous en tiendra compte, pas vrai.
Alors, le cauchemar continue. Et les français sont petits, trop petits pour envisager aux valeurs fondamentales, universelles qui subsistent en ce monde et qui nous font vivre la vraie vie.
On parle parfois de voyages, de projets, qui sont souvent décrits à l'évidence sans que rien pour autant ne soit fait. La France, un des pays dont les habitants s'expatrie rarement. Qui l'aurait cru ?
L'italie, la Suéde, viennent en tête, nous, nous nous contentons de fermer la marche et de rechigner à notre classement, à notre place.
Je me suis souvent demandé quelle interprétation convenait le mieux selon les circonstances, dans une époque où les informations sont diverses et variées et où il faut parfois savoir lire entre les lignes.
Je réfléchis plus d'une fois à ce que je vais dire, et ça n'a pas toujours été le cas, mes erreurs de paroles, imprécises et maladroites m'ont fait comprendre que la sagesse s'acquiert avec le temps, et que c'est un vrai travail de conscience en profondeur.
Je ne sais pas si mes compatriotes semblent incarner tous l'idée que je me fais de la société sur Marseille, mais certains aspects se révélent identiques partout. Dans le Sud ou ailleurs.
Tant qu'on ne changera pas nos habitudes et qu'on ne sortira pas de cette fatalité d'individualisme( il n'y a qu'un ou plusieurs personnages principaux au cinéma.) Chacun son rôle, croit on, et quand fourmille des egos démesurés qui se rencontre, nos clichés nous raménent à la haine. Nous ne sommes plus uniques, on est surpeuplés, bouhouu. Mais au lieu de revoir nos classiques, prenons le temps de lire et d'écrire. De s'amuser, d'échanger.De faire l'histoire,la notre. Pas celle des Etats-Unis d'Obama, populaire, où l'on se projette pour en parvenir au malheureux constat qu'il n'en est rien en France, mais surtout que rabougris, s'ils le sont ici, on ne peut que l'être. Ne dit on pas à juste raison que les autres sont notre miroir, le mien, le tien.

jeudi 6 novembre 2008

Coucou toi !

Et bonjour ! ( whaa, on va baisser la taille d'écriture) , ça va ti ?
Bon, bonne nouvelle pour moi puisque je risque de me mettre en colocation avec un trés bon pote à moi, jeremmy qui estd 'ailleurs du même lycée, sauf qu'il est de la classe de dessin différente, Decg. Ouais, donc on s'est parlés hier soir et l'idée serait de se revoir un jour pour faire le point, j'ignores quand. Je suis au lycée, il pleut, et un bon vieux copain de classe est à côté. J'adore ces journées de pluie, où on vient se poser et déballer ses histoires. En l'occurence, même avec un ordi, c'est jamais mieux que rien.
Hier soir, en revenant de la gare où j'ai une fois de plus remercier Mcdo de cette fameuse connexion internet wifi gratuite et illimité, j'en ai profité en chemin pour faire du porte à porte de restos . Si vous voulez vous faire une idée de l'intérieur, de l'ambiance, ou découvrir les plus récents en date, rien de tel.
Pour ce qui est du Pse1, c'est mort. Au moins, j'aurais profité de quelques cas concrets, et d'analyser pas seulement dans leurs bureaux mais aussi dans ce qu'il pouvait bien y'avoir dans l'hamburger pour avoir de sérieux problémes de digestion tout l'aprém, c'est sérieux.
Encore Dimanche, mais le suspens est finit, car je me suis bel et bien foiré au premier test avec le défi' (...défibrilateur, Dsa, et toutes les autres abréviations comme autant de sortes de défibrilat, 5eur) Ce qui est bien aprés, c'est de pouvoir en parler avec maman et de pouvoir se comprendre, de même concevoir ce qui peut bien se pasesr pour elle en réa, en chirurgie ...
Derniérement, match om/Psv Eindhoven (3/0 pour nous) , j'ai eu droit à une désinfection de bobo de policiers, c'est dire comme on avait rien à se mettre sous la dent.
Si mes recherches restos n'avancent pas( quelques uns d'interessés cela dit) , j'aurais au moins un job temporaire, pour de l'argent de poche !
En effet, Damien m'enbauche pour sa société de chemises perforés, et je commence demain soir avec Timothée, pour 3h/semaine à 7,50 eurs/heure soit 22,50 eurs par semaine, soit pas loin de 90 eurs par mois, sympa non ? Plus d'excuses pour économiser.
Un prétexte sympa pour se retrouver en famille et passer du bon temps.
Pour ce qui est des cadeaux, j'ai celui de Yack, Cam... et le mien... (en avance =) Dans le matériel du_ parfait voyageur, j'ai le sac à dos, lampe de torche, ceinture cache billets(récent), sac à viande, duvet polaire,ma gourde, chaussure de rando... Manque cafetiére miniature, boussole et savoir lire le ciel ( chose qui ne s'achéte pas)... un thermostat ? Non, j'en vois pas l'intéret.
Je crois que c'est à peu prés tout : et passeport, visas...
Quoi, on a le droit de rêver non ?
A propos de rêver, mon livre commence là dessus mais aucune idée pour la suite. J'ai plein d'idées pour mettre ça en scéne, le théme étant l'éthique.
Je crois que j'ai de bonnes années devant moi pour structurer mes phrases et leurs contextes, leurs pistes... Soit je continue de noter mes idées( 9 pages) jusqu'à aboutir enfin sur un vrai scénario( qui débouche forcément sur les deux autres tomes de la trilogie, "Politique, lien avec les autres" et tome 3 " Histoire, Univers"... ° soit j'aurais de toute façon un scénario mais la suite doit s''enclencher avec les suites... ce qui raméne à croire que même en admettant avoir finit ce livre ( que j'ai commencé en Juillet), il faudrait encore des années pour faire les deux autres et modifier en fonction du contenu...
Parce que j'ai vraiment l'ambituion d'en faire un chef d'oeuvre, et ça me prendra des années s'il le faut. Je sais plus si j'en avais parlé, mais en étudiant la philo, l'idée d'une trilogie m'est venue tout seule. Comme j'hésitais à écrire une autobiographie à la troisiéme personne, avec pt de vue parfois interne parfois externe, (tome 3 , omniscient ? on parle de l'histoire et de l'univers qui englobe tout), oui, comme j'hésitais à parler de moi ( ça me semblait prétentieux, égocentrique) j'ai réalisé quelque part qu'on retrouvait souvent trois notions depuis l'antiquité grecque, que ce soit par Aristote ou Platon. Avant ça, je vais parler de mes choix qui m'ont conduits à cette notion des trois.
Tout d'abord, je voulais reprendre des idées philosophiques, me poser moi et mon entourage, de façon subjective mais aussi objective( pour arriver à un réel constat, ego son artificialté comme sa profondeur plus en avant, et prendre du recul) ... Je voulais reprendre des questions existencielles déja connues, vues et revues et aller encore plus loin dans l'évidence.
Je cherchais comment parvenir à un perfectionisme, et comment restranscrir mes idées de maniére à rendre cohérent, éloquent et intense ce roman en devenir, à ce que ça soit le plus simple, le plus évident possible. De sorte que ce témoignage ne soit pas peine perdu et que chacun puisse s'y rretrouver. On aura vite oublié mon roman et son contenu, un livre en laisse place à un autre. Mais quelques mots ou phrases retenues peuvent changer radicalement quelqu'un. C'est mon but. Rapporter les moeurs, mentalités et ambiances d'une ville ( qui est peut être partout la même ailleurs) et dans un autre poser en témoin quelq'un, moi.
Je voulais donc justifier ma prise de position, et savoir à quoi m'en tenir.
Puis aprés des jours à regarder mon ordi sans plus trop savoir écrire, je suis tombé sur cette revue avec écrit :

"Mieux se connaitre, apprendre à vivre ensemble et avec la nature, telles sont les trois matières de la trilogie.
(tome1) L’éthique permet de développer le lien avec soi même; (tome2) la philosophie politique, le lien avec les autres;
(tome 3) la philosophie de l’histoire, le lien avec la planète. Le développement de ces trois liens permet de devenir un être authentique, cohérent, en paix et acteur dans le monde.
Etude des principes de la conduite humaine à respecter .


Ensuite, des réflexions me sont venus. D'abord celle de Camille qui s'exclamait : " qu'est ce que tu peux bien faire à ton échelle ? Oui tu peux apporter quelques changements autour de toi, mais tu pas changer le monde, tu rêves. " Je trouvais que ça résumait assez bien la fatalité, et l'idée que se font les gens de leurs propres vies( pour moi, trés dangereuse. ça enléve toute estime, amour propre) ... Mais je me suis aussi dit qu'écrire à la trois. pers, en parlant de soi pouvait se justifier par ça : Mieux se connaitre pour parler des autres. " Connais toi toi même" ...
C'était tellement évident que je m'en suis tenu à l'idée premiére, tant pis pour ce qu'on peut interpréter. Et justement, il y'a cette réflexion bouddhiste : " Ya drishri, sa drishri. Autrement dit "Le monde est tel que nous l'intérpretons"... Comment y mettre cette substance.
Dans tout les cas, j'avais une superbe occasion pour les années à venir de placer mon temps dans des romans aux valeurs justes, fondamentales.
L'idée d'écrire n'est pas nouvelle puisqu'à 17 ans, je tentais déja d'écrire une sorte de nouvelle que je dois toujours récupérer chez une tante, à Beaucaire.
Je pensais aussi m'entourer de gens du livre, d'écrivains. Il y'a une femme écrivain rencontrée sur la plage qui m'avait proposé de se revoir pour en discuter, et plus tard la réponse de Marc Levy à mon mail me disant que son succés, il l'expliquait peut être à sa spontanéité tout simplement. Sa réponse était bréve et je me suis dit que mes réponses devaient étres bréves et simples aussi. Comment associer l'état d'esprit de Levy avec Kerouac, incarner le plus juste possible mon personnage et sa quête de soi même.
ça fait peut etre prise de tête, mais j'en suis pas si convaincu^^... Bref, autre chose qui validait la régle des trois...

ETHIQUE : TROIS La forme de l’homme, est selon Aristote, qu’il a à la fois, une
« âme de plante » ( âme végétative), une «âme animal » (âme sensitive) et une
âme de raison ( âme intellective, on parle aussi de "l'âme du monde") .
L’homme ne sera heureux que s’il développe toutes les facultés qu’il possède en puissance.
Aristote distinguait trois formes de bonheur : la première forme de bonheur est une vie dans le plaisir et les divertissements.
La deuxième forme de bonheur est de vivre en citoyen libre et responsable. La troisième forme de bonheur est de vivre en savant et philosophe.
Ces trois conditions doivent être réunis pour que l’homme mène une vie heureuse.
S’intéresser davantage à l’homme et à la vie humaine qu’aux problèmes posés par la philosophie de la nature.
Platon pense que le corps de l’âme pourrait se diviser en trois parties :

le désir(les envies)la volonté,la raison...
Il n’y a que lorsque les trois parties de l’homme fonctionnent pour former un tout que nous avons affaire à un homme harmonieux, bien conçu.
Les enfants doivent d’abord apprendre à l’école à contenir leurs désirs, puis à développer leurs courage. A la fin la raison doit les aider à parvenir à la sagesse.


Ou alors, je peux réunir ces trois voies dans un seul roman. C'est aussi une idée.
Mais j'ai du pain sur la planche, et l'eau à la bouche.




jeudi 30 octobre 2008

priviét, kak diéla ?

Comme vous le voyez, je me suis découvert une passion pour le russe ! Je dis ça mais j'ignore( c'est même improbable) si je connaitrais tout. Mais ça me fait marrer de me dire que là, en apprenant l'alphabet cyrillique et en m'entrainant à lire et comprendre le russe, je me vois un jour y aller et frimer un peu devant les habitants ! Voilà, à part ça, tout va bien, j'ai finit le wk dernier mon pse1, et pour le coup c'était trés chouette.
Là, j'envisagerais presque de me renseigner pour, pourquoi pas, le bnssa. Vous allez surement vous demander si on accepte vraiment n'importe qui en natation , mais je vous rappelle que j'ai eu mon diplome des cinquan-tes métres et j'en suis pas peu fier ! Non, sérieux, ce serait génial, ça me laiserraiyt une porte de secours(ndlr) pour l'été, parce qu'entre nous ça m'étonnerait ( oui oui, il faut voir avant d'affirmer ça comme une vérité) qu'il soit encore temps de passer le bafa, sachant que les trois stages correspondent à trois périodes de vacances, disons plutot que c'est just, mais on va voir ça. Mais c'est just maintenant.
Il y'a aussi mon histoire de steward, ce qui me rend aussi incrédule, compte tenu du foutu diplome qu'il demande ( encore du secourisme) ... A titre d'information, je me renseigne de mon coté pour les aides de bafa, les extras de serveur, le job de garde forestier en été( wahoo ! je m'y verrais déja) et enfin le bnssa pour déposer ma candidature à la mairie et surveiller dans ma cabane suspendu)...
Voilà, derniérement, j'ai eu l'occasion de revoir mes grands parents sur Aubagne, on a revu notre Oncles Gilles, Catherine, et bien sûr nos cousins ( dont l'un aurait fait une brusque poussée de croissance en Angletterrre ! La nouvelle géneration semble aller vers le haut ! ) On a passé une bonne soirée au restaurant avant de revenir à la maison. Heu, sur ce , je vais y'aller !! J' ai fait de mon mieux pour rendre ma vie intéressante mais là, c'est assez décousu ! Comme je vous le disais, aujourd'hui est un grand jour puisque je vais tacher d'en finir avec mes corvées de choses pratiques à faire !
HUM ouais, bon, on sent le gars qui a plus grand choses à dire. Ah, si, paka ! ( à une prochaine !)

Pse1, les débuts

( je fais mumuse) Bon, ben sinon ça va ! J'ai bien terminé mon wk pse1 en compagnie de gens trés interessants( pisteurs de montagne, un gars de la marine marchande, deux de médecine...) et trés bonne ambiance.
Encore deux wk et j'aurais entre les mains un solide acquis. Je vais quand même réviser un peu mes cours, vous verriez comme ça pése lourd, un peu l'air de dire " t'as pas droit à l'erreur mon gars" ...
True that i'm going to have des cas concrets, je m'en fais pas pour ça. D'autant plus, que cette idée de secourisme n'a rien d'un hasard, durant mes deux cours de viet vo daoe ( là où j'ai apprit à compter jusqu'à dix en vietnamien, je vous laisse deviner !) , juste à coté de là il y'avait le drapeau suisse sur fond blanc.
Moi qui fondait de grands espoirs sur le baby sitting à l'époque, j'ai pensé que l'afps serait un plus et je me renseignais pendant ce temps.
Comme vous vous en doutez, deux ans aprés, le temps que je me prenne par la main et que ça vienne au cerveau( croyez moi, y'a encore du travail) , j'ai enfin parvenu à mettre 6o eurs de côté, à moins que ce ne soit ma chére mére qui me les avançait (ce qui m'étonnerait, on dirait pas mais demander est bien souvent exclus de mon vocabulaire) et de là, j'ai eu mon diplome des premiers secours.
Je me suis pas arreté là, puisque j'ai aussitot rempli le formulaire pour devenir secouriste. Pourquoi avoir fait ça, me direz vous, tout simplement pour devenir plus responsable, plus mûre.
En effet, depuis, ça n'a jamais été autant pour moi une formidable école de la vie, de m'essayer aux responsabilités( dans ce métier là, on ya droit et le moindre débutant se voit vite prendre des choses en main)b et d'en savoir plus sur soi et sur les autres. De l'humanité, oui, mais aussi plusieurs autres facteurs à prendre en compte. Et ce serait plus à mes coéquipiers qu'à moi, de prendre la parole. On fait du social, de la diplomatie en cas de conflits, de la gestion ( matériel, anticipation etc), de l'enseignement ( formations, explications, )... Je ferme la parenthése là dessus mais j'ai hâte d'en apprendre un peu plus pour les prochaines fois où je rencontrerais des personnes en mauvaise situation, de savoir quoi faire.

dimanche 19 octobre 2008

Hé,hé, hooo ...

Hey !
Aux derniéres nouvelles, je me suis chopé une " créves" vendredi soir, vétu en tout et pour tout d'une chemise, dehors. Faut dire que ça caille en ce moment !
Une fois de plus, on a retrouvé notre pote, Manu, celui là même qui fait du Kite surf, et on s'est prit un verre ( avancé naturellement par Camille. Ce soir, c'est dit, je cherche.) dans un bar de la plaine, à l'étage.
Puis vite fait, on a jeté un oeil sur le band qui jouait. Ensuite, on s'est posé au shambala.
Manu, comme je vous le disais, fait du kite surf, un sport assez sympa. L'idée serait de pouvoir en faire avec lui, histoire de connaitre un peu comment ça se passe.
Ce week end, j'ai pas mal bossé. J'avais quelques livres de chevet comme : métiers des langues, guide de mongolie, mandchourie, Sibérie, routard Suisse , La quête du Désert, ... là bas si j'y suis "
Puis mes dessins à rendre pour Lundi. Sans parler du ds, et qu'il me manque tout les cours sur les pinceaux.
J'ai juste deux pages sur les vernis, ce qui est déja pas mal, glups.
Voilà, je pense aussi appeller mon proprio qui m'a honteusement promis de me mettre une cuvette, et d'installer le chauffage. No comment, à part qu'il fait un froid polaire et que ça peut devenir dangereux...
Mon pronostic pour cette semaine ? Une semaine chargée, l'air de dire " Vivement des vacances, c'est pas trop tôt..."Bref, et ce wk, je m'attends à un week end costaud vu que je passe enfin mon Pse1.
Ah, j'ai aussi quelques projets pour l'été prochain : possibilité de faire steward saisonnier chez Air France, ou garde forestier dans les calanques...

jeudi 2 octobre 2008

Yo !

Hier soir, sympathique soirée avec Camille, qui est restée passé la soirée au studio...

On est allés voir "Ensemble, c'est tout", un dvd qu'on a loué plus loin que celui qui est juste dans ma rue ! Ohlala , il est génial ce dvdthéque, dommage que la fermeture exceptionelle tombait pile ce soir là... Puis le théatre qui est juste en face de chez moi, ben la dame m'invite( y'a que Camille qui paye a place) , ce serait pour Mardi prochain, " le journal d'une femme de chambre".
Et, en principe, je suis dans leur compagnie puisqu'ils recherchent un jeune homme dans la machine infernale... Le seul gars que je connaisse étant oedipe ! ça promet !
Mouais, c'est marrant d'habiter en face d'un théatre où je serais un des comédiens de la troupe !
Sinon, je vais bientot retourner chez moi. J'ai un package de choses à faire et g des loukoums qui m'attendent... J'aimerais bien envoyer un passage d'un magazine à une cousine, je vais voir si je peux photocopier tout ça !
Demain, on me recup, et 5 heures de voiture pour s'enfoncer en plein coeur de la bourgogne, ses champs, ses courtes forets, et ses murs de pierre des maisons... J'oubliais aussi les espéces de borne religieuse tout les dix kilométres ! Vous savez les statues de maries ! Foklorik, isn't ?
Allez, hasta la vista baby.

paul

jeudi 25 septembre 2008

hey !
Je dois faire vite, mais un petit résumé s'impose. Commençons par le vélib de marseille, parce que j'ai eu droit à tout. Des vélos crevés, le siége destroy, heu... ah oui, et récemment un jeu de clés dans le panier ! C'était sympa d'y penser, mais ça m'aide pas à trouver l'endroit !
Donc, les remettre à la mairie.
Sinon, tout va bien. Je vais trés certainement m'occuper de Marsatac, le gros carton de l'année, pour la nuit du Samedi ! ça va déchirer, man.
Mon livre, ça avance. Un certain état d'esprit se profile et je suis pas mal fier de tout ce que j'ai fait ! C'est d'ailleurs la raison pour laquelle je ralentis mon travail, je passe des heures à me relire ! J'ai aussi trouvé un spot où surfer. Le Cmv, oui, si c'est encore possible de s'inscrire en planche à voile, mais dans le cas présent, je parlais du Macdonald de la gare. De derriére, je m'assois sur un siége, et comme ça je profite de toute la gratuité de communiquer.
Un régal. ! Les polonais, ça va, ils sont retournés à Aberdeen, une ville d'Ecosse où je suis invité à porter un kilt et prononcer " braveheart" comme il faut.
Tout à l'heure, je me suis mangé un pique nique dans un parc. C'était sympa de se poser sur la pelouse, à l'air libre. Sans se prendre un vélo , pédaler comme un dangereux marseillais lambda, pourt enfin apprécier la saveur de nouilles chinoises.
Toujours les petits chats. Quand j'ouvre chez moi, pour rentrer dans la cour (plusieurs hectares de jardin), le gris me regarde de ses grands yeux jaunes et miaule d'un air de défi !
Il est trop ! Mon preferé ça reste l'autre. C'est fou comme on s'attache à ces ptites bêtes...qui t'accueillent du matin au soir et viennent te rendre visite !
Et puis sinon, le même plaisir de retrouver quelques amis dans ce vaste lycée, de revoir Timothée qui me rapelle tout de suite l'enfance et Rochefontaine, un tel pour son livre d'anglais à la librairie... je vais voir ma prof d'hist de l'art qui est aussi dans le cdi et à qui je dois rendre mon dessin, mais je me dis aussi que non justement je l'ai pas finit ce dessin et qu'il serait plus judicieux d'ignorer ma présence et de le lui rendre au dernier moment, ni vu ni connu.
Il me semble qu'il y'a d'autres choses à raconter, certainement le wk dernier.
Je me souviens plus d'avoir déja evoqué la superbe soirée du Samedi avec Dominika et Maciek à s'éclater comme des enfants ! On se déguisait, on revenait au studio pour faire un spectacle de feu avec des noirs et leurs percussions puis on a sympathisé avec d'autres qui faisaient des lebolas, on dansait la polka au son des trompettes... C'était chaud !
D'autant que je me suis vidé une bouteille de muscadet à moi tout seul mais àa se boit comme du petit lait, ça aussi. Et j'ai une bouteille de rosé à boire le mometn venu où je ferais une tardive chandeleur ! Humm, les bonnes crépes !
Voili voilou ! Au plaisir de partir à Brest, d'aller en Italie(plus probable) ou au Maroc( c'est mort en hiver, fait froid. Y'a pas non plus grd chose à voir à Casa'...Donc pour une prochaine fois, au moins c'est bien de se le calculer comme ça on s'améliore le trip, sans cesse mieux preparé.
L'idéal étant de se faire un truc tranquilou, sans forcing.
Au plaisir aussi de voyager, de revenir me baigner dans la piscine de Rochefontaine et de taquiner mamie ! Allez, je me tire, que y'a la classe de cap sed qui m'ennuie avec l'affaire flirt invisible" Bye, kiss

paul

samedi 20 septembre 2008

Bien le bonjour !

A la gare st charles, sur un confortable siége, derriére le mc donald qui me fait profiter d'internet. J'imagine qu'un jour ou l'autre, ils viendront me dire qu'internet c'est avant tout consommer pour l'avoir, aussi je consomme internet le plus rapidement possible !
C'est le Week end, ça fait du bien de se reposer !
Hier, vendredi, grande nouvelle !
L'année prochaine, pour accueillir un correspondant allemand une semaine, je vais en Allemagne tout frais payés, dans sa famille d'accueil !
Donc, ça c'est fait, le voyage quelques jours en Allemagne pour se dégourdir les jambes !
Ensuite, j'ai appris d'une copine de classe, Laura, que des voyages en Service Volontaire Européen, c'était assez rentable, on va voir d'ici peu. Elle aimerait aller en Turquie, et je serais tenté d'y aller avec elle.
Pour une fois que j'ai quelqu'un sous la main qui adore voyager ! Et ben !
Toujours, hier, j'ai eu l'immense plaisir de savoir qu'Aida, la documentaliste Colombienne du Cdi, venait de revenir d'un voyage en Suéde grâce à mes conseils ! J'étais trop fier !
Elle m'a dit qu'elle avait pensé à moi, qu'elle était partie d'aprés ce que je lui proposais de prendre, des low cost, ryanair ! Alors elle a passé une semaine à Stockolm, voir les fjords et découvrir les musées ...
Ensuite, c'est Roselyne, une femme du Seamen's Club. Je lui ait fait découvrir les low cost, et là elle doit partir avec la même compagnie aérienne à Porto !
En y pensant, pas grand monde ne connait encore les low cost, ou alors c'est un pur hasard.
Et puis à la sortie du lycée, Camille est venue me chercher en voiture : un copieux dîner chez les grds parents !
D'ailleurs, il faut que je me mette à écrire un discours sur Papa. J'aimerais aussi lui faire un sacré truc en peinture ou en papier, avec des montages... plein de belles images, quoi.
En revenant d'Aubagne, j'ai hebergé les polonais, et on s'est bien marrés hier !
Cette fois, je ne suis pas invité en Pologne, mais en Ecosse !
J'ai de quoi faire pour passer le temps, aprés mes études !
Ce matin, quelques courses au marché, repas de choc ! salade quiche, tiramisu. En quelle honneur ...
Toujours les petits chats qui viennent me mettre de bonne humeur le matin, en gambadant joyeusement sur mon lit, avant d'aller au lycée !
Le soir aussi. Ce soir, comme il y'a un festival de deux jours dans mon quartier et dans ma rue( j'ai deux gardes du corps à côté. Johnny, sors ton flingue , j'ai besoin de toi.), je pense que pour ce soir, on va un peu réchauffer le plateau de notre seul présence, de nos foireux accents marseillais respectifs !
Ahh, c'est cool. J'avais rien prévu ce Week end, mais finalement, c'est plein à craquer.
Sac que j'ai troqué contre un magnifique sac en bandouliére. pas la classe.
"le départ s'effectue... Merci de votre compréhension" dit l'ordinateur de bord, ou Dieu, qui me parle.
Pourquoi je tombe que sur des tarés. Un homme en ciré rouge(il fait pas assez chaud comme ça) se glisse à côté et me jette un regard noir en biais en me disant bonjour d'un ton glacial,réponse bête à mon propre regard en biais, tout ce qu'il y'a de plus discret. Enfin voilà.
Demain, Seamen's Club.
J'suis content, j'ai réussi à avoir un délai pour un sujet de dessin, que ça fait troi semaines qu'opn travaille dessus et que personne n'a la moindre inspiration....
Bon, donc du dessin, des remises à jour de mes cours, poursuite de mon livre, notes, et discours de papa.
Espérons qu'Obama soit président. Je sais pas ce que ça peut changer, mais l'idée me plait.
Allez, un petit coup d'oeil au S.V.E.

mercredi 17 septembre 2008

coucou toi

Comme vous le voyez, trés cher(s) actionnaire(s) des commentaires, je ne manque pas encore tout a fait d'imagination ! "Coucou toi" est une expression d'une jeune sympathique photographe rencontrée en corse !
Bref, tout ça pour dire Bonjour, et que je vais bien.
Qui ne se soucie pas de mes nouvelles ne peut être de ce monde.
J'ai été pas mal saturé de formalités, de choses et d'autres, là, hier soir( mardi soir) match Om-Liverpool.
Ambiance détestable( observez des secouristes fatigués, qui vous envoie promener sous prexte que je leur dis bonjour !!) mais une superbe rencontre avec une secouriste, qui m'a sorti le temps de la soirée d'une certaine déprime, de la grisaille...
Demain soir, diner en famille chez moi.
Outherwise, la classe ça va, des dessins qui devraient me ramener des notes. Je pense me faire une crémaillere... Le wk prochain, je suis en principe invité chez juliette...
Etc, etc. Le livre avance. J'espére que tout va bien pour toi, yack, les cours, tout ça..les bateaux de Brest !
je t'envie. Bon, sur ce, j'y vais !

jeudi 11 septembre 2008

Saalut

Salut !
Je suis au Cdi. De nouveau.
J'ai pas mal de choses à dire, donc je vais tacher de tout résumer ce qui s'est passé entretemps.
Et c'est pas de la tarte !
Bon, je sais plus où je m'étais arreté, mais pour ce qui est des derniéres news :
En revenant de Bretagne, mi Aout, j'ai participé à une formation de croix rouge( 2jrs/4), aprés ça, j'ai fait deux, trois trucs de mon côté.
J'ai demenagé de ma colocation, ma mére et ma soeur m'ont bien aidés. C'est un super endroit avec des voisins charmants, un quartier animé plein de restos bien sympas...
Ensuite, mon frére est revenu de son trip du Portugal et c'était assez fort en émotions ; )
Durant les qqs jours, six je crois, que Yannick est resté sur Marseille, on a passé de bons moments à sortir prendre un verre de thé, ou apprécier l'ambiance du Shambala.
Seul regret, ne pas être venu tous ensemble à Rochefontaine profiter de la piscine !
Ce jour tombait avec ma rentrée, le jeudi. (et on est Jeudi, une semaine que je suis là.)
J'ai revu mon cousin Timothée, briévement, et que j'ai eu l'occasion de revoir plus tranquillement le Dimanche, chez Mamie. Je vous ait dit que c'était un petit coin de Paradis ?
Avant d'y atterrir, j'ai fait du stop sur Gardanne et ça a porté ses fruits, il m'a raccompagné jusqu'en face de la maison alors que le soir tombait.
J'y ait donc passé le Week end, à lire et profiter du silence d'un grand jardin entouré de pins, et à se baigner dans la piscine pendant des heures... !
Des plaisirs simples mais qui ne sont pas à la portée de tout le monde.
Là où j'habite, c'est assez cool point de vue ambiance. Mais j'étais un peu étonné d'apprendre depuis mes fenetres ouvertes, alors que le gamin chuchotait à sa copine Gaia, qu'un gars avait sorti son arme et qu'il allait buter je ne sais qui ... Mouais.
On va pas mettre tt le monde dans le même sac, mais au moins j'ai une petite idée de ce qui peut se passer en temps normal. Et le gamin lui a dit àa sa copine qu'il l'aimait. Il avait peur.
ça m'a un peu remué qd même. Non, c'est pas tout les jours qu'on apprends des trucs pareils.
Puis, toujours hier soir, je suis parti dans mes recherches de job et inspecter au passage l'intérieur classe de chaque restaurant. En finissant une rue, un resto marocain.
Le patron m'a demandé si je serias partant tout de suite, pour de la plonge, pour remplacer un gars qu'il a d'ailleurs viré n'ayant pas prévenu et lui posant un sacré lapin.
Du coup, ça tombait pile au bon moment ! Et on m'a dit que je me débrouillais bien pour un début, que le patron était content de moi. J'en ait fait quatres heures, et apparemment je suis prit d'office puisqu'ils me reprennent pour ce soir et si tout continue de bien se passer pour le Week end suivant... Moi, je me fais pas de grands rêves, j'ai déja été viré en serveur et même si on est loin de me mettre la pression, je prefere me dire que je fais ça un temps.
Aprés, ça se termine mal, pris de court. Donc, j'ai gagné 34 eurs hier soir, et j'espére toucher plus en commençant plus tôt, à partir de 18hrs. Plus les pourboires !
C'est toujours une expérience, et puis si c'est tant pis , je me rabattrais sur autre chose !
Mais j'aime bien, pour l'instant ! J'attends de voir de faire serveur, je m'attends pas à cartonner mais bon. Enfin, espérons qu'il me garde, ça me permettra de mettre des sous de côté, pôur voyager, et m'offrir des suppléments, voire de ma rattrapper en sorties, en cadeaux pour la famille...
Sinon, je me suis entretenu avec un guide acc' marocain, qui m'a fait part de son expérience.
C'était intéressant à prendre. Puis demain, je vais questionner un peu un responsable de Nouvelle Frontiéres, au telephone.
Enfin, ben la classe, y's des nouveaux, sept de plus, ce qui nous fait une classe de 23.
Ils sont cools, même si aujourd'hui ça commençait a demarrer dans le grd n'importe quoi( cad , déconner) et ça, j'appréhende pour les deux ans qui restent à venir.
Mais je m'entends trés trés bien avec un aixois, une aixoise, un parisien ( Anthony)... que j'aimerais inviter un de ces quatres.
En sport, j'envisage de faire de la planche à voile. Le fitness, ça serait pas mon truc, et je fais déja un peu d'excercices journaliers chez moi.
Voilà ! Sans compter que j'ai une bonne liste de choses à faire, dont l'inspection du dégat des eaux, les coups de fil, un billet de train à reserver de toute urgence...
Mais si je gagne encore un peu ce soir, ça serait cool ! Allez, je file.

lundi 25 août 2008

Il est 22h38, je dois aller me faire à manger, pour ensuite me coucher... demain, rendez vous à sept heures au garage de la croix rouge, je vous laisse imaginer mon réveil...
On dirait pas comme ça, mais aprés les"..." , j'ai écrit un long chapitre que j'ai aussitot effacé, aucune envie à partager mon amertume, les gens ne la comprendront pas.
Je m'en tiendrait donc à une phrase qui me console dans la vie de tout les jours, en raison de comportements qui me blessent, le plus récent remontant aux petites phrases de Maman qui réveillent en moi une rancoeur, la même qui à été sujet de tant de frustrations...
Puisque certaines fois, on perd son temps, même avec toute l'éloquence que la nature nous met à disposition, que toute notre énergie se vide par la suffisance et l'assurance froide qu'affiche à ses heures, mon entourage, je vais m'expliquer par cette phrase qui est ma démarche à me fondre dans les préceptes du bouddhisme :
C'est plus ou moins ça, l'esprit y'est :
Ne cherches pas à répliquer aux souffrances que l'on t'a fait, se venger c'est quelques instants de plaisir de vengeur mais combien de jours, de mois, voire d'années, à réparer...
Chaque mauvaise action se retourne contre soi, d'une maniére ou d'une autre, tôt ou tard.
Laisses les dans leur ignorance, ils seront confrontés à la réalité de leurs actes, ce ne sera pas peine perdu

Voilà. On peut dire ce qu'on veut, ça défoule d'écrire !
Je n'aurais vraiment pas le temps de tout raconter en détails mes soirées, ou es évenements des derniers jours... hier, on est allé à Montpellier voir Perrine, Benoit, Clémentine...
Camille m'a stupéfait pour une premiére fois à conduire sur l'autoroute : elle n'a fait que ça !
J'y vais.

dimanche 17 août 2008

Plus tard, je serais...

Salut !
C'est marrant de se dire que personne pratiquement ne lit mon blog et de voir à quel point je m'acharne à continuer à me dire que ça ne sert peut être pas à si rien que ça...
Les paroles s'envolent les écrits restent... Je remarque que je délaisse de plus en plus mon journal, j'oublie et je prends moins la peine de raconter des trucs...
Comme raconter la soirée avec des potes à Cam'( Laurent que j'avais déja rencontré l'été dernier, et Guid'j un autre gars assez sympa qu'on devrait sans doute revoir)
Soirée à se bourrer la gueule, des mélanges de vins, de biére, de rhum... j'ai une descente un peu trop rapide, faut que je fasse gaffe. J'ai pas gaché la soirée, mais c'est dommage, enfin, ça aura pas changé grand chose... C'était des gars de la voile, et une amie à Laurent nous a autorisé à venir prendre place. Sympa de discuter avec cette fille, ce feu d'artifice prés de l'étang...
Voilà. Toujours la meme question permanente de ce à quoi je fous là, à écrire, à me balader...
Pas la déprime, non la résignation de se dire que les gens ne se comprennent pas, que tout mes efforts à me faire comprendre ou à me faire accepter s'évanouissent la plupart du temps, alors je me dis qu'on est rien que tout est illusion... J'essaie de pas m'attacherà ce que j'aime, et ce qui m'attache, parce qu'aprés j'en dépens et c'est un peu plus de souffrance pour rien...
Le boudhisme m'aide beaucoup. Je ne sais pas pourquoi je raconte tout ça, les plus cons diront que je suis un jeune homme que je fais ma crise, et toutes ces conneries, alors j'ai encore plus envie de disparaitre de ce monde de préjugés à la maniére d'un vagabond voyageur.
Je suis amer de tout mon parcours, que j'essaie d'ailleurs de mettre sous forme de roman et de le publier dans deux ans ( sans cesse améliorer) , et puis j'en ai marre de cette putain d'ncompréhension que j'endure surtout à Marseille.
Un jour je partirais. J'en rêve depuis des années et je me connais assez pour ne pas changer d'avis du jour au lendemain. J'ignore ce qui va se passer pour moi, mais en sachant qu'un voyage de dix jours en Suéde m'a marqué, je m'attends à me transformer intérieurement et spirituellement . Je me fous de savoir que des milliers de mecs, sinon des millions, sont des "voyageurs" et traînent derriére eux leurs foutues histoires qui sont plus ou moins la même que la notre et qu'ils rejettent pour nous blesser de nos idéaux qui se veulent avant tout atrocement originales. Vous croyez que c'est une coincidence si un gars m'approuve à la réflexion faite que c'est chiant dans un pays étranger d'avoir ces français qui détaillent tout, diffusent et résument ton plaisir, ton bonheur par leurs mots ? Oui oui ils sont à coté, là , au bar de l'aéroport et s'autoproclament toujours, les malins, les surpris, les fanfarons qui disent tout haut comme si en parlant des gens sans s'y inclure, c'était eux qui avaient le fin mot.
Merde c'est chiant, non de dieu. Et le pire dans tout ça , c'est qu'ils ont autant envie que moi de les étrangler, de nous entretuer en somme.
Quand je dis qu'on se comprend pas, par exemple, c'est de se parler que l'autre s'en fout royalement quant tu dis des trucs qui te tiennent à coeur, c'est avoir des langages différents quand on est du même pays et de la même région, c'est toute cette confusion qui entraînent toujours plus avant frustration, mépris et haine.
Je ne suis pas un adepte impéninent du bouddha et tout le tralala, mais je n'ai jamais autant respecté ces principes que j'étudiais déja deux ans avant( little bouddha, pas le film)
et qui me collent finalement à la peau.
Pourquoi se forcer de sourire alors qu'on est libre, qu'on doit profiter tant qu'il en est encore temps, pourquoi se prendre la tête alors qu'on aura encore des problémes à la con...
Je me détache de tout ça, je regarde avec recul la vie la société, et je vis énormément l'instant présent, bien que ce soit dur dans une ville aussi... Grrrrrrrrr
Bref ! Désolé de parler de ma rage d'originalité de liberté, c'est vrai on aurait pu parler de mon super studio au cours ju et que j'adore( j'en rêvais, c'est fait ! quartier sympa) ou que j'ai un gars du mac do qui semble ok pour une période d'essai dans la semaine...
Mais c'est aussi concret, ça en vaut autant la peine, et c'est autant éphémere que de décrire ce qu'on ressent... Qu'on colle immédiatement une étiquette de négativisme ou pas, peu importe.
Tot ou tard, je mourrais. Petit, je revais d'être un grand, de pouvoir être quelqu'un qui se laisserait plus faire, plus fort. Puis le temps passe, je suis content de savoir que je suis jeune et que j'ai comprit beaucoup de choses par rapport à d'autres( dites que je me vante, je me moque de ce qu'on peut bien m'attribuer-mais je connais mon potentiel), surtout il y'a autant d'avantages et d'inconvénients enfant que jeune adulte, ou jeune homme c'est selon.
Alors, chaque fois, je profite de ma journée comme si c'était la derniére, et je redeviens celui que je n'ai jamais cessé de vouloir être.
Je ne serais pas éternellement dans des études, et quand je partirais à l'aventure, c'est le mot, pour parcourir le monde, qui dit aventure dit danger.
Je n'ai pas peur de mourir, j'ai surtout peur d'en avoir peur, c'est plutot ça .
Si je dois crever en bouffant des plantes toxiques et qu'un film était déja là pour me l'apprendre, tant pis ou tant mieux pour moi.
J'aime bien exprimer ce que l'on pense tout bas, et je sais que j'ai de grandes choses à faire avant de finir en miettes. Voilà pourquoi j'avais pris trés tôt, c'est à dire il y'a au moins quatre ans, l'envie d'écrire un livre. J'en suis capable, je suis capable de beaucoup de choses : même d'être l'égo centrique que je suis à parler que de moi !
En même temps, parler des autres c'est jamais évident de prendre la bonne mesure.
Les autres qui compte pour moi, c'est ce mendiant maghrébin avec son fils à ses côtés qui faisait la manche prés du distributeur. Au début je lui ai fait comprendre qu'il pouvait tjrs courir, puis je me suis dit que ça faisait bien de donner et d'apporter quelque chose aux gens, alors je lui ai donné une piéce d'un euro.
Il était ému je pense, et alors il me tend son paquet de biscuit et me propose d'en prendre un.
Ce qu'il a fait aux quelques personne derriére moi : on savait tous en souriant que ça c'était du précieux. Voilà ma vie.
Ma vie c'est eux, c'est donner.
Si vous voulez vous faire une idée de ce que je suis, si vous essayez de me comprendre, vous n'y arriverez jamais si vous êtes de ces gens qui se mettent des ray bans pour frimer, qui font de l'esprit pour crâner ( en ce qui me concerne, je parle parce que je n'ai rien à cacher et que l'écriture est la meilleure thérapie pour moi, plus besoin d'un psycologue qui fait perdre son temps et son argent), si vous êtes de ceux qui se disent voyageurs et ne passent que deux ou quatre jours dans une ville pour raconter l'avoir fait.
J'aime les gens qui sont humbles, timides mais sincéres, j'aime la réciprocité, j'aime les gens qui me font rire ou pleurer avec intensité.
Ce n'est pas du théatre ou un film que je demande, je n'ai pas besoin de héros qui vous font des exploits qu'on aime à s'identifier, moi je veux juste vivre ma vie idéalement.
Rien de si utopique que ça. J'ai envie de créer des amitiés avec des gens intéressants, qui vous écoutent et avec qui on a envie de rester.
Des personnes sympas, attentionnés, souriants, et qui croquent la vie à pleines dents.
Je partirais à la rencontre de ces gens là, bien que je verrais une large gamme de profils.
Plus des amis comme j'en ai qu'on voit rarement. Une autre mentalité selon laquelle il y'aurait toujours contact et réciprocité, passion, sans aucune lassitude à prévoir.
Je ferais barman, serveur, je serais dans ces ranchs à diriger le troupeau sur un cheval, dans une ferme ou dans un champs, n'importe quoi.
Il n'y aurait aucune limite , aucun délai de retour, je prendrais mon temps. Je travaillerais dur pour vivre et dans mes déplacements, mes rencontres et mes aventures, j'écrirais tout ce que j'ai vécu. Je voudrais pleurer dans les bras d'un ami soulager mes malheurs, embrasser de belles inconnues, être seul, être avec des amis rencontrés, leur raconter mes aventures tout autant qu'écouter les leurs au coin du feu ou tout autre endroit chaleureux et convivial.
Voilà. Bonsoir.

dimanche 3 août 2008

Le blog disponible en Anglais !

This is it, me has it finish with the Mexicans ! Tania, luis, taddeo. Any time, I am invited in Mexico City, them houses my home as they said it. In the USAs, also. Tania, a superb girl, really great, can be even the boyfriend for me a bit by seeing me being a faster runner than them when they by bike (of the rd pt prado in castellane, without break), or to outstrip them in swimming...And you have also I récupere some photos.
This month I think continue sports, in other words chase swimming and other one heatings...
I am more than ever going to continue writing my book, noting ideas, clarifying them, a true job of crazy.

lundi 28 juillet 2008

Celebre.Et puis quoi encore !

Actuellement, j'ai tellement consacré de temps à mes histoires, que je sais plus trop où j'en suis !
J'ai d'abord commencé un début de roman que je peaufine plus ou moins," les idées du livre", "Souvenirs Rochefontaine" qui fait bien deux pages et qui est loin de se finir, sans parler de ceux de Chartreuse, et tout les autres.
Il y'a les extraits de passage du livre " les Français", passages où je me retrouve dans ma maniére d'être et de concevoir comme dans ceux de mes compatriotes...etc
" Aventures inédites", recueil d'histoires insolites vécues... etc

J'aimerais aussi présenter des personnages rencontrés et les intégrer dans mon livre, mais je sais pas ce que ça va donner...Voilà.

A la plage, on a rencontré une écrivain. Une femme encore sous le choc d'avoir perdu son fils il y'a deux ans, et qui en pleurait derriére ses lunettes de soleil pour ne pas se montrer. C'était dur pour elle de nous en parler(elle avait besoin de se confier), et nous on savait pas trop quoi dire puisqu'on était venus là se détendre.
Cétait dommage de pas savoir lui apporter du réconfort, de pas remonter au fond des choses avec elle, mais en même temps on ne la connaît pas assez bien pour s'intéresser de plus prés à ses ennuis.
Cet état d'esprit doit être probablement le même que tout ceux qui ont affaire à des personnes malheureuses, d'où peut être l'expression" souriant, tu sera toujours entouré, triste, seul." et jack K. de dire " mieux vaut éviter l'amertume des gens, ravageuse" ou quelque chose du genre.
On est face à un sacré dilemme puisqu'on se doit de l'encourager à vivre, mais tout ce qu'on trouve à dire c'est des banalités ! C'est fou.De toute façon, l'enjeu reste le même : se relever seul.
J'imagine que c'est dur quand ce sont les autres qui agréementent notre vie, mais je suppose que c'est le travail de la concentration, de la perséverance, autrement dit du courage.
L'idée qui serait la bienvenue, c'est que les gens te tendent la main au départ, et que même si tu boites, suivant le mental, l'énergie revient et on retrouve la force de marcher ou de courir.

Ma mére m'avait fait la réflexion judicieuse qu'à trop courir le long de la corniche, ça finit par en devenir monotone. Pourquoi monotone ?
A courir réguliérement ? Il faut toujours faire attention à ses propos, prendre son temps de réflechir, car parfois on remet en question les intêrets, les plaisirs qu'éprouvent des individus de notre entourage et que d'autres ne comprennent pas. Mais imposer son point de vue, c'est comme rayer un disque.
Dans un bar américain, un cadre affichait une citation : "les musiques sont la b-o de notre vie"...
Le type devait y penser trés fort pour en faire sa propre vérité.
Si les musiques seraient partie intégrante de notre vie, pourquoi pas non plus le sport ?
Ensuite ça appartient à chacun de faire réguliérement du sport, et si on peut juger que l'excés dans toute chose en revient parfois à un désequilibre, ça n'empêche pas à chacun de choisir ce qui lui convient.


Je vous préviens que pour ce que je viens d'écrire, je ne sais pas toujours où en venir et qu'il n'y'a pas besoin de tout suivre à la lettre. Maintenant imaginez qu'à ces exercices quotidiens, il faut se déchifrer, se mettre à la place du lecteur, s'interroger de si tel sujet va l'ennuyer ou de si celui ci en vaudra la peine. Aprés avoir gardé l'esprit de base et de ses dérivés, il faut alléger, enlever le trop plein, et parfois tout reprendre.
Voilà ce que j'entreprends depuis bien un mois, et ce n'est qu'un début.
D'abord, je n'ai pas arreté de vouloir aller jusqu'au bout de mes idées, et ensuite l'envie est trop forte pour abandonner tout un travail de mémoire, d'esprit.
Il y'a aussi un théme qui s'intitule " Société marseillaise", et qui décrit sans éviter de generaliser, les attitudes profondes des gens de ma ville. Parfois je critique, et je m'aperçois que ce n'est pas trop mal de dire ce que pensent les gens tout bas( comme on dit) ( D'ailleurs, je n'aime pas du tout le terme"gens") puis je change immédiatement pour me dire que ça va ne faire qu'aggraver les choses, que la négativité n'interesse peut être pas... etc J'ai aussi fâcheuse tendance à aller d'un sujet à un autre, mais si vous saviez tout les défauts que je me garde d'exposer. Ce n'est pas pour tromper, j'ai découvert qu'écrire permettait de se remettre plus facilement
à l'essentiel, et de moins faire l'impasse sur ce que l'on croit, pense et ressens réellement.
(ça n'est pas de moi, la derniére phrase)...
Je m'aperçois aussi qu'écrire est une forme de statut social. Si on choisit un style plus abordable, on tend vers le classique et ces romans policiers ou à l'eau de rose, faciles.
En partant faire vos courses, dirigez vous vers un rayon de livres : ceux qui sont à succés sont bien souvent les plus accessibles. Feuillettez les pages et regardez un peu le contenu. Vous avez toutes les chances de votre côté pour avoir dans vos mains, un format de poche, un style d'écriture somme toute simplifié au possible.
Hé bien pour moi, ce n'est pas si simple de me cantonner à un style d'écriture précis, son propre style( disons qu'on se facilite les choses en se rangeant à une forme de rendue universelle), je suis un type qui ne demande qu'à exprimer son originalité et sa créativité et qui n'a surtout pas envie de se faciliter les choses, au contraire.
Chaque fois que j'écris, comme maintenant, je sais toujours que mes mots reflétent ma vraie nature et bien au delà de son contexte présent.
Jack kerouac serait encore vivant, je me serais précipité lui demander des conseils, mais finalement
tout est dit et il n'y à pas à chercher bien loin : car tout est dans ses oeuvres.
En écrivant, je me rapproche non seulement de ma vraie nature, mais c'est aussi l'occasion de replonger dans l'état d'esprit d'écrivains comme Kerouac.
Il y'a tellement de choses que j'ai découvertes sur lui rien qu'en écrivant que je me surprends moi même.
Peut être vous me direz "tant mieux" et dans ce cas là, c'est que vous vous mentez à vous même en ayant tout lu depuis le début.
J'espére vraiment arriver à cette sorte de contentement , de satisfaction, en terminant tout ce que je voudrais exprimer à travers mon livre : une autobiographie qui se veut simple à lire, profondément originale et recherchée( des mots sans cesse renouvellés, raffraichis), qui se voudrait à la fois philosophique, l'expérience humaine d'un jeune homme perdu dans une société qu'il ne comprends pas et réprouve.
Qui veut fuire ses problémes alors que ses réponses sont dans ses questions. ( réflexion de mon trip solo en Suéde, pour vous dire à quel point c'est enrichissant de voyager)
Théme que j'ai si bien comprit et que je trouvais tellement ancré dans l'histoire( en l'occurence la mienne) que je l'ai insinué dés le début. Franchement, et je n'ai jamais autant pesé mes mots, c'est surement trop tôt encore, mais j'ai tout le potentiel qu'il me faut pour devenir un écrivain célebre.
C'est sûr, pour être célebre il faut le it, un peu comme les saxophonistes de jazz d'avant guerre qui le trouvent, les plus doués étant ceux qui le tiennent le plus longtemps.
Ce que j'écris n'a rien à voir avec l'écriture décontracté que j'utilise, mais vous l'avez deviné, mon probléme c'est d'être toujours à l'affut, toujours un peu partout. Et si les mots le sont, leurs auteur aussi.
Ce qu'il me faudrait, c'est la même potion magique que Kerouac, qui, disons le tout de suite, est formidable.
Peut être que sa vie le blasait à mort, qu'il n'était pas toujours dans ses baskets(s'ils y'en avaient à l'époque)
mais une chose est sûre il était naturellement doué. Il savait prétendre quelque chose, pousser l'analyse jusqu'au bout, se contre argumenter pour qu'on éprouve pour lui de la compassion, bref, génial.
Son vocabulaire est le premier et le seul jusqu'à maintenant que je connaisse pour délivrer autant d'authenticité, de présence. Ses mots défendent ses valeurs, tout ce qui lui tenait à coeur et qu'il ne voulait pas réduire à néant. Quand je dis que je suis surpris de le comprendre au travers de l'écriture, en voilà la preuve !
J'ai vécu des choses formidables que je ne veux pour rien au monde voir s'envoler dans l'oubli, je sais que beaucoup de gens ne supporteraient pas ce que j'écris comme moi je ne tiens pas toujours ce que certains acteurs ou auteurs reprenne mes envies les plus profondes à leur propre compte, leurs propres profits.
Je sais que je serais de ceux là. Je viens de me demander si l'individualisme n'entraîne pas une furieuse et vivace envie de s'exprimer le plus intensément possible, se libérer de tout ces gens qui en pensent autant.
Parfois je regrette d'être comme ça, fermeture d'esprit comme l'était sans soute celle de Kerouac à trop vouloir déclarer sa solitude et son détachement du monde désespérement lourd de son reflet.
J'ai envie d'assasiner le type dans into the Wild qui incarne un mec qui s'en va s'aventurer dans son pays et qui m'a envoyé en pleine gueule tout les trucs intenses que je me reservais secrétement.
Et je ne le cache pas, on échappe pas à ce qu'on est.
Et si jamais j'en viens à être celebre(j'ai encore le temps, mais mieux vaut tard que jamais) , je sais que j'aurais autant d'amis que d'ennemis.
Rien de plus dur à avaler qu'un gars que l'on sait enfouit au plus profond de ses idéaux, et qui te réduit à ta propre réalité, ta chienne de vie.
C'est moche de penser comme ça maisil est évident qu'il ne faut pas mettre plusieurs originaux en tête à tête, regardez le résultat et vous verrez que je n'ai pas tort. Ma classe en est l'exemple parfait; vu qu'on a tous nos propres caractéres mais les mêmes valeurs, on se rejette avec animosité.
Je ne supporte pas non plus ce gars sur couch surfing( je ne sais trop quoi comme étranger) accompagné de sa femme russe, et qui a les mêmes gouts que moi, presque la même philosophie, et en tout cas, le même bon goût pour les films et la musique. Il me semble qu'il est Allemand, mais les trois quarts de ses "quotes favourites", ce sont Mc solaar, 24 grammes, et cie... Et il insistait pour que je l'invite chez moi.
Je ne sais pas, parce que je redoute d'avoir mon propre reflet, un double qui me rappellerait qu'on est une foutue civilisation surpeuplée et qu'on a de plus en plus de clones.
J'adore la différence, mais j'adore avant tout son respect. J'aime bien partager des gouts communs mais ça me gêne terriblement que le voisin s'identifie trop à moi...
Ma demi soeur m'agace parce qu'elle a le don de récuperer les mêmes centres d'interet que moi : courir faire du jogging, clubmed, voulait faire guide, adore natation... A la fin, on ne sent rien du tout, mis à nu.
En fait non, j'aime partager des choses communes, mais pas avec des gens d'emblée cons et fermés, les cas les plus fréquents sont bien sûr ce qui adorent les mêmes trips que moi mais se croient plus malins que les autres.
On fait tous nos malins pour récolter quoi ? la gloire, la reconnaissance.

Pour en revenir à l'originalité, j'ai assez ici pour puiser par ci par là, analyser les échantillons, et en faire un théme propre à l'histoire que je veux dévelloper et publier.
Il est une heure du matin, et je ne vais pas tarder à me coucher, mais au point où j'en suis pourquoi ne pas raconter un peu ma vie des derniers jours...

Aujourd'hui, j'ai distribué mes papiers de recherche de job, et Mc Donald Canebiére serait peut être interessé.
J'ai halluciné de voir la serveuse rayonnante, me sourir, et sympathiser avec moi, je me suis demandé si c'était moi qui n'était pas normal ! Oui, elle est la deuxiéme à m'encourager à postuler, et ça donne envie de la prendre dans ses bras, de la remercier de me réchauffer le coeur de son sourire.
Voilà, j'ai aussi la confirmation des trois mexicains qui viennent passer quelques jours chez moi le Jeudi, et une demande de la part de cet Allemand qui me ressemblait trop, et sa copine.
J'adore toujours autant accueillir, mais je prends un peu plus mon temps de faire le tour de la question.
Si je ne trouve pas de boulot, j' écrirais et m'occuperais.
Je ne me suis jamais autant eclaté en trouvant mon truc, l'écriture, et je sais que j'ai bien des messages à faire passer, tant pis si la destinée de ce livre ne sert qu'à combler le vide des étagéres et des présentoirs, ou d'en être qu'un de plus à proposer des solutions miracles.
J'ai eu aussi mon frére au télephone(unique lecteur de ce site), et ça m'a fait trés plaisir de le choper, hein ?
Je pense que je vais me faire quelques cartes, avec écrit nom, prénom, coordonnées, et site web.
J'ai envie que les gens s'y interessent, j'ai envie de croire que je peux changer leurs visions de voir la vie, mais j'ai bien peur que je ne me lance un gros défi, vu la facilité déconcertante à laquelle ils oublient tout autour d'eux en trés peu de temps, et je fais partie du lot.
Alors je me creuse la cervelle, sortir une oeuvre qui serait si puissante et inspirante qu'elle ne serait pas ignoré dans l'indifférence la plus totale.
bonne soirée !

mardi 22 juillet 2008

Spain auberge !

Oui, l'auberge espagnole. Je crois que je pouvais pas trouver mieux pour me dépayser à peu de frais et à domicile ! Merci à Yannick (unique lecteur de ce blog, Ahahaha !) et sa large intervention.
Mon frére est doué d'une intelligence artificielle, c'est un peu compliqué mais c'est comme ça, ( disons qu'il s'est fait mordre par un E.T génetiquement modifié.) alors il m'a envoyé un lien internet "hospitality Club" qui par la suite m'a permit de recevoir sans tarder des messages d'étrangers prévoyant de passer quelques jours chez moi.
Hier soir, j'ai hebergé deux filles : Eszter et Renata. C'était rapide puisqu'elles ne sont restés que pour la nuit, mais le soir de leur arrivée on a pu discuter un peu. Eszter est d'origine Hongroise, et Renata : ...
Elles sont venus chez moi vers 21h30, et on dû bien discuter deux heures !
C'est vraiment marrant de les voir prendre leurs douches chez moi, en pyj ' , ou de sympathiser le peu de temps qu'on a eu le soir, et le matin de leurs départs, aux alentours de 10h30...
M'enfin voilà, ça me fait une possibilité d'être hebergé à mon tour par une ravissante fille de Londres, à défaut de Cracovie si le voyage m'endette. Et ce sera interessant si jamais j'en viens à vivre dans un pays anglophone pour apprendre la langue, une solution que j'envisagerais sous toutes ses coutûres tôt ou tard.
Maintenant, il me reste plus, en principe, que les mexicains le 31 Juillet, des Italiens à la fin du mois d'Août, et des amis français de Cam en Septembre...

lundi 21 juillet 2008

Photos de cet été










Maintenant que j'ai un super ordinateur bien mignon et qui sert à quelque chose, nottament de la webcam et son rendu impeccable, voici quelques rendus pas trop mal :


dimanche 13 juillet 2008

Hey !

Bonjour monsieur ! Comme dirait martin, un ami polonais.
En ce moment, je me sers de mon appartement vide pour accueillir et faire la connaissance d' Etrangers :
Le 15 au soir, c'est Martin et Kalina que j'ai hebergé 4 jours durant dans une grande chambre.
Pendant leur séjour, je suis revenu une fois au seamen's club( à noter que tout un aprés midi j'avais écrit tout ce qui s'était passé lors d'un Week End passé chez Nicole et Roselyne, tout s'était effacé par une mauvaise manipulation. ), avec Sophia, une fille de 24ans que j'adore et avec qui on avait tenu le bar toute la journée jusqu'à ce qu'arrive Marc et un stagiaire fort sympa qui se débrouille pas trop mal au baby foot.
Mais il faudrait aussi que je teste le ping pong, ça me tente.
Et aussi un aprés midi au J4 derriére le fort St Jean, à suivre un match de beach volley, belges contre allemandes ( c'est chaud,dit le commentateur.J'aime bien les brésiliennes qui se trémoussent aprés chaque set mais plus agés, ç'aurait été parfait, là je leur donne 16ans, pas plus), faire la connaissance d'un joueur français juste à côté, un malaise d'une fille qui me lorgnait depuis le brancard et sa copine qui lui murmure " Ah tu l'trouves beau"... Mignonne, mais encore trop jeune, vraiment.
J'aimais bien ces siéges exotiques pour joueurs où on s'asseoit pour profiter du soleil, ou se faire raccompagner en 4-4 Croix rouge avec Romain qui conduisait n'importe comment !!
Sans ça, j'ai passé le reste de mon temps à aider Martin pour ses billets de train (il s'y était trés mal prit), ou sa fiancée Kalina qui a fait une taticardie,chercher et aller voir un docteur... et ainsi de suite.
Mais à part ces services rendus auprés du jeune couple , on a passé de supers moments comme danser imiter et faire les idiots en écoutant des chansons ou en découvrant que certaines des miennes sont polonaises( Afryca)et ont donc leur traduction en anglais !
Je me souviens aussi des interprétations stupides de tableaux abstraits dans la salle d'attente du doc', du "bonjour", avec l'accent super, ou des expressions que je leur ait apprises par rapport à Saphir, mon chat siamois : " Mon pétit pepéére...", Minou, minou, minou ! "
Eux m'ont appris que pour appeller un chat, c'était par " Kitchy, kitchy, kitchy...kitty, kitty, kitty en anglais...
Le matin, c'était agréable de voir que Martin s'occuppait de tout pour le petit déj et nous offrait un lunch sensationnel : fromages, thé, pains, jus de fruits, gateaux de la boulangerie...
Et aprés la veille au soir où on se buvait du rosé et donc plus réceptifs pour faire la fête, le matin du départ à faire une course en chaises roulantes ! Et bien sûr, moi et ma soeur sommes les bienvenus à Cracow( Cracovie), ce qui m'arrangerait dans l'idée de faire une formation de marin moins cher qu'ailleurs, mais to check prices to go overthere.
Puis du coup, on a decidé de passer le Week End à Rochefontaine, c'était relaxant de se poser et de pouvoir enfin beneficier du labeur de son travail, la piscine.
Des couchers de soleil, des repas conviales passés dehors(à la lumiére des bougies !non quand même pas), des cousins, des livres, un épisode de Lost pour terminer en beauté une tranquille soirée lovée dans le fauteuil...
Au matin, revoir la voisine du bas un an aprés ( son unique fils qui s'appelle Paul), trés mignonne mais finalement un peu trop agé pour moi.
Un footing avec Antoine et Sebastien : dites vous que j'ai couru avec des chaussures de ville et que je courais loin devant eux, et Antoine, un sportif de haut niveau en plus..
Puis ce matin j'ai reçu quelques sms, de la part de deux filles Renata et Eszeter, qui cherchaient un hébergement pour ce soir et qui ont eu mon numéro par Martin et Kalina.
"Bonjour. Nous sommes 2 filles qui cherchons(...)" Or, j'aime les étudiantes et j'aime les filles !
je suis un vieux célibataire tout triste et tout seul, abandonnée de la gent féminine alors si je peux me choper une belle polonaise pour au moins ce soir, du speed dating quoi ! Mais bon, je vous l'accorde ça l'fait pas pour un soir d'entrée, non ça l'fait pas du tout : Ahahaha !
Ah, et je me suis mit aussi en relation avec une mexicaine qui voyage avec deux amis à elle, trois donc, je pense to host them 31th July.
Sinon, il y'a aussi mon frére Yannick qui pensait à moi et aux copains de sa petite amie Chiara, donc je vais peut être me retrouver à imiter un accent de mafieux de la campa à leur arrivée.
J'aimerais essayer la sous location , mais effectivement ça craint si déja j'ai un agent immobilier qui rentre chez moi faire des visites sans prendre la peine de me prévenir.
Voili voilou ! Et hier, j'ai écrit les souvenirs de Rochefontaine qui me revenait en tête !
Pour ce qui est du boulot, je vais me prendre par la main dés demain, mieux vaut tard que jamais.

vendredi 11 juillet 2008

Extraits du deuxiéme chapitre " ...D'un rêve une réalité"

(...) A moitié endormi, je me cherche la meilleure position ,emmitouflé sous ma couette, de sorte que je me ressasse d’un bien-être à long terme et que rien n’interromprait. Je m’enfonce aussi bien dans l’édredon que je m’enfonçais bientôt dans un rêve profond ,familier.
Quand on quitte un endroit, on y laisse une partie de soi même.
L’obscurité de ma pièce se ressent de mes yeux clos, privés de lumière, et s’adaptant à cette transition brutale. Aussi sombre et familière qu’une certaine forêt, où je décidais de m’enfuir. Sombre et prédominante, le signe du passage à la nuit prête à se confondre avec elle et à ne former plus qu’un. Sans m’en rendre compte, je revenais inconsciemment sur mes pas.
«Chaque pas qui l’emportait dans ce monde inconnu mais familier de par son enfance, l’émerveillait, au point de lui donner le vertige tellement le contraste était saisissant …
Les oiseaux piaillaient sur les branches frêles des cimes, en rendant un dernier hommage au crépuscule, ce soleil teinté d’orange vacillant de la fin de sa course.
En empruntant la longue route droite, il remontait la douce pente qui le conduirait au plateau. Il contourna ensuite un premier virage, un de ces rares virages dont le pays immense, était dépourvu.Une fraîche bise soufflant de nulle part, ne manquant pas de lui donner une grande bouffée d’air pur, vivifiante.
Paul s’imaginait avancer à contrevent, puis un étrange sentiment l’anima, l’esprit en alerte.
Oui, le vieil homme qu’était son grand père aurait dû être là.
Il n’avait jamais connu un homme s’adonner autant à la nature qui régnait aux proches environs de sa maison, c’était là qu’il vivait vraiment de ses marches solitaires aux premières heures de l’après midi.
Son ventre se noua, car si l’homme avait quitté les siens rejoindre sa terre provençale, il sentait bizarrement sa présence, à la fois proche et lointaine.
Embarrassé, il jeta son dévolu sur un rocher qui surgissait de son champ de vision.
Il essuya la sueur de son front, glissa son sac volumineux d’un coup d’épaule, et s’assit.
En retrouvant ses esprits, il décida d’étancher sa soif en défaisant la gourde accrochée sur le coté, la porta ensuite à ses lèvres…
Une voiture neuve ou deux débouchait du virage, le conducteur aux commandes s’attardant sur « un cuir », un de ces jeunes routards qui faisait la route à pied.
S’éloignèrent disparaître plus loin, fort probablement des touristes pressés de prendre leur vol, les gens du pays étant faciles à reconnaître. Ils roulaient avec de vieilles automobiles sorties des années soixante en prenant tout leur temps.
Mais dans deux jours, il retrouverait le contact avec sa société à lui.
Son attention se reporta sur le ciel intense que sillonnait un avion, vrombissant l’air.
Il percevait les deux grandes tracées blanches et parallèles qu’il laissait derrière, et qui s’effaçait peu à peu dans l’espace insondable.
Enfant, il adorait les scruter main en visière depuis la piscine et la vapeur moite des pierres brûlantes. Fasciné par ces empreintes pâles dans l’intense bleu de l’été, il s’emmenait à bord vers une destination inconnue prometteuse en aventures.
Enjoué, il ironisa la situation en constatant que l’avion tant convoité n’était pas la fabuleuse virée espérée mais la confrontation avec le reflet de sa vie, ce qu’il pouvait bien renfermer.
Sitôt qu’il imaginait son retour, il regrettait la douceur du climat méditerranéen, sa chambre.
Moins sa famille et ses amis que des choses simples qui lui apporterait le repos, le soulagement mérité après tout un parcours du combattant.
L’expérience des auberges de jeunesse, de la nuit chez l’habitant, l’avait en partie ménagé des nuits rudes, à la belle étoile, dans son duvet polaire.
Si sa chambre n’était rien d’autre en comparaison qu’un univers restreint, fonctionnel, cela ne l’empêchait pas de désespérer du moment venu où il poserait son sac pour de bon, se réfugier dans son lit du froid glacial. Il comprit alors, assit sur cette froide pierre, que la vie qu’il menait sur Marseille lui manquait. »

Extraits du premiers chapitre "Fais de ta vie un rêve"

Chapter One Fais de ta vie un rêve…

Il pleut. Au loin, des orages crèvent le silence avec fracas, caché par un voile gris impartial.
La pluie tombait mais se faisait de moins en moins impressionnante, moins précipité …Ralentit sa course, puis les gouttelettes s’accélèrent, un rythme imprévisible …
Depuis mes fenêtres ouvertes me parvient une vive odeur d’humidité. Au dehors, ces lierres sauvages accrochés aux façades ternies des immeubles respirent enfin de toute l’eau succédant à l’étouffante chaleur sec de l’après midi …Le nuage gris qui se dresse, immobile, semble suspendu comme vidé, épuisé de ses immenses réserves…
La verdure des jardins remercie le ciel d’une sorte de rayonnement qui efface de sa discrète luminosité le gris des habitations …
Les linges d’habitude étendus dehors ont été récupérés à temps et ramenés à l’intérieur …
Des voix d’enfants se font peu à peu entendre, triomphants de cette tempête qui s’éloigne abattre son mécontentement ailleurs …
Quelques gouttes s’écoulent par ci par là, s’échappant des gouttières ou rampant depuis les murs, dans une atmosphère fraîche, annonciatrice du passage de l’averse.
Cette fois, d’autres bribes de conversations résonnent, plus distinctes. Les familles reprennent sans doute le fil de leurs activités, absorbés par la régulière fin de journée et la fatigue qui l’accompagne. Un repas se prépare, des conversations poursuivent…comme pour combler ce silence à peine interrompu par les cris des oiseaux, eux aussi affairés.
D’ici, je prête attention, à certaines heures de la journée, à la famille du second étage, juste au dessus de mon plafond. Comment les oublier.
Quelques fois, un enfant crie « Eva ! » pour inviter sa voisine à lui répondre.
Sa mère le réprimande alors parce qu’il ne doit pas crier, que ça ne se fait pas.
Ce soir, les règles n’ont pas changé. « Non ! Je t’ai dit de ne pas aller dans la chambre !»
Si l’enfant s’amuse et revient voir sa maman, elle commence à le gronder : « Ne fais pas de bêtises » ou « Tu m’agaces ! Arrête de crier ! »… Au début, ça me faisait sourire, mais maintenant je plains le gamin.
Pour couvrir une amertume qui peut durer longtemps, un peu de musique.
Du jazz. Un peu de mal à reconnaître les instruments à vents mais se laisser emporter par le piano, quelques percussions derrière, et cette personne qui souffle d’un rythme soutenu,
Ni trop fort ni trop lent, qui divague de sonorités, de rebondissements faciles, en est caractéristique.
Je ne sais pas si j’aime ce genre de musique qui s’adapte mal à des goûts plus prononcés mais l’effet qu’il me procure est agréable…Une petite préférence pour la bossa nova, mais le chanteur et son saxophoniste apportent une ambiance soignée et rythmée, chargée d’un blues colorée et tout en douceur.
Ailleurs, pas très loin, mais ailleurs dans la même pièce, la même chambre.
Envahi par l’étrange nostalgie du jazz qui s’affole avec légèreté, élégance, m’ôtant toute idée de la tête.
Bientôt 20 heures. L’heure de s’occuper du repas et de délaisser la machine à écrire, ici reconvertie en ordinateur portable, symbole de la polyvalence d’aujourd’hui…
Ce serait tellement bien une bonne vieille machine à écrire.
Je serais penché pour taper les boutons des lettres, bruit de cliquetis qui accompagne chaque touche, et chaque touche laissant une empreinte d’encre de plus au papier incliné,qui se recourberait, sortirait peu à peu de la machine . Enjoué par une synchronisation subtile et efficace.

jeudi 10 juillet 2008

Hola senores ! (no comment)
je me suis enfin échangé l'ordi, vous savez, celui que je viens de m'acheter il y'a de ça tois jours...
là, j'en ai un autre et j'ai l'impression que tout fonctionne correctement, si vraiment ça me lâche, je demanderais un avoir...
Je suis aussi passé voir le médecin qui m'a fait un vaccin au bras gauche, palio.
Du reste, il y'a aussi cette annonce dans le journal :
Des chances pour que je vienne vivre sur Bonneveine, à deux pas de la pointe rouge, dans une villa que tienne un couple d'enseignants désireux d'heberger un étudiant( il y'en a déja un qui devrait avoir mon âge) et de partager les petits déjeuners et repas en famille !
Alors, j'attends de voir comment ça va se passer, mais ça pourrait être sympa de changer de décor ! En principe, on va les voir ce soir...
Je continue toujours d'écrire mon livre, et là je commence à avoir le déclic pour poursuivre.
Je racontais ce gars qui passe la soirée avec sa soeur, et le lendemain qui se léve avec ses petits rituels du mat'...la boulangerie" au pain quotidien", les ateliers du quartier, la vie du quartier quoi... Je n'ai rien omis, c'est à dire la mentalité et tout les désagrements du "pain quotidien"
Résultat, un condensé riche en vocabulaire, decription(bien mieux que tout ce que j'ai pu écrire auparavant), assez bien fichu dans l'esprit et les sous entendus... Les débuts des chapitres sont des citations qui illustrent trés bien la suite, les paragraphes...On peut interpreter de plusieurs façons ce qui suit.
Pour ce qui est de l'idée de vivre sur bonneveine, c'est non, le couple ne me voulait pas le Week end et pendant les vacances, ç'aurait été impossible dans ces conditions...
Je crois que cet été ne m'a jamais autant fait comprendre de m'y prendre à l'avance pour la prochaine fois... Je vois bien que j'ai besoin d'argent et qu'il faut trouver quelque chose pour.
Le plan idéal c'est le bafa, je suis sûr d'avoir des propositions d'animation.
Si je met un peu d'argent de côté j'y arrivrais peut etre mais c'est cher et bien au dessus de mes moyens. Voilà où j'en suis.
J'accueille en principe des polonais, Camille sera là avec nous.
Comme dit le capitaine Haddock :" C'est finit!...Plus rien à esperer!... Jamais je n'ai touché à ce point le fond du désespoir !" , " Que faire, bong sang de bon sang?..." , "

lundi 7 juillet 2008

Du neuf

On est le 7 jyuillet, j'ai bien trouvé du boulot-provisoire-à faire du jardinage depuis la semaine derniere, mais avant de m'y attaquer revenons en d'abord là où tout a commencé : dimanche.
Ah et j'écoute Whatever it takes, de leona lewis, je kiffe.
D'où mon extase et la surprenante envie d'écrire.
Donc Dimanche, Roselyne, une amie de ma mére que j'avais contactée pour cette association de marins que j'ai d'ailleurs recherché des années, me rappelle pour se retrouver devant chez moi.
(bleeding love) C'était un début d'aprés midi , et on était en route pour la gare maritime.
Arrivés là bas, un de ces bleus de vigile qui se la joue contrariant et dur et nous fait perdre notre temps( qui a dit que tout les uniformes différents s'appréciaient) nous laisse passer devant notre laisser passer, sans nous avoir dit au passage que ça fait deux ans qu'il y travaille ce cowboy.
Bref, j'adore des lieux insolites où personne ne va( si, les gens qui prennent leur bateau de croisiéres et tout les gens qui les font vivre à bord) et c'était génial de se retrouver là pour un début d'expérience que je renouvellerais volontiers avec Roselyne.
On rentre à l'interieur, et enfin dans le Seamen's Club, c'est le nom de l'endroit.
Super convivial, des ordis, des canapés, et des fauteuils, une petite bibliothéque de livres anglais, terrasse ensoleillé avec vue sur les paquebots qui crachent la fumée du départ,calés pour n'importe quel étranger qui veut consulter ses mails en sirotant un de ces jus de coco qu'on vend au bar.
(et ça a la côte, faut pas chercher à comprendre)( better in time)
En bref, j'étais au bar avec Roselyne, une autre bénevole, et c'était assez sympathique de leur parler en anglais à ces marins de toute nationalités ( ce jour là, pas mal dfe philipins, et indonésiens, une allemande, un algérien, et j'en passe), c'était super l'accent, humm, de ces étrangéres toute mignonnes et fragiles...
On leur vend des cartes de télephones(je sais ce que vous allez dire mais c'est pas des cartes télephoniques, non c'est des cartes plastiques avec un numéro et comme ça on appelle à l'étranger à la cabine), de la nourriture asiatique lyophilisé au nuts, au mars, au pack de six bouteilles pour 1eurs80(j'ai du leur dire une bonne dizaine de fois que je revais de faire mes courses ici), heu, des bonbons à la menthe, etc, des casquettes tour eiffel paris et tout autre objets kitsch parce qu'ils sont de passage alors c'est maintenant ou jamais...
C'est vraiment super de discuter avec eux, de pouvoir draguer des accents de charmantes étrangéres(retiens toi), et tout ce que je n'ai pas pu dire ici...
Même si bon, j'ai comme qui dirait l'impression que les bénevoles s'inscrivent au complet pour me laisser aucune place car à partir de trois en demi journée c'est mort mon gars...
Cherches toi une autre occupation ! lol.
Sur le chemin du retour, comme j'avai accepté de rencontrer une de ses amis peintre, Danny pour Danielle, je suis venu prendre l'apéro pour enfin rester dîner !
C'était super cette femme parti vivre dans plusieurs pays du monde et qu'il faut que j'appelle pour lui emprunter un bouquin qu'elle m'avait recommandé, bouquin de l'ancien mari de la princesse de Montenegro fort interessante avec qui j'ai passé le repas à discuter de la yougoslavie, de toute ces histoires du passé, des personnalités qu'elle a approché( non, je m'en fous de Sarkozy, mais parlez moi donc de la bosnie herzegovine avec tito !) ou de la baignoire qu'elle va se prendre, j'ai eu du mal à lui expliquer la différence entre un sauna et un jaccuzzi, etc
J'ai aussi fait la rencontre d'Emilien, un médium.
Je sais que ça vous suprend, tout ça en même temps, mais je vous assure( et puis vous savez que j'en ai des histoires à raconter sinon j'en serais pas à ecrire mes mémoires !) , et non ce n'est pas un gourou !
On en discutait, pour info, gourou a une connotation péjorative pour nous pauvres occidentaux saturé de bourrage de crâne alors que sa définition trouve ses origines du sanskrit hindou " guru", qui veut dire : guide spirituel qui n'a rien à voir avec un Rael barbu et entouré de filles en jean slim, mais un veritable maître d'inititiation au spirituel...
Il n'a rien d'un mec qui se fait des films ou atteint d'une mythomanie profonde( pour ceux qui me contredisent), c'est quelqu'un de super sensible, comme moi, et doué d'un fort potentiel spirituel qui lui permet de s'épanouir par les mains, la voix etc...
J'essairais de le revoir pour en savoir plus à son sujet et prendre des notes que je rajouterais au livre. Pareil pour la princesse du Montenegro, et tout ces hommes et femmes qui enrichissent mon quotidien.
J'ai aussi vu Nicole M-C avec qui j'ai assez bien discuté de notre famille dispersé, puis c'est comme ça qu'elle m'a proposé par la suite de l'aider dans son jardin une journée, de ce qui deviendra une semaine ! Qui dit super jardin, dit superbe villa, dit quartier riche ! loin s'en faut !
Je prends vers 8hrs un vélib et je pédale jusqu' à une station à deux pas de chez elle, trop fort !
J'ai aidé Bob, un bricoleur polonais, à lui donner un coup de main pour l'électricité, j'ai porté des parpaings, porté à la brouette des sacs de 35kilos, vidé une grde cabane de jardin entiére, monté des meubles Ikea, fait du ménage la journée d'aujourd'hui à Micheline, une sympathique personne agée avec qui j'ai toujours des fous rires ! J'ai déracciné des énormes racines épaisses comme des anacondas, et dormit dans la jungle lové dans un hamac avec de féroces ùmoustiques qui résistent même à la citronelle !
Allez, je raconte la suite plus tard ! A noter que j'ai passé le Week end à Roche fontaine, nettoyer la piscine( le seul cousin, bon sang) au karscher et ce durant ces deux jours...
C'est tjrs le même plaisir de taquiner mamie, de discuter avec marie qui ressemble à deux gouttes d'eau à ma mére, Damien, Véronique, et Pauline qu'on a recuperé de leur Espace familial alors qu'elle vient d'en finir avec ses études de psycho' !
Et un des moments que j'ai adoré c'est leur lire un soir, un passage de mon début de livre !
C'était formidable de leur faire découvrir, de les voir aussi étonnés !
Demain, je passe par La poste chercher un colis, je pense emporter dans mon sac vert le mini ordi que j'ai acheté à la Fnac à une fille aphone ! asus eee900, 400eurs, petit, fin, noir, mignon et extra quoi ! J'ai tout l'essentiel, le dernier word, windows xp, msn, skype(que je viens de telecharger), etc il faut que je transfere des photos et que je telecharge Picassa !
Mais honnetement je regrette pas, même si c'était trop tôt dans les comptes, ça en valait la peine ! Allez bye !

Qui êtes-vous ?

marseille, PACA, France
Se décrire fait toujours un peu sourire, surtout ceux qui sont d'une nature trop complexe pour l'appréhender à sa juste mesure. La vie d'un homme n'est jamais qu'une histoire de poussiéres,d'étoiles. Quand j'y serais, je saurais mieux en parler objectivement. Pour l'instant, je viens d'avoir vingt ans, et j'essaie de dessiner les grandes lignes de ma vie en Bma ( brevet des métiers d'Art),avant d'avoir mon bac l'an prochain. J'ai toujours autant de projets pour donner sens, mais le temps se précise et ne sais encore que choisir. Steward, parachutiste en armée de l'air(école de sous off'), ou faire animateur à l'étranger(j'ai bientôt mon bafa), partir dés l'an prochain...

ma liste de livres préferés !

  • Les fourmis (trilogie, Weber)
  • Les clochards Célestes(Ker)
  • Sur la route(Kerouac)
  • les âmes brisées
  • Russe, pratique de base
  • les royaumes du Nord(trilogie)